Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le gardien de nuit
Histoire gay publiée le 25/02/2022
Salut les mecs, Moi c’est Gabriel, je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivé quand j’ai débarqué sur Paris après le bac. J’avais tout juste 18 ans à ce moment, les yeux verts, un corps complètement imberbe, la peau mate, avec des petites lèvres étroites et bien dessinées, un p’tit cul bien bombé et une bonne queue de 19x4… merci papa pour les origines algériennes ! Un soir de juillet, je n’avais rien à foutre, du coup je décide d’aller me promener dans le bois de Vincennes… je sors de mon appartement vers 22h en survêt short, jock strap, basket et débardeur…il faisait une chaleur éssoufflante à Paris. J’attend mon bus qui me mènerai à Vincennes et a l’arrêt de bus je sens déjà des regards sur moi. A côté de moi, il y a un grand black qui fume sa clope du coup je le mate un peu au passage haha… et là il me regarde droit dans les yeux, se racle la gorge et crache un molard qui atterrit à mes pied. Autant vous dire que ça me fait tout de suite bander mais heureusement le bus arrive… je monte et je m’assoie pour pas qu’on remarque que je bande comme un porc. Je sais pas si c’est la chaleur ou l’excitation mais je sens mon cul complètement mouillé. J’essaye d’oublier la vision du black qui me molarde dessus mais rien a faire je bande toujours autant. Heureusement j’arrive à mon arrêt à Porte Jaune. Je descend et m’enfonce un peu dans le bois… et je ne le savais pas mais le soir dans le bois il y a beaucoup de jeunes mec qui font leurs footing, en short, avec les couilles qui se balances… ça y est je recommence à mouiller… je me pose sur un banc et je m’allume une clope. J’en profite pour mater les coureurs, enfin plutôt leurs queues qui remuent dans leurs jogging… au bout d’une moment à mater, j’en peux plus… je sens ma bite sur le point d’exploser et mon cul qui s’ouvre de plus… bref… je m’isole et comme une longue masturbation à l’abri des regards. Je suis tellement en chien que je me fou a 4 pattes dans l’herbe derrière un arbre et je me met des doigts tout en me branlant… je suis tellement excité que je n’entends plus rien de ce qui se passe autour… je repense au molards du beau black de l’arrêt de bus, au couilles humides des coureur, la chaleur m’envahît et le parcours tout le corps quand soudain je sens une claque monumentale sur mes fesses ! Je m’arrête net, je me fige je n’ose plus bouger… puis je sens quelque qui s’approche et se met face à moi, je ne vois que ces pieds, dans des grosses chaussures de flics… je relève ma tête doucement pour voir mon bourreau… et à l’instant où mon regard croise le sien, je me prend un énorme molard dans la gueule. J’essaye tant bien que mal d’ouvrir mes yeux mais je suis ébloui par une lumière de lampe torche. J’entends enfin une voix grave et directive : - Bah suce Salope ! T’attends que ça ! Sans réfléchir je me jette sur sa braguette et sans un mot, je sors une queue bien lourde et encore au repos. Sans réfléchir je prend en bouche cet énorme bite qui se met à gonfler dans ma bouche… je suis toujours éboulis par sa lampe ce qui fait que je ne sais pas à quoi ressemble mon bourreau, ni la taille de sa queue mais je sais que c’est un beau morceaux qui me rempli la bouche comme il faut, d’expérience je dirai un bon 22x5, un belle queue je vous dis ! Je commence alors de long vas être viens sur cette bite que j’aime déja. D’abord doucement puis j’accélère le rythme pendant 5 bonnes minutes… quand je la sens bien dur, je décide de prendre sa queue en gorge profonde, elle me parait interminable mais je parviens finalement à ces poiles dans mon nez et ces couilles sur mon menton. Elle elle tellement longue que je ne tiens pas longtemps et au moment au je vais pour me retirer, je sens sa main qui me serre les cheveux et m’enfonce un peu plus sur sa queue… je n’arrive plus à respirer, je m’éssouffle, ma bave coule le long de ces couilles, et quand il sens que j’en peux vraiment plus il lâche son emprise et me lance : - C’est bien ma petasse, maintenant suce mes boules sale chienne ! A ces moment je me jette sur ces couilles que je gobe goulûment, tandis que lui commence à se branler au dessus de mon visage en m’insultant de tout les noms et en me crachant sur la gueule. Au bout de 15 minutes de ce traitement il me prend par les cheveux, se branle de plus en plus fort pour finir par s’enfoncer d’un coup sec dans ma gorge et juter un énorme quantité de foutre. J’avale tout sans broncher. Il reste au fond de ma gorge, sors son téléphone et prend une photo. Puis il se rhabille, me prend par les cheveux en me disant : - Maintenant que tu m’a bien vider salope, tu vas comprendre ce que c’est de faire sa petasse dans le bois ! Et toujours en tenant les cheveux, il me traine jusqu’à sa voiture et me fait monter sur le siège passager. Je peux enfin voir à quoi ressemble mon bourreau, un grand rebeux d’une quarantaine d’année, bien baraqué, au visage sévère. Il me dit qu’il est le gardien de nuit du bois, qu’il est chargé de surveiller les environs et que comme l’exhibitionnisme est interdit dans le bois, il va me mener au commissariat le plus proche… - Crois moi, je les connais il vont bien s’occuper de toi, ça va te plaire ! Il allume le moteur de sa voiture et se met en route… Je suis terrifiée, je n’ose pas rétorquer alors je me laisse conduire au commissariat excité par la situation ! Voilà la première partie de ma première expérience à Paris, j’espère que ça vous a plu ! A suivre…