Histoires de sexe

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Mon Maître Hassan 7
Histoire gay publiée le 09/02/2022
J’habitais désormais chez Hassan, mes parents m’avaient jeté à la porte suite aux ragots à mon sujet. Et c’était tant mieux ! Un soir, Hassan s’était fringué top du top : veste cloutée ouverte sur son torse musclé, harnais, boxer long et moulant surmonté d’un shorty en cuir, bottines militaires, casquette, lunettes noires, cravache à la main … Après m’avoir fait avaler à quatre pattes dans mon écuelle, il me fit ramper comme une larve vers l’escalier où il m’installa à califourchon sur la rampe. Là il me dit : « allez fais ta salope, montre ta chatte à ton Maître et combien t’es une chaudasse, la petasse de ton rebeu ». Il m’avait enfilé une des petites culottes de meuf qu’il m’avait achetées. Je bandais grave et j’entrepris de me caresser lentement la tige à l’intérieur de ma culotte, à humidifier et doigter mon trou, à m’exhiber tout en faisant des jeux de langue comme pour l’inviter à l’action. Il m’observait ou plutôt se délectait de ce spectacle. Quand j’ai commencé à me frotter contre la rampe en gémissant comme une chienne, il m’allongea cul en l’air le long de la rampe, m’y menotta et attacha fermement mes pieds à la rambarde (il fallait évidemment éviter une chute). Il s’empara de trois godes, le premier il l’introduisit dans ma culotte étroite pour comprimer mon sexe et pour que je mouille au mieux au contact de ce bel objet veineux. Puis il souleva ma tête, m’enfourcha le deuxième gode dans la bouche tout en introduisant le troisième dans le fion. Il me ramona ainsi par tous les trous pendant 20 minutes, ses va-et-vient étaient parfaitement cadencés, un vrai chef d’orchestre. Je vibrais et couinais comme une truie même si par moment j’éssoufflais et que la position n’était pas des plus confortables … Après m’avoir bien gavé, il délivra le gode de ma culotte et l’inspecta. J’avais juté dessus et cela dégoulinait tout le long. Je fus châtié comme il se doit : il me gifla et me cravacha les fesses, me libéra de mes entraves et en me tenant par les cheveux, je fus encouragé de nettoyer le gode avec ma langue, à lécher ses bottes puis la braguette de son short. « Ouvre ta bouche salope, mieux que ça » et il me balança deux puissants mollards. Assis dans un fauteuil, il me prit sur ses genoux et écarta mes cuisses comme si je montais un cheval, « tu vas en baver ma chérie, je veux t’entendre crier comme une meuf à qui on fait la fête». Il m’empala rudement sur ses attributs et commença à me pilonner grave en guidant mes mouvements par mes hanches. Trop bon, je commençais à haleter, à gémir puis à crier de plus en plus fort … Tout ce qu’il aimait ! Son jus inonda et brûla mes entrailles. Après une bonne douche (que nous prenions souvent à deux), on se coucha et pendant la nuit, dans un demi-repos, il me branla en me chuchotant à l’oreille « faut que je m’assure que tu sois bien déchargée, c’est comme avec les vaches qu’il faut traire tous les jours ».