Histoires de sexe

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Mon Maître Hassan 6
Histoire gay publiée le 21/01/2022
Hassan m’avait prêté à Nabil et j’en avais pris toute la nuit. Mais je trouvais qu’il manquait un peu d’imagination et j’avais donc hâte de retrouver mon Maître et nos petits jeux. Quand il ouvrit la porte, en rentrant du boulot, il était particulièrement viril dans son blouson de cuir et dans son jean bleu pétrole qui moulait parfaitement ses jambes musclées et laissait deviner un paquet qui devait faire fantasmer n’importe quelle salope, mâle ou femelle. Il s’appuya contre le mur du vestibule, prit une pose suggestive en me fixant de son regard ténébreux. J’ai compris direct l’invitation ou plutôt l’ordre. A quatre pattes, ma bouche à quelques centimètres de sa braguette, j’entrepris d’abord de défaire sa ceinture puis de faire sauter un à un les boutons. En même temps, je lui massais l’entrejambe pour le faire grogner de plaisir et lui me caressait les cheveux, les oreilles et le menton en me disant « oui mhh mmhh tu es une bonne petite chienne qui aime revoir son Maître et lui faire des gâteries ». Je sniffais l’intérieur de son jean. Son boxer hyper-tendu était humide, c’était odorant d’une journée de labeur, enivrant, chaud, meilleur que le meilleur des poppers. Son membre viril était prêt à bondir de sa prison mais, pour moi, il n’était pas question de brûler les « étapes » : je tâtais vicieusement ses boules bien remplies puis je léchais avidement le tissu prêt à exploser. Ma langue fouinait toutes les ouvertures possibles pour que son excitation soit au top du top. Il se retourna contre le mur, je descendis le boxer à mi-jambe et ma langue lubrifia son trou avant d’explorer, de lécher, de glisser aussi à l’arrière de ses attributs. Il gémissait grave et d’un coup il se retourna, me prit par les cheveux et m’enfourcha en gorge profonde, me soumettant à sa cadence et m’obligeant à le regarder droit dans les yeux. J’enserrais ses pompes de motard pour ne pas vaciller sous le pilonnage, j’éssoufflais mais pas longtemps car il explosa très vite, inondant ma bouche et mon gosier de son nectar brûlant. Après l’avoir accompagné aux toilettes (il aime me voir à ses pieds lui tenir l’engin puis le laver avec ma langue, en parfait slave), coincé entre ses puissantes cuisses, il me fit déballer une petite surprise, des petites culottes de meuf que j’allais devoir porter, un nouveau gode qui allait me réserver des fêtes prometteuses mais aussi un masque BDSM de chien (« comme ça tu seras un vrai clébard ») … Mon Maître adore entendre crier sa lope quand l’orgasme monte. Ce ne fut pas une branlette qu’il me fit mais du lourd, un truc de ouf, viril et sensuel à la fois, afin de me faire crier et cracher un max. Avant d’aller pieuter, sous la douche, il me dit « j’ai deux fantasmes en tête pour plus tard, tu vas voir que tu vas kiffer d’être dressée à mon plaisir de rebeu, ton Maître exclusif » (A suivre)