Histoires de sexe

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La bite irakienne
Histoire gay publiée le 28/12/2021
Salut les mecs, une histoire qui remonte à 6 ans en arrière. Je me présente: Louis-Alexandre, jeune homme de famille bourge de province. Je faisais 1m86 à l’époque pour 70 kg. J’étais musclé par la natation et la voile, mais j’avais aussi de bonnes fesses bien musclées par des bons coups de reins de rebeux et de renois. Ça faisait déjà un an, depuis le debut du lycée, que je me faisais tringler assez souvent par des potes bien bourrins et endurants. J’adore les bad boys, racailles et dominants. Cette année là, mes parents décident de m’envoyer dans un lycée privé anglais pour parfaire ma maitrise de la langue. Un an chez les rosbeefs et loins de mes baiseurs… pas un plan qui me tentait. Arrivé là-bas, école non mixte et uniforme et surtout des classes désespérément blanches et catholiques… des mecs pas mal mais pas mon style. La bonne étoile été la forte presence de rebeux au UK. Un jour en sortant des cours, je remarque un beau rebeu qui s’asseoit sur le banc en face de mon établissement. Il a l’air de regarder les mecs qui sortent du lycée comme moi, avec leur uniformes d’été (short, chaussettes hautes, chemise, veste, cravate). Il est bogoss. Je le matte aussi. Le lendemain, la même, le mercredi pareil, le tout jusqu’au vendredi. Il est toujours là, un regard pervers en coin, en sweat a capuche, jogging, chaussettes par dessus le jogging, casquette, un vrai « chav » comme ils disent. Le vendredi il se leve et vient vers moi. Il me parle en anglais mais super vite. Je lui repondsavec mon accent français que je comprends pas. Il dit plus lentement: « Tu viens d’où? » « France. » « Ah, c’est pas un pays de pd ça? « Il est vraiment trop sexy, je decide de tenter le tout pour le tout. « Si, surtout de pd soumis aux bites arabes » Il sourit: « Tu me plais toi, tu veux venir faire un tour avec moi? » « ça depends, tu proposes quoi? » « De te faire gémir comme tu mérites » Je lui dit ok. Il me fait signe de la suivre, on arrive à sa voiture garée plus loin. On monte. Il démarre. Alors qu’on roule, ma main glisse deja sur son entrejambe. « T’es pressé toi. Tu me fais trop bander dans ton uniforme, j’adore matter toutes ces salopes à la sortie mais toi t’es trop bonne. » Je malaxe son entrejambe. Il conduit un moment et on s’arrête dans une friche industrielle, vers une usine désaffectée. Il coupe le contact et me prend par la nuque. Il sort directe une belle bite tendue et me l’enfonce dans la bouche. Dans les premières minutes il me baise littéralement la bouche. Il grogne des phrases en arabes, il souffle fort. Il kiffe mes lèvres pulpeuses sur sa queue. Elle a un gout de sel et de male. « Tu aimes? Tu aimes la bite irakienne? » Entre deux coups de queue je glisse un oui. Il glisse sa main dans mon short et tate mon cul. Il a un soupir satisfait. Il me releve de sa bite et me roule une pelle. « Sors de la voiture! » Je descends, il descends aussi, le jogging et le boxer a mi-cuisse. « A genoux! » Je me met a genoux sur le sol et il continue sa baise de ma bouche encore un moment. Ma bouche commence a avoir mal. Il le sent, il me relève en me tirant par la cravate et me jette face contre le capot.il baise mon short aux genoux et mon boxer aussi, il enfile une capote et rentre direct en moi. Je hurle de douleur mais personne ne peut rien entendre ici. « Cri petite petasse, tu es à moi! » Il me baise comme ça, en uniforme et en levrette sur sa caisse. Chaque coup de reins apportant maintenant du plaisir. Il me défonce la cul comme seuls les rebeus savent le faire, avec des fessées, des accélération et de bons coups de reins profonds. Il tire sur ma cravate comme si c’était de l’equitation. Soudain il grogne et explose dans la capote. Il me prends par les cheveux et me fait mettre a genoux pour lecher sa queue dégoulinante de cum. Il se rends compte que j’ai jouis sous ses coups de reins sur sa calandre. On se rhabille et on remonte en voiture. J’ai souvent visiter ce lieux avec lui… et meme une fois à plusieurs. Mais c’est une autre histoire.