Ma vie de vide-couilles 2
Histoire gay publiée le 27/10/2021
Résumé des épisodes précédents : je pompe et me fais niker en mode scred (les yeux bandés) un beau beur petit format qui me "prête" à son cousin qui décide d'utiliser le filon en filant mon adresse (contre finances, je pense) à plein de mecs du quartier qui viennent se vider les couilles chez moi. Toujours en anonyme : j'ai une cagoule, des bandeaux, et j'aime bien être à dispo d'un bon mâle sans le voir. Je soupçonne que la grande majorité des mecs qui passent me voir n'en ont rien à foutre que je sois un mec; ce qui les intéresse, c'est ma bouche vorace, ma peau douce, mon application pour les faire juter dans ma bouche et la chaleur de mon petit cul. Quand un mec débarque, je lui demande ce qu'il veut et je m'adapte. Je m'en fiche du physique, pourvu que la bite soit bien dure, bien juteuse et ramone fort. Récemment, il y en a un qui voulait que je lui lèche les pieds, puis les mollets, puis les cuisses et les couilles, avant d'aspirer sa teub qui était du coup hyper raide quand je l'ai gobée. Là, il me caresse les cheveux, me dit d'aller bien au fond, et une fois que j'y suis, sa main caressante devient un étau: je peux plus reculer, je dois encaisser, je sens le gland qui s'étend, qui prend toute la place en fond de gorge. Et là il me dit: "je vais aussi te niker, y paraît que tu es étroite mais qu'après un peu de ramonage ton cul est comme une vraie chatte"; Et c'est vrai, il faut entrer doucement, mais après je remue du cul et je crie "encore", ou "plus fort". celui-là ne se fait pas prier: sa queue fine et longue rentre comme du beurre en moi, et lime sans pitié, j'ai l'impression d'être transpercé; il lime de plus en plus vite mais il veut se finir dans ma bouche, ça déborde un peu et je me lèche les babines, faute de pouvoir tout avaler. C'est chaud, c'est sucré. Et là il me dit :" putain, t'es vraiment une salope, et je sais que tu fais pas ça pour l'argent, juste parce que t'es une vraie petasse. J'aime trop te baiser, j'ai pas besoin que t'aies les yeux bandés, la prochaine fois, quand tu passes à la boulangerie, je te fais un clin d'oeil et tu me suis dans l'arrière boutique, ok?". Purée, je sens que je vais avoir de la bonne baguette chaude gratuite à volonté!