Ma vie de vide-couilles 3
Histoire gay publiée le 27/10/2021
Je suis donc devenu officiellement la petite pédale-à-dispo du quartier. Je sais pas trop qui vient se vider les couilles dans mon cul ma bouche ou sur mon visage (j'ai toujours les yeux bandés), mais les mecs qui sont passés chez moi en scred doivent me reconnaître, et j'entends parfois murmurer "ça va la petite petasse" derrière moi quand je me promène dans le quartier. Hier, à la boulangerie, le vendeur, un grand baraqué au beau regard très doux, me dit: "il paraît que tu fais les livraisons à domicile, mais faudrait se déplacer aussi"; je comprends l'allusion, et comme c'est typiquement le genre de mec qui me plaît, musclé, poilu, je regarde fixement son paquet qui pointe derrière le comptoir et je dis "vous avez un besoin urgent? j'assure tous les dépannages exprès". "Oui il me dit, il y a un gros problème de tuyauterie à réparer". c'est la mi-journée, y a personne, le mec désigne l'arrière-boutique du regard, je me passe la langue autour de la bouche de mon air le plus chienne possible et je le suis. On passe dans un petit réduit pas loin du four où cuisent les baguettes. il fait chaud, sombre, le mec me guide vers le fond et me coince contre le mur. Il m'attrape par le cou, me roule un gadin énorme, sa salive envahit ma bouche, sa langue aussi, je me sens tout chose contre lui. Je sens sa bite qui grossit déjà dans son pantalon, j'ai envie de me mettre à genoux pour le gober, mais il m'en empêche. D'abord il me fout à poil, me caresse les fesses (à nu dans mon jockstrap), me retourne et commence à me chauffer la rondelle avec sa bite, qui est toujours dans son futale. Je sens que je vais prendre cher: elle a pas l'air de bander encore tout à fait, mais je sens l'épaisseur et la largeur du gland; j'en peux plus, je le supplie "laisse moi te pomper". Il dit "OK mais 1) va falloir tout prendre, jusqu'aux couilles, et 2) tu vas la prendre dans le cul aussi, avec moi tu vas pas faire ta mijaurée à deux étapes". Donc il sait que normalement je me fais prendre le cul seulement à la 2e baise, comme m'avait promis Rachid quand il a décidé de faire de moi une bonne lope pour ses potes. J'ai pas de popps, j'ai pas de vaseline ou de gel, je commence à flipper (je dis rien, j'ai la bouche pleine, j'ai réussi à descendre sur son zob, et il coince bien le gland au fond). Mais le mec est chaud, super bon pilonneur de bouche (il sait entrer à fond, rester bien derrière la glotte mais aussi repartir fort pour revenir encore plus profond, j'adore). Il me retourne, me dit "maintenant ton cul m'appartient", je suis dans un état second, je vois qu'il me lubrifie avec du beurre. sans prévenir, il présente son gland sur ma rondelle, me caresse le dos, me rassure "détends-toi ma belle, tu vas aimer"; et zou, il rentre, ça me coupe un peu la respiration, mais je me décontracte. sa bite fait bien 19 cm, elle est super large au niveau du gland mais aussi à la base, quand il va au fond ça déchire à la fois au fond et à l'entrée, mais il s'en fout; il est à la fois très caressant, très gentil avec ses mains qui me caressent et en paroles ("ouhla t'as une chatte de ouf j'adore, tu vas devenir ma chienne préférée"), ce qui me fait fondre, et très rude dans mon cul avec sa bite qui ramone sans jamais s'arrêter: de grands coups qui me font lâcher tous les muscles du cul, j'ai plus aucune volonté à opposer à la saillie, je suis hyper dilaté sans faire aucun effort: un trou à bites vraiment. Mes jambes tremblent, je suis couché par terre et il saute dans mon cul comme si j'étais une poupée gonflable; je sens sa respiration s'accélérer, mais au lieu de se finir dans mon cul, il jouit sur mon dos. Je me laisse faire. ça fait longtemps que j'ai joui de mon côté par terre. Je lui demande s'il a un sopalin. Il me dit pas la peine, il récupère son sperme sur mon dos, le met dans une baguette coupée en deux et me dit "cadeau, un sandwich au sperme, c'est nourrissant, si tu aimes, tu reviens".