Réduit à un objet sexuel à nouveau
Histoire gay publiée le 04/04/2022
Khalil et Tom m’avaient invité en week-end prolongé dans une capitale européenne. Après avoir choisi notre hôtel, le réceptionniste nous dit un peu surpris : « une chambre pour trois, heu il n’y a qu’un grand lit par chambre ». Tom répliqua « justement ce sera parfait comme ça ». D’un sourire entendu, le réceptionniste nous refila les clés et nous montâmes à la chambre, au premier étage. L’idée d’être coincé entre eux deux et de devoir subir, la nuit, leur fougue de vrai mâle, quand bon leur semble, m’excitait grave. Pendant que Tom était parti faire quelques courses et que Khalil rangeait nos affaires, je me mis à la fenêtre pour griller une clope. Je vis direct un beau mec sur une terrasse de bistrot. Il m’aperçut et commença à me fixer. Quand je sorti ma langue, comme le font les bonnes putes, afin de voir s’il allait kiffer, il commença à se toucher discrètement le paquet. C’est à ce moment que Khalil me surprit par derrière et me plaqua contre la fenêtre en me murmurant à l’oreille « ah petite salope, tu crois que je suis dupe de ton manège, le mec aime visiblement mater alors il va être servi ». Il me tourna la tête et m’enfouit goulument sa langue dans ma bouche. En même temps ses mains massaient mes fesses et se mirent ensuite à caresser mon entrejambe. Je commençais à gémir sous les mains expertes de mon rebeu. Le type d’en bas ne perdait rien de toute la scène et sa braguette avait visiblement prit une autre dimension au point que, gêné, il la recouvrit avec le sac qu’il portait en bandoulière. Khalil commença à me traire dans mon pantalon de sport. « Ah c’est bon hein, je vais te faire cracher moi … ». Quand l’orgasme commença à monter, il me plaqua une main sur la bouche pour m’empêcher de crier et d’ameuter les passants. Mon nectar se répandit et coula le long de mes jambes. Khalil me tenait fermement pendant mes soubresauts de femelle. Mais je ne fus pas en reste car il avait aussi les couilles pleines. Il baissa son short, me doigta et mouilla agilement la chatte, écarta mes cuisses et entreprit de me défoncer. J’étais courbé sur l’appui de fenêtre pour qu’il puisse bien me déchirer. Ses coups de butoir étaient puissants et réguliers. Sa main me tenait toujours la bouche pour éssouffler mes couinements. Soudain il poussa un grognement rauque et trois jets brûlants inondèrent mes entrailles. On resta encore un petit moment dans cette position et le type de la terrasse nous adressa discrètement un signe satisfait avant de quitter les lieux. On avait bien mérité notre douche que l’on prit d’ailleurs ensemble pour que je puisse, en bonne soumise, nettoyer ses partie intimes …