L’objet sexuel - 4
Histoire gay publiée le 14/05/2021
Tom m’avait vêtu d’une petite culotte de femelle (ça l’excitait) et glissait vicieusement sa main à l’intérieur pour voir l’effet que ça me faisait. Je bandais et mouillais grave sous le tissu qui me serrait trop (la culotte était une taille en dessous de mon calibre habituel). Il me gifla et m’attacha les mains dans le dos à l’aide de menottes de flic. D’abord il me plaqua la gueule contre sa braguette pour que je sente bien le manche de mon Maître qui allait me faire la fête. Il me laissa en paix quelques minutes puis revint avec un énorme gode. « Allez mon bb c’est l’heure de ton biberon ». Il me prit par les cheveux et me fit lécher le gode comme on lèche une crème glacée. « Bien très bien t’es une bonne petite chienne ce soir, allez encore, lape bien … ». Il l’introduisit dans ma gorge en faisant des va et vient réguliers, entrecoupé de pauses pour éviter l’éssoufflement. Pendant qu’il ma gavait la bouche, son autre main me comprimait la bite, me pinçait puis me caressait délicatement. Je kiffais trop. Il ouvrit sa veste de cuir et m’obligea à lécher et sucer ses tétons qui durcirent rapidement. Il grognait sous l’expertise de ma langue de chienne. Au bout d’une bonne demi-heure, il me fit une pelle, me souleva comme un paquet et m’emporta dans sa chambre. Jeté sans ménagement sur le lit, il arracha ma culotte, me fessa, cracha dans ma chatte puis me mit à genoux sur le matelas et, tenant fermement mes hanches, il entreprit de me ramoner face au grand miroir de sa garde-robe. Il maîtrisait parfaitement la cadence pour me faire gémir de plus en plus fort car rien ne l’excitait davantage que d’entendre mes cris de femelle comblée (surtout lorsqu’il pouvait nous voir tous les deux dans le miroir). Ensuite, il mit mes jambes sur ses épaules et me démonta de plus en plus fort. Je sentais ses couilles qui claquaient comme un fouet. Il ne se vida pas dans mes entrailles mais il se retira au dernier moment. En rugissant, il me lança un torrent de foutre dans la gueule et les cheveux. Il y en avait partout. Pour terminer, j’ai eu droit à « la branle sauvage », la « fameuse traite de la chèvre » comme il aimait dire. J’ai joui comme une meuf qui ne simule pas. Sous la douche, il me dit « reprends des encouragements car Khalil ne va pas tarder » …