Journal Intime d'un joueur
Histoire gay publiée le 05/05/2021
Cher journal, Aujourd’hui j’ai décidé de commencer à écrire mes histoires avant de les oublier et de les reléguer en mythes. C’est un peu étrange d’écrire tout ça. J’ai l’habitude de vivre ces histoires, pas de les raconter. Mais mettre sur papier ces souvenirs les fera durer une éternité. Je veux pouvoir me rappeler du plaisir que j’ai eu, à chaque fois. J’aime provoquer du désir chez un homme, j’aime voir leur visage changer selon mon bon vouloir, j’aime voir cette flamme habiter leurs yeux quand ils se posent sur moi. Bref, j’aime jouer avec le feu. Cher journal, Le jour J est arrivé. Je retrouve Jorge ce soir. Hier, il m'a envoyé un message me disant qu'il voulait me voir, et aller dans un bar ensemble. Malgré mon peu d'envie de me retrouver dans un bar gay où tout le monde va juger mes rondeurs, je lui ai dit que j'étais d'accord. Le moment venu, j'attends devant le bar, le froid est encore là. Je rabats mon écharpe afin de couvrir le bas de mon visage quand il arrive enfin. Quelques minutes en retard mais bon, tant pis. Comme à son habitude, habillé simplement, un charme incroyable émane de lui. Il s'approche de moi en me souriant, baisse mon écharpe et m'embrasse. Mon cœur s'emballe, je ne m'attendais certainement pas à ça. Alors que son baiser s'éternise, je sens sa langue s'insinuer entre mes lèvres jusqu'à s'enrouler autour de la mienne. Ses mains sont maintenant sur mes fesses qu'il rapproche de lui, me faisant sentir une barre de plus en plus grosse dans son pantalon. Il me relâche enfin en souriant puis m'entraîne dans le bar en me tirant par la main. Je suis inerte. Je ne m'attendais pas à une telle attitude. En commandant au bar, il met une main sur mes fesses et appuie avec douceur au milieu tout en me dévorant du regard. Je vois... Monsieur veut marquer son territoire, il me prend pour sa propriété et le fait comprendre aux autres... Nos verres à la main, on se dirige vers une banquette avec table basse, dans un coin un peu obscur du bar. Alors que nous commençons à discuter de tout et de rien, lui me charmant de nouveau par son léger accent brésilien, il pose sa main sur la mienne, et en une seconde, la pose sur son entre-jambe. D'un air de défi, je laisse ma main là, en malaxant lentement ce que je sens être très prometteur. Je ne sais pourquoi mais je m'attendais à un autre genre de soirée. Vraiment quelque chose d'innocent, dans un bar, mais on dirait qu'il n'a pas le côté innocent en tête lui. Toujours au sein de l'obscurité du bar, il appuie sur ma main pour que je serre un peu plus. Je vois ses yeux sombres briller d'un désir ardent alors qu'il les plonge dans mes yeux clairs. Je crois distinguer un sourire sur ses lèvres quand il enlève ma main. J'en profite pour continuer à siroter mon verre en regardant les autres clients, qui semblent totalement ignorer notre petit manège. J'aime l'obscurité, elle m'aide à passer inaperçu pendant que j'observe le monde. Je profite de cet instant, mais je suis très vite rappelé à l'ordre par mon compagnon qui prend ma main avec puissance et la pose sur quelque chose de brulant. Je regarde immédiatement, il a sorti son sexe. J'essaie d'enlever ma main mais il me bloque et me presse encore plus contre son membre turgescent. Mon cœur se met à battre plus fort. Je suis un peu inquiet qu'on puisse percer l'obscurité de notre endroit. Il me dit quelques mots à l'oreille « ne pense qu'à moi, si tu me fais jouir, on peut aller dans un endroit plus privé » puis oblige ma main à faire un mouvement de haut en bas sur son colosse. Je respire lentement, ma tête commençait à tourner. Je le regarde. S'il veut jouer, on va jouer. Je commence à faire des mouvements par moi-même. Il se détend en mettant ses deux mains derrière la tête, il écarte encore un peu plus les jambes en les étendant : il devient un vrai seigneur qui attend d'être servi. Tout en faisant mes mouvements, je mets mon pouce sur son gland humide et le glisse sous son prépuce avant de caresser son frein. A chaque mouvement de mon pouce, je sens sa respiration accélérer, ce qui me fait sourire. Il est très sensible. Je glisse mon autre main en-dessous, je caresse ses bourses puis continue ma progression : ses bourses, son périnée, puis enfin ma destination. J'écarte un peu ses fesses puis pose mon doigt à l'entrée de son trou, tout en vibrant un peu. Il me regarde, surpris. Ses bras sont retombés, on dirait que j'ai visé juste, il ne s'attendait pas à ce que je m'intéresse à ce côté. Alors que j'appuie un peu plus, il essaie de m'arrêter en tirant sur mon bras. Pour toute réponse, je me jette sur ses lèvres. Je les lèche, les embrasse, les ouvre pour passer ma langue. Quand nous sommes au point culminant de la rencontre de nos deux langues, je presse plus fort : je suis entré. Je continue à l'embrasser, je le pénètre d'un doigt que je fais vibrer pendant que mon autre main commence à être trempée de liquide. J'accélère le mouvement sur son membre, je sens qu'il ne va pas tarder. Notre baiser s'arrête, ses yeux sont hantés d'une passion encore plus grande suite à mon audace. Sa respiration commence à s'accélérer énormément. Je souris en augmentant la cadence également. Sans que je m'y attende, il met sa main derrière ma tête et me puissance à me baisser. Il me dirige droit vers son montre. Sans pouvoir résister, j'ouvre la bouche. Son gland entre et ma langue s'active immédiatement dessus. Il est brulant maintenant. Il enlève ma main, et pousse ma tête sur son membre. Son gland vient taper contre ma glotte, je manque de m'éssouffler. Il manque encore quelques centimètres. Il appuie beaucoup plus fort maintenant, son gland passe ma glotte. Je ne comprends pas ce qu'il se passe, jusqu'à quand ça va durer, jusqu'à ce que je sente un liquide chaud envahir mon œsophage. La chaleur me fait presque du bien. Je suis encouragé d'avaler, sinon je vais m'éssouffler. Etant donnée la quantité, je pense qu'il n'avait rien fait depuis quelques jours. Je suis sûr qu'il s'est retenu rien que pour être en forme pour moi. Une fois les salves de ce liquide brulant terminées, il relâche son emprise sur ma tête. Je ressors son membre qui perd sa dimension hallucinante. Je lèche la dernière goutte sur son gland. Sors mon doigt et me relève, les yeux brillants de l'effort qu'on vient de m'imposer. Il ferme son jean. Je remarque maintenant qu'il n'a pas de sous-vêtements. Il me regarde en souriant : — Bon boulot, comme d'habitude. — Pourquoi tu m'as fait ça à la fin ? — Fais pas semblant, je sais que t'aimes quand je te puissance à me avaler. Je ne réponds pas. Il semble tellement sûr de lui que ça ne servirait à rien. Puis il ajoute : « bon, sur ce, on va y aller, c'est l'heure de passer aux choses sérieuses. ». Il paie et nous partons. Nous nous dirigeons vers sa voiture : un 4x4 noir, les vitres sont teintées. Il se met à conduire, sa main sur ma cuisse. Je sens le cuir dans mon dos, et j'aime ça. Ma respiration s'accélère, j'ai soudainement très faim, et j'ai envie de jouer. Nous sommes à un feu rouge, j'en profite pour glisser sa main sur sa braguette. Un sourire en coin apparaît sur ses lèvres. Je malaxe sa queue à travers le jean, comme il n'a pas de sous-vêtements, l'effet est immédiat. La voiture redémarre. Le trafic est fluide maintenant, il sait où j'habite donc nous allons dans mon appartement. Je sens que je vais m'amuser ce soir. Sans le prévenir, j'ouvre sa braguette, sors sa queue et me penche pour l'avaler. Il n'est pas encore totalement dur, mais ma bouche est déjà remplie. Je caresse son gland avec ma langue, avec douceur. Je me délecte de son pré cum. A peine ai-je le temps de savourer sa queue que nous sommes arrivés. Il se gare, je lâche ma sucette après lui avoir donné un dernier coup de langue, et nous montons chez moi. A peine arrivés, il ferme la porte derrière lui et me pousse avec puissance. Il me bloque complètement, le ventre contre le mur. Il embrasse ma nuque. Me mordille. Passe ses mains sous ma chemise noire avant de glisser le long de mon ventre. Ses mains arrivent dans mon boxer. Il me branle fort, le contact du tissu contre mon gland à vif me fait presque mal. Ses mains lâchent mon sexe, puis se rendent sur mes fesses. Il les malaxe, il les serre fort. Je crois que je l'ai bien chauffé dans la voiture. Il m'embrasse le long de ma colonne par-dessus ma chemise. Tout à coup, il baisse mon jean, mais juste la partie sur mes fesses. Il embrasse la gauche, la droite. Tire mon bassin un peu plus vers lui. Il écarte mes lobes puis plonge son visage. Je soupire de bonheur. Je sens sa langue s'activer sur mon trou. Il me dévore. De temps en temps, il me mord gentiment les lobes. Je sens sa barbe brune de trois jours, qui recouvre en partie sa peau bronzée, sur ma peau blanche. J'adore. Plus il enfonce sa langue, plus je gémis, et ça l'encourage. Il joue avec sa langue. A certains moments, il fait de petits mouvements rapides, comme s'il lapait ma peau sensible. A d'autres moments, sa langue prendre possession de cet endroit et s'enfonce en moi. Je mets ma main sur sa tête pour l'empêcher de partir, et l'enfoncer encore plus. J'adore sa langue. Elle me provoque une grande chaleur. En me maintenant toujours contre le mur, il se relève. Je sens une barre dure comme de l'acier se plaquer contre mes fesses. Il me mordille la nuque. Son gland se pose contre mon trou. Sa main se pose sur mes hanches. Il tourne mon visage et m'embrasse. Pendant que nos lèvres sont scellées, son gland ouvre mon muscle. Il a vraiment un gland très gros, plus gros que sa tige. Sur le moment, la douleur est intense mais je le veux. Mon cœur se met à battre la chamade, puis je m'enfonce de moi-même sur sa queue. Il grogne de plaisir. Son membre, épais et long, est entièrement en moi. Il me réchauffe, me brûle même, mais il réveille le joueur en moi. Sans qu'il s'y attende, je me mets à faire des va-et-vient de moi-même. Je suis à la limite de la sortir à chaque fois, avant de la reprendre en moi entièrement. J'aime sentir sa queue élargir mon trou. Elle m'enivre. Il souffle fort. Je sens sa peau contre ma chemise, il a xxx son tee-shirt. Je sens sa transpiration, elle me fait bouger encore plus vite, avec plus d'ardeur. Jorge décide de prendre les rênes. Il pose une main sur ma taille et une autre sur ma gorge afin de me plaquer contre lui. Il me met des coups de reins puissants et affirmés. On dirait que Monsieur veut me punir de mon petit jeu... Il me transperce. Il serre ma gorge alors que je sens ses abdos se contracter. Il accélère la cadence et me pénètre maintenant avec puissance. Sa peau claque contre la mienne, ses couilles viennent s'abattre sur moi pendant que sa queue continue à faire des va-et-vient. Il se plante tout à coup au fond de moi avec rudesse. Je sens sa semence brûlante prendre possession de mon corps, mon trou se resserre sur sa queue alors que ma jouissance vient en même temps. Quelques minutes après, il ressort avec douceur, me retourne et m'embrasse passionnément. Sa langue vient trouver la mienne, avec timidité cette fois. Nos lèvres séparées, je le regarde avec amusement et me baisse pour embrasser sa queue maintenant revenue à une taille normale. Je l'embrasse, la lèche et la prend dans ma bouche afin d'avaler les dernières gouttes de son sperme. Je me relève, le serre contre moi, et lui susurre « tu avais raison, j'aime te avaler, que tu me encouragements ou non ». J'espère que cette première histoire vous a plu :D