Aubin me rentre aussi sa grosse bite
Histoire gay publiée le 25/01/2021
Salut les mecs, je vous post mon aventure avec Aubin, le mec qui été dans ma classe et qui est le pote de Oussem. Comme je l’ai dit dans le post précédent, on a commencé à se parler avec Aubin et on en s’envoyant des photos, on s’est reconnu. Il me dit qu’il est hyper exité, que Oussem lui a dit que j’étais un excellent coup et que ça l’éxite encore plus de baise avec un mec qui été dans sa classe. On se cale un soir pour qu’il vienne chez moi et me dit qu’il veut filmer. Le soir convenu, il arrive en bas de chez moi en moto et se dirige vers moi. J’étais hyper stressé mais aussi exité de me dire que ce mec que j’ai toujours maté dans les vestiaires viens pour m’enculer. On se dit bonjour et on monte chez moi. Dans l’ascenseur il me dit « je pensais pas que tu été homo. En tout cas t’es photos ça m’a grave exité », je lui dit que ça se voit parce que je pouvais voir à travers son jean qu’il commençait à bander. Il pose son téléphone sur la table basse pour filmer, s’installe direct sur le lit et je lui propose une limonade. On parle un peu de ce qu’on fait maintenant dans la vie, il retire ses chaussures et me dit « viens sniffer si tu veux pendant que je fini ma limonade ». Je me met direct à ses pieds et commence à sniffer ses cho7 qui sentait vraiment bon. Il pousse ma tête pour qu’il puisse retirer son jean et me dit « si tu m’a bien maté dans les vestiaires, tu doit te douter de la marque de ma paire ». Je lui dit me souvenir qu’il avait souvent des cho7 « head » et il me répond « ouais c’est ça, je les ai gardées toute la semaine aux pieds même pendant mon sport ». Je me remet à les sniffer et le vit se toucher la queue dans son boxer. Il se met trorse nu et je viens immédiatement toucher ses abdos. J’avait toujours rêvé de pouvoir toucher ses abdos et ses pecs dans le vestiaire et j’étais le plus heureux du monde à ce moment là. Il avait toujours des abdos bien dessinés, des bras avec la veine qui allait de l’épaule jusqu’au bas du biceps et surtout ses pecs immense. Il m’embrasse et me dit de retourner à ses pieds. Je continue de kiffer ses cho7 et il me dit qu’il va retirer son boxer. Je me rapproche de son entrejambe et quand il enlève son boxer je me jette sur sa bite. Elle faisait 18/8 et été vraiment très grosse. Il avait un grosse à chaque fois dans les vestiaires mais je pensais pas qu’elle été aussi grosse. Il se met debout et m’ordonne de me mettre à quatre pâtes pour le sucer. Il été vraiment mon dominant debout avec son suceur à ses pieds. Après 20 minutes d’une suce intense ou je m’arrêtait quelques fois pour sniffer ses cho7, Aubin me dit de me mettre à quatre pâtes sur le lit pour qu’il commence à me doigter. Il me rentre doucement ses doigts et me fait gémir comme une bonne et chienne. Sans me prévenir, il crache sur son gland, le frotte contre mon trou et commence des va-et-vient. Il ressort sa queue et met une bonne dose de salive dans mon trou puis rentre d’un coup sec sa bite et commence ses va-et-vient. Je suis tellement exité que mon trou est bien dilaté et sa bite glisse sans problème. Il me lime le cul et claque ses couilles contre mon cul a chaque fois qu’il rentre sa queue pendant une heure et me dit « remet toi à quatre pâtes que je lâche mon jus en levrette ». Je m’exécute et sens son souffle s’accélérer puis 5 jets puissants remplir mon cul d’un liquide chaud. Il s’allonge et me dit « même si Oussem m’avait dit que tu été un bon coup je pensais pas à ce point là, on va se revoir j’adore ton cul », je m’alonge à côté de lui et fini par m’endormir. Le lendemain matin, il me réveil en m’embrassant et me dit « Oussem m’a dit que t’aimais bien te faire réveiller pour qu’on t’encule, retourne toi » je m’exécute et Aubin rentre sa queue. Il me dit qu’il sens encore son sperme dans mon cul et au bout de quelques minutes jouit encore dans mon trou. On va se doucher et on prend un petit dej puis il me dit avant de repartir « j’ai adoré la soirée, t’encaisse vraiment bien les grosses queues, tu sniff bien mes cho7 et tu suces comme un bonne chienne. On remet ça quand tu veux ».