Au service de mon maitre arabe - 3
Histoire gay publiée le 05/01/2021
« Non non, on sait tous ce qu’il s’est passé dans cet appartement et on a envie de tester la marchandise » Le gars qui m’attrapait le bras avait une bonne poigne et je me liquéfiais sur place. « Les gars, je ne sais pas à quoi vous jouer mais vous vous trompez sur toute la ligne, et il est vraiment tard, faut que je rentre » Le mec qui m’agrippait le bras regardait mon paquet. « Tu te fous de ma gueule, tu as vu la que tu as ! ne va pas me dire que tu en as pas envie ! » Putain de cage de chasteté, je ne me rendais pas compte qu’elle se voyait autant sous mon jog ! « Bon aller viens, mes potes et moi on va t’offrir un joli cadeau » Il me tirait vers lui, alors que ces potes se mettaient tous derrière moi. Je n’avais aucune solution de fuite, alors je baissais la tête et le suivais. « Il t’a bien dressé, je pense qu’on va bien s’amuser ! » Ils me tiraient de l’autre côté du bâtiment et m’emmènent dans une cave sombre. J’avais toujours rêvé de me faire baiser dans une cave mais là je n’avais plus le contrôle de rien et je me chiais vraiment dessus. On arrivait au bout de l’aller, un des gars ouvrit la porte en acier, on pouvait y voir un matelas, quelques chaises et une simple ampoule en guise d’éclairage. « C’est ici que les minettes viennent se faire sauter par les gars du quartier, et parfois, on intercepte les lopes comme toi qui se font dresser par Fadil. Encore plus petasse que les meufs ! » Il me jetait sur le matelas, il était jaune de pisse et de foutre. L’odeur était putain d’excitante, ça se voyait que je n’étais pas le premier à leur servir de vide couille, il était bien jaune ! une fois allongé, deux autres mecs me tiraient mon jog pour laisser sortir mon jock-strap, trempé de mouille. « les gars je crois qu’on à touché le gros lot, il mouille comme une gonzesse » La situation devenait de plus en plus torride mais j’avais peur que mon cul n’assume pas. Mon cul ! encore pleins du jus et de pisse de mes maitres. « Bon les gars on a assez rigoler maintenant faut vraiment que je rentre chez… » Je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’un black me foutu sa bite dans la gueule et commençait à me limer. Sa queue était aussi grande que MAITRE Fadil mais à peine moi épaisse, il me limait la gorge pendant qu’un de ces potes me tenait la tête. Je sentais mon cul s’ouvrir et déborder du mélange sperme pisse que j’avais si bien conservé jusqu’à maintenant. « ELLE EST PLEINE CETTE PETASSE ! alors compte sur nous pour tasser tout ça, tu vas être une vraie bonbonne ! et à ce que je vois tu acceptes tous les liquides alors on va bien se vider ! » Il me levait les jambes et remarquait mon cul bien ouvert. « Il a une chatte en guise de cul ! j’en suis sûr qu’on pourrait tous tenir les mecs » Ni une ni deux, une queue dans mon cul à me labourer. Il se défoulait à croire que c’était la dernière fois de sa vie qu’il baisait. Alors que le black était toujours sur moi à me limer la gorge. Je pouvais sentir un liquide chaud couler sur tout mon corps. « Yacine qu’est ce que tu fous putain ! vide-toi dans sa chatte il attend que ça ! » Je ne pouvais rien voir de la scène, les couilles lourdes du black me tapaient sur les yeux. « Aller première dose pour moi, mais faut que je pisse avant les gars ! » Une fois de plus, je sentais mon cul se remplir d’un liquide chaud. Je me laissais faire. Je pensais mon cul rassasié mais pas du tout. Il était plein mais en redemandait. Après s’être vider la vessie, c’était au tour de ces couilles. 4 gros jets bien au fond de mon cul. Il se retirait et un autre venait prendre sa place. « Putain mais on patauge dans cette chatte ! c’est trop bon putain ! et tu avais raison il y a grave de la place » Chaque coup de rein faisait déborder mon cul de ce doux mélange. Je me faisais baiser et limer la gueule par des gars de quartiers, dans une cave. Le rêve ultime de toute salope. La queue que j’avais dans la bouche continuait de ma limer à un rythme digne des plus grands baiseurs. Il s’arrêta un moment et remplit ma gorge de son sperme « Putain, les gars je vous jure que ça gorge est bien lubrifiée là ! il peut encaisser n’importe quoi ! » Il se retirait et me fit laver un coup sa queue quand deux mecs s’approchaient et se mettaient dos l’un à l’autre. Ils se penchaient en avant et mettaient leurs deux queues dans ma gueule. Ils commençaient à me baiser la gueule en double ! « Wah non mais c’est une dinguerie ce qu’il arrive à faire putain » J’avais vraiment du mal à respirer, j’avais de la bave de partout et mal à la mâchoire à puissance de sucer. Ces deux mecs m’ont jouis dans la gueule et je manquais de m’éssouffler avec leurs spermes. Un à un, il se vidait de pisse et de sperme dans tout mes trous, et ceux qui se sont vidés en premier revenait. Je ne sentais plus mon cul, ils auraient pu me mettre une bite de cheval, je suis sûr que je n’aurais pas vu la différence. Mon cul débordait et ça les faisait marrer. Je me prenais des crachats de partout. J’étais devenu leur défouloir et j’en redemandais. Je les suppliais tous de me baiser et de me remplir. Au fur et à mesure, les gars commençaient à quitter la cave, vidés de tout liquide, en partant, ils m’honoraient quand même tous d’un bon crachat sur mon cul qui était depuis, devenu une chatte. Le dernier était le grand black. « Il t’a vraiment rendu femelle, on a tous remarqué ta cage et on en a clairement profité. Je te laisse là, patauger dans nos liquides de mecs de cité. Tu kiff ça ne dit pas le contraire. Je ne parlerai pas de tout ça à Fadil, si, à chaque fois que tu reviens le voir, tu passes après pour qu’on te termine. Je te conseil d’accepter car si je balance que tu t’es fait sauter, je pense que la punition va être terrible. » J’ai tout de suite compris que c’était lui qui m’avait suivi aujourd’hui « Je vois que tu percutes vite la lope ! Fadil n’aime pas qu’on joue avec ces jouets mais s’il l’apprend ce n’est pas nous qui allons prendre c’est toi ! alors si tu fais ce que je t’ai dit tout ira bien d’accord ? » Je fis un geste de la tête en guise d'obéissance, il parti avec un grand sourire pervers sur le visage. Je me relevais et me rhabillait et parti. Je pense que les semaines à venir vont être riches en abattage de lope.