Au service de mon maitre arabe - 1
Histoire gay publiée le 04/01/2021
Après avoir dormi 10h d’affilées, je me préparais pour aller au travail, avec une seule idée en tête, retourner voir MAITRE Fadil, qui m’avait si bien baisé la veille. Je me passais un coup sous la douche histoire de bien me réveiller. Les images et les sensations de la veille revenaient. Je me mis à bander vraiment dur. Je ne voulais pas me branler, je voulais m’offrir à mon MAITRE. Je sortais de la douche enfila mon costume et alla travailler. Je travaillais dans un travail où l’image était très importante. C’est aussi pour ça que je suis plutôt bien taillé. La matinée passe très lentement, car mon envie de me faire détruire était vraiment pressante. A la pause de midi, je me pose avec mes collègues. Milieu du repas, mon téléphone vibre : « Salut lopette, je veux que tu viennes directement après ton taf, j’ai vraiment besoin de me vider » Il me fallait un instant pour me demander comment il avait eu mon numéro de téléphone, dans le doute, je lui demande quand même comment il a eu mon numéro. « Je ne crois pas que tu aies le droit de poser de question, alors après ton taf tu viens à l’appartement pour te faire corriger, je n’aime pas que mes soumis posent des questions » « Très bien MAITRE, je finis à 18h » Je finissais en réalité à 17h mais le temps que je rentre pour me préparer ça collait. J’avais déjà le feu au cul et la queue qui gonflait. L’après midi passait encore plus lentement que la matinée. Réunion sur réunion, dossier sur dossier. Je tenais plus. J’ai quand même trouvé le moyen de finir un car d’heure plus tôt, j’ai mis les bouchées doubles pour finir tout mes dossiers. Je rentrai chez moi, je me préparais, douche et sous-vêtements sexy. J’avais un jock-strap qui mettait en valeur mon cul, donc autant en profiter ! Mon téléphone vibre. « Alors lopette pressée de te prendre ta correction ? » « Oui MAITRE, j’ai bientôt fini je ne devrais pas tarder » Comme pour la première fois, j’enfilai un jogging et un débardeur pour bien mettre mes épaules en valeur et me rendit chez lui. Je garais la voiture et je remarquai que le même groupe de gars était posé au même endroit. A la différence d’hier, je ne bandais pas encore donc je traversais le groupe sans grande crainte et sonna chez MAITRE Fadil qui m’ouvrit directement. Je me pointais donc devant son appartement la porte était légèrement ouverte. J’entrai pensant qu’il l’avait laissé pour que je puisse entrer sans toquer. Je suis tombé sur un groupe de 3 mecs en plus de MAITRE Fadil. Je me mis à paniquer, pensant qu’entre temps, des amis étaient venu le rejoindre, et que tout ça n’était qu’un film que je m’étais fais dans la tête. Mon visage a dû se décomposer et j’ai donc dû improviser. « Veuillez m’excuser j’ai dû me tromper d’appartement » Je ne voulais pas mettre mon maitre dans l’embarras je décidais donc de faire demi-tour. « Tu l’as bien dressé Fafa, au moins tu peux être sûr de le bourriner en paix. » Je m’arrêtai quelques instants et je me mis à comprendre. « Lopette viens là, je dois te parler. » Ma queue avait repris des formes et avec le jog, ça me faisait un bon paquet. Je m’approchais d’eux sans dire un mot. « Tu m’as menti. » me dit il en me regardant avec un visage fermé. « Quoi ? mais menti sur quoi ? » je ne comprenais pas ce qu’il me disait je ne lui ai jamais menti ! « Tu n’as pas finis le travail à 18h, tu es parti du travail à 17. » Tous les regards étaient dirigés vers moi. Je ne savais plus où me mettre. « MAITRE veuillez m’excuser, je voulais juste être prêt pour vous, je ne voulais pas vous décevoir ». Je ne me suis jamais senti aussi humilié. Je gardais la tête baissée. Les sentant tous me regarder me plier en 4 pour m’excuser. « Tu sais ce qui est encore plus important pour moi ? Que tu ne me mentes pas. Si tu avais besoin de quelques minutes pour te préparer, tu avais qu’à me le demander. Et dis-moi, depuis quand tu entres sans qu’on te l’autorise ? » dit-il sur un ton hautain. Putain il ne va pas me lâcher, il m’humiliait, il voulait montrer que c’était lui le MAITRE devant ces potes et je n’étais qu’un larbin qui rampait pour avoir ma dose. « MAITRE, veuillez m’excuser, je pensais que vous vouliez que j’entre directement pour pouvoir être à votre disposition tout de suite, vous m’avez dit que vous aviez vraiment besoin de vous vider » Ça y est, toute dignité était partie. Face à ces potes, je n’étais plus qu’un larbin au service de sa queue. « Alors voilà ta punition lopette, mes potes ont des envies, et ne ce sont pas vidés depuis plusieurs jours. Tu vas être à notre merci tu vas leur obéir, et crois moi tu vas dérouiller, mais tu ne pourras pas prendre de plaisir, et moi je serais là pour mater ». Il se levait et ils m’encerclaient. Ils me baissaient mon jog et virent mon jock-strap. « Putain il a un bon cul de lope, meilleur que toutes les meufs que j’ai pu connaitre » disait l’un d’eux. MAITRE Fadil baissait mon jock. Mon érection avait disparu avec l’épisode humiliation. Je regardais ce qu’il faisait quand je me pris une gifle. « Je ne pense pas que tu es le droit de voir ce que ton maitre fait, tu as perdu ce droit quand tu t’es fais baiser comme une vraie femelle. » On me tenait maintenant la tête droite. Je sentais quelque chose de lourd sur ma queue. J’ai vite compris que c’était une cage de chasteté. « Te voilà maintenant notre femelle, merci Fafa pour ça » « De rien les gars, faites-en ce que vous voulez, je vous laisse je vais me chercher une limonade » Il me remettait mon jog, et me colla une petite gifle. Je me retrouvais dans le salon de mon MAITRE entourer de 3 mecs que je ne connaissais pas et je savais que ce qui m’attendait allait être rock’n’roll. Le mec à ma gauche était plus petit que moi, il devait avoir la trentaine cheveux longs mais attachés, un peu plus rond que MAITRE Fadil mais tout aussi musclé, je ne connais pas les noms, je vais donc l’appeler Sofian. Le mec à ma droite faisait la même taille que MAITRE Fadil mais était très sec, cheveux mi long qu’on va appeler Ibrahim. Quand au dernier qui était derrière moi, il faisait à peu prêt ma taille et était plutôt bien dessiné, C’était Youssef. Ils étaient tous typés arabes et le mec à ma gauche avait une vraie gueule de taulard, ça me foutait le feu au cul. C’est lui qui commença les hostilités : « Bon il serait peut-être temps que tu nous décrasses un coup la queue, Fafa nous a dit que tu étais un expert dans ce domaine » dit il en sortant sa queue. Je me mettais à genoux et commençait mes va et vient. Rapidement il prit ma tête et m’imposa son rythme. Sa queue n’était pas grande mais très épaisse, elle tapait un peu au fond de ma gorge mais sans non plus m’éssouffler. Par contre je bavais énormément, ce qui la faisait bien glisser. Quand j’ouvris les yeux, je voyais les deux autres beaux mâles arabes tenir leurs queues, prêt à me la coller bien au fond. « Putain fafa, ta lopette n’est pas très concentrée, ramène-moi un truc pour lui bander les yeux, ça se voit qu’elle a faim et je veux qu’elle soit bien concentrée sur nos plaisirs » Il se retira et MAITRE Fadil apportait une chaussette de foot. « Tu te souviens de celle-ci hein ? tu les as entendus ? tu auras les yeux bandés jusqu’à ce qu’ils en décident autrement. » Je fermais les yeux en guise d'obéissance. Il fit un double nœud. Me voilà complètement aveugle. « Ne t’inquiète pas, je suis là pour les surveiller » me dit MAITRE Fadil dans l’oreille. J’avais déjà fait quelques plans les yeux bandés mais jamais avec autant de mec. J’étais sans repère. Je sentais qu’on me tirait par les cheveux. « Aller suis nous petite chienne » Je me mis donc à quatre pattes et suivait mes maitres du jour. Un d’eux m’ordonnait d’ouvrir la bouche, un crachat puis une queue au fond de ma gorge. Le fait d’avoir les yeux bandés est encore plus excitant, le fait de ne pas savoir ce qui se passe autour de moi me rendait encore plus chienne. Cette queue était énorme et me baisait la gueule. Je me cambrais un peu plus, mon cul en voulait aussi. « Putain regarde, chaque coup de rein lui ouvre un peu plus le cul mec ! » Je sentais d’un coup un liquide chaud couler sur mon trou. « Tiens, prends ça, Fafa nous a dit que tu étais aussi un bon chiotte, au moins sa glissera mieux » Putain il leur a dit tout ce qui me rendait fou ! sentir sa pisse sur mon trou me rendait encore plus chienne et mon trou s’ouvrait sous la chaleur de sa pisse. Quand tout à coup, une queue dans mon trou. Je ne pouvais pas hurler, la queue sur laquelle ma gueule était empalée bloquait ma gorge. Il restait un coup au fond de mon cul, je le sentais s’ouvrir autour de cette queue. « Putain c’est quoi cette chatte de rêve, tu ne nous as pas mythonné, tu as fait fort sur ce coup-là. » Il commençait ces vas et vient. Chaque coup de rein m’empalait la gorge sur la queue de son pote et m’ouvrait un peu plus. Je me faisais limer de tous les côtés. Ma queue tentait tant bien que mal de se faire une place dans sa cage mais impossible. Je sentais quand même que je mouillais comme une grosse petasse. Au bout d’une dizaine de baisage, ils tournaient, la queue qui m’enculait était plus petite, je devinais que c’était donc celle de Sofian. Le mec d’avait m’avait tellement bien baisé que mon trou acceptait son épaisseur tranquillement. Par contre celle que je suçais était bien plus longue, mais beaucoup plus fine. Et c’était reparti pour une petite dizaine de minutes. Quand le mec que je suçais prit la parole : « J’ai envie de pisser putain » « Moi aussi mec ! » dit Sofian « Attendez, vous aller me dire que vous aller le remplir par tous les trous en même temps ? » je reconnaissais la voix de MAITRE Fadil qui était un peu plus loin. « Tu nous as dit que c’était un vrai chiotte, on va voir ça ! » Je sentais une main me bloquer la tête sur la queue que je suçais. Elle devait bien être au milieu de ma gorge. Je manquais de m’éssouffler. J’essayais de me retirer mais le mec qui me tenait la tête était bien plus fort que moi. En simultané, je sentais un liquide chaud couler bien au fond de ma gorge ainsi que tout au fond de mon cul. « Putain un vrai chiotte à arabe, je sens son cul qui s’ouvre encore ! » Je me faisais remplir par deux maitres arabes, je ne réalisais pas. J’étais devenu leur petasse et leur chiotte. J’étais aux anges. Le mec que je suçais se retira et me demanda de me lever, Sofian se retirait aussi. Il me demanda de me lever, j’entendais un mec qui se couchait au sol. « Je vais te guider, tu vas t’empaler sur sa queue » je reconnaissais la voix de MAITRE Fadil. Je commençais par m’assoir sur sa queue, elle rentrait comme dans du beurre. « Bien maintenant penches toi en arrière de tout ton poids sur lui, ne t’inquiète pas il n’est pas en sucre » Je me retrouvais sur un homme, je pouvais sentir ces abdos sur mon dos, je commençais à bouger le cul. Je pouvais sentir sa queue ainsi que ces abdos et c’était vraiment le pied, quand une autre queue entra. Je me mis à gueuler un coup mais au même moment, un des mecs me roulait une grosse pelle. Je pense que c’est MAITRE Fadil qui voulait faire passer la douleur et ça fonctionnait. Il commençait à faire ces vas et vient quand le mec en dessous de moi essayait tant bien que mal de me baiser. Après quelques ajustements au niveau de la position, ils me baisaient à deux. Je sentais leurs queues coulisser dans mon cul, leurs mouvements n’étaient pas synchronisés et c’est ce qu’il y a de plus excitant ! ils me défonçaient le cul comme jamais. Je sentais que j’allais, une fois de plus me taper un orgasme anal. Quand ils commencèrent à ralentir. Un troisième essayait de rentrer ! MAITRE Fadil intensifiait sa pelle pour que je puisse bien me détendre. Je sentais mon cul s’agrandir. MAITRE Fadil se retira, ce qui me laissait l’occasion de gémir un coup. Peu de temps après, je gémissais toujours et il est arrivé à se frayer un chemin entre les queues de ces potes. Le mec du dessus me crachait au fond de la gorge alors que je gémissais comme une vraie petasse. Suite à ça il m’a roulé une grosse pelle puis prit la parole : « Les mecs, putain il mouille ! il mouille tellement que ça a traversé la cage et son jock ! » Suite à ces paroles, je les sentais tous accélérer le mouvement. Ce n’était pas parfait car trois queues dans un cul c’est compliqué à bourriner mais j’étais en chienne et ils l’avaient compris. Je sentais qu’un mec me travaillais la gueule avec ces doigts, je les léchais, suçais. Il s’amusait à les faire entrer dans ma gorge comme si c’était une queue. Cette sensation dans mon cul revenait, mon côté chienne avait laissé place, une fois de plus à l’orgasme. Je sentais une putain de chaleur toute au fond de mon cul. Quand je réalisais finalement que c’était mes trois maitres du jour qui ont tous jouis au fond de mon cul. Ils se retiraient tous les uns après les autres. Mon cul était ravagé. Il débordait de sperme mais je voulais le garder le plus longtemps possible. « Putain Fafa, tu te rends compte, on a réussi à le baiser à trois, et on a même tous jouis dans son cul ! » s’exclama l’un d’eux. « Je te l’avais dit, cette petasse c’est de l’or, elle accepte tout sans broncher » Alors que je me relevais je commençais à essayer de retirer la chaussette que j’avais sur les yeux. « Ce n’est pas parce qu’ils partent que j’en ai finis avec toi. Tu as oublié que tu as fait deux fautes aujourd’hui ! alors tu vas rester ici à mon service. Merci les gars pour cette mise en bouche, rentrez bien. Je les entendais se rhabiller et quitter l’appartement « Très bien, maintenant nous sommes que tout les deux, et je vais me faire un plaisir de tasser tout ce que ces mecs t’ont foutu partout. J’ai tout vu et je dois te dire que je suis impressionné. Toi tu n’as rien vu mais j’ai bu 5 sodas et tu vas me servir de chiotte ».