Baise à Nice avec le beau rebeu Sofiane
Histoire gay publiée le 01/12/2020
Salut, c’est Kevin, le retour, black d’1m80 qui kiffe toujours autant les rebeus. Je vous avais raconté ma première baise avec Sofiane dans Plan été 2019 : rebeu #1. J’ai remis le couvert avec lui par hasard à Nice. Après avoir baisé la première fois ensemble, il m’avait dit qu’il avait un appart dans le sud. Moi j’avais répondu que j’allais souvent à Nice voir un pote. On s’était dit ça sans se promettre forcément de se retrouver là-bas. A la fin juin, je pars sur la côte voir mon ami. Le lendemain de mon arrivée, mon pote m’entraîne dans un bar gay. On retrouve plusieurs de ses connaissances. L’un d’eux nous dit qu’un autre parisien va passer dans la soirée. Je n’y prête pas plus attention me disant que je ne dois pas le connaître. 30 minutes après, le mec de Paname se pointe et... c’est Sofiane que j’ai baisé pas plus tard qu’il y a 2 semaines. Je ne sais pas pourquoi mais je suis un peu en panique. Sofiane commence à dire bonsoir à tout le monde et une fois arrivé à moi, me fait un grand sourire. Le pote chez qui je crèche me dit : “Tu le connais ?” Je réponds : “Oui vite fait, je t’expliquerai” Ce n’est pas le moment de raconter à tout le monde que je l’ai dosé plus tôt dans le mois (officiellement, je suis fidèle et en couple avec un mec). Sofiane s’assoit à une extrémité de la table et moi à l’autre. On discute via le chat sur lequel on s’est rencontré. Il me propose de venir voir son appart une fois le show dans la boîte terminé. Je lui réponds : “Pourquoi pas mais ce sera en tout bien tout honneur !” Comme si on allait avaler une tisane juste avant de rêver ! Je me trouve bien naïf mais trop tard, je l’ai dit. Le show se passe et tout le monde se lève. Un groupe se forme pour continuer la soirée dans une autre boîte, d’autres rentrent et Sofiane vient me voir. On commence à taper la discute et il me dit : “Alors comme ça t’as un mec ?!”. Moi je lui dis : “Alors comme ça Sofiane, c’est pas ton prénom ?” 1 partout, balle au centre. On rigole et il se rapproche de moi. Il me dit : “Embrasse moi.” Moi je fais : “On est en pleine rue là” Pleine rue avec du passage... Il me répète “Embrasse moi” Ni une, ni deux, je le laisse me rouler une grosse pelle en pleine rue. Apparemment, les passants autour de nous ne nous ont pas calculé. On se met en route et on se balade dans le centre ville de Nice. On remonte l’avenue Jean Médecin et on tourne dans les petites rues une fois arrivés au niveau de la basilique Notre Dame. A chaque fois qu’il pose son regard sur moi, je sens qu’il a envie de me bouffer. Et moi, en plus de voir son appart, j’ai bien envie que ça dérape dans son lit 😜 On arrive enfin chez lui. L’appart est vraiment sympa et bien rénové. Il me montre les pièces et finit par la chambre. Il vient se coller à moi et me roule une bonne grosse pelle. Putain j’en ai trop envie. Il commence à me masser la teub à travers mon short. C’est trop bon. Il en profite pour passer sa main sous mon T-shirt et remonte vers les tétons. Il sait comment m’exciter le Sofiane. Moi, je ne suis pas en reste : je passe ma main sous le tissu de son short et je commence à lui malaxer les fesses. Il gémit de plaisir. On se fait du bien 5 bonnes minutes dans cette position et Sofiane s’accroupit à mes pieds. Il desserre ma ceinture, fait glisser mon boxer sur mes cuisses et enfourne ma queue dans sa bouche. Hummm c’est trop bon. On se lâche bien tous les 2 : moi je bande dur et lui me suce et me branle en même temps. Il me caresse les couilles et me les lèche bien comme il faut. Il fait chaud dans son appart mais ce n’est pas que dû à la météo ! Je pose mes mains sur sa tête et lui imprime la cadence à respecter. Il encaisse sans problème le mec. Ca c’est un bon kiffeur de bite. Tellement bon kiffeur qu’il va me montrer de quoi son boule est capable. Je relève Sofiane et le pousse sur le lit. Il reprend la pipe qu’il me faisait et me montre son boule qui fait honneur à son pseudo sur le chat : bonbouledeouf. Des bonnes grosses fesses de rebeu, larges et profondes. Je les caresse, les malaxe et les claque. Ca a le don de faire gémir mon rebeu et moi, de vouloir les goûter de l’intérieur. Je passe derrière lui et contemple son cul rebondi. Je lubrifie sa rondelle avec ma salive et rentre un doigt puis 2. Ca rentre comme dans du beurre ! Il me dit : “viens je te suce encore” Moi je lui réponds : “Moi c’est ton cul que je veux” Il était pas parti pour une sodo apparemment (il ne s’était pas préparé) mais l’appel de la queue est tel qu’il se cambre et me présente son bonbouledeouf. Je tapote mon gland sur sa rondelle pour le chauffer encore plus, je pousse mon gland sur sa rondelle, une fois, deux fois. A chaque fois un peu plus profondément. Mon gland finit par être aspiré par son trou. Je sens la chaleur tout au bout de ma bite. Il fait chaud dans la pièce mais le reste de mon zeb veut connaître lui aussi cette sensation. Je pousse d’un coup et mes 19 cm envahissent ses entrailles. Je commence doucement mes va et vient histoire qu’il s’habitue bien à la taille de mon manche. Putain, c’est trop bon. Il a tout avalé sans peiner. Je me dis que je peux y aller comme je veux. Je commence à limer tranquille histoire de faire bander ma bite au max. Mes mains accrochées à ses hanches, je tape dans son cul et profite des sensations que sa rondelle me procure. Il serre de temps en temps autour de ma queue, ce qui a le don de faire monter la température en moi. Déjà que je suis chaud, là je suis en nage. Je vire mon T-shirt et je commence à augmenter la cadence. Les gémissements sont plus saccadés et mes couilles claquent bien contre ses fesses. Je repense à la fois d’avant où j’avais arrosé son trou. Cette fois-ci, ce sera servi en direct tout au fond du cul. L’idée de me vider en lui m’excite encore plus. Apparemment, il a lu dans mes pensées et il ne fait plus que serrer et desserrer sa rondelle autour de mon zob. Ca commence à bouillonner dans mes couilles et le jus commence son ascension. Je garde un bon rythme et essaie de me calmer histoire de ne pas décharger trop vite. Pendant une ou deux minutes, je sens le jus progresser mais j’arrive à me maîtriser. Il se met à serrer d’un coup son trou sans prévenir. C’en est trop pour moi. J’accélère le rythme et lui balance : “Je vais juter bb”. Dans un grand râle, je lâche 4 bons jets de sperme dans son boule. Je m’écroule sur son dos et me relève au bout de 2 minutes. Je dégouline de sueur tellement il m’a chauffé !! Je passe à la douche, me rhabille, lui roule une dernière galoche et repars à 2h du mat chez mon pote. Fatigué mais pas encore vidé : j’avais encore du jus en stock pour un autre pote niçois. Bientôt la suite 😉