Hakim pris à son propre jeu
Histoire gay publiée le 16/10/2020
En sortant de la douche, J’avais bien capté la voix du mec qui appelait « Hakim t’es où ? » ... Mon rebeu acheva de s’essuyer et se hâta d’enfiler son jean, l’air gêné de la situation. Le type se tenait droit devant nous, ce n’était rien d’autre que le directeur de la boîte. J’ai eu un pincement au cœur car je compris pourquoi Hakim faisait tant d’heures supplémentaires. Le boss ne venait pas pour inspecter le travail de l’entrepôt mai bien pour se faire baiser quand la plupart des membres du personnel avaient quitté l’établissement en fin d’après-midi. Il ne fut pas surpris de me voir. D’un sourire carnassier, il nous dit « cela fait un certain temps que j’observe votre petit manège et ton insistance, Hakim, pour te faire épauler dans ton travail et toujours par le même. Mais cela m’amuse car vous êtes très appétissants tous le deux et je voudrais que l’on partage physiquement ce petit secret, sans quoi il me serait désagréable de vous séparer ou … de me séparer de vous ». Il me fixa droit dans les yeux et me dit « toi je te veux dans mon bureau demain à 17h pour un entretien d’évaluation ». Sur ce, il quitta. On le vit se diriger vers le parking, mettre son casque et enfourcher sa puissante moto. Hakim était confus, moi furieux de ce qui semblait être une trahison avec pression à la clef. Je m’apprêtais à quitter l’entrepôt quand il me plaqua au mur, me roula une pelle et me dit : « tu mouilles pour le boss, ça crève les yeux, c’est un vrai versatile, fais ta petasse pour moi, pour nous, tu me l’as promis, il est gentil et on fera aussi le sexe à trois, tu vas kiffer ma chérie ». C’est vrai que je kiffais le boss et qu’une évaluation intime n’était pas pour … me déplaire. Le lendemain, un peu anxieux, me suis planté à 17h précise devant le bureau du directeur. Une secrétaire genre « vieille jeune femme », au ton jamais aimable, faisait barrage et m’enjoignit d’attendre en me confinant sur une chaise. A 17h45, enfin, il sortit de son bureau et dit « Viviane vous pouvez rentrer chez vous, je veillerai à fermer le bâtiment ». A mon adresse : « entrez Monsieur, je suis à vous ». Le boss, la cinquantaine, avait le crâne rasé qui mettait en valeur un visage bronzé aux yeux bruns et verts, aux traits réguliers virilisés par une petite cicatrice et par un petit bouc. Sa chemise cintrée laissait deviner des pectoraux puissants. Le jean de marque, bien ajusté, était tout aussi prometteur. Je rentrai et il me mit tout de suite à l’aise en nous servant deux verres d’. Il me posa quelques questions de routine puis il me dit « j’ai un travail à finir mais tu restes évidemment car je t’invite après au resto, en attendant fais preuve d’imagination ». Il se pencha sur sa comptabilité. Comme je n’ai pas froid aux yeux, me suis mis à quatre pattes en dessous de son bureau. Sa braguette était prête à exploser, dure comme la pierre, je me mis à la lécher puis à dégrafer vicieusement son jean et à travailler son épaisse colonne pendant qu’il contrôlait en principe ses colonnes à lui, les chiffres de sa comptabilité ;-) En grognant, il jouit d’un jet brûlant qui inonda ma gorge et dont une partie coula entre mes lèvres. Puis il me fit venir sur ses genoux comme si j’étais un bébé « viens mon poussin dans les bras de ton daddy ». Sa langue, farouche et curieuse, visita chaque recoin de ma bouche, un parfum discret mais très mâle de fin de journée rehaussait grave mon excitation. Il respirait profondément, dégageant des narines une puissance virile et mature qui caressait mes joues et mes oreilles. Il glissa sa main sous mon tee-shirt puis s’attaqua à mon jean et fouilla dans ma petite culotte, « c’est trop bon les plans de travail avec toi ». Il plongea ses doigts dans son verre d’ puis me les fit lécher vicieusement avant qu’il n’explore mon fion. J’ai juté grave tant son doigté était précis, d’une sensualité animale. Après on est allé au resto, malgré la fatigue je continuais à mouiller de la chatte car un patron comme ça c’est trop rare ;-) En me déposant chez moi, il me dit « t’a réussi ton épreuve, t’es prometteur ». Le lendemain, il dégagea la secrétaire pour me mettre à sa place. Faudra expliquer ça à Hakim ;-) Mais ça ce sera pour plus tard. Après tout, il voulait faire de moi sa petasse et éviter que mes trous s’assèchent …