Mon deuxième plan de l’été dernier avec un rebeu
Histoire gay publiée le 09/04/2020
Salut, c’est Kevin, le black d’1m80 qui kiffe toujours autant les rebeus. Chose promise, chose due : je vous raconte mon deuxième plan de l’été dernier avec un rebeu. Celui-là, c’était avec un certain Abdel. En fait, c’est pas mon premier plan avec lui mais on va dire que c’était la première fois cette année qu’on baisait ensemble. Abdel et moi, ça fait 10 ans qu’on se tourne autour. Lui kiffe les renois, moi les rebeus. Ca aurait dû le faire plus tôt entre nous mais il s’est casé avec des mecs quand moi j’étais célibataire et vice versa. Toujours est-il qu’en 2019, mister est célibataire et moi aussi. Il m’envoie un message un soir pour me dire qu’il est chaud et qu’il a trop envie de mon cul. A la base, je suis plutôt actif mais avec lui, je file mon boule sans me poser de questions. Rendez-vous est pris pour le soir même. Il arrive à mon appart et direct, il me roule une bonne grosse pelle dans l’entrée. Putain, ça va être chaud ce soir. On se cale sur mon canapé dans le salon et on continue les préliminaires. Il me caresse et finit par sortir mon zeub de mon short. Il commence à me branler, ce qui a le don de me faire durcir en moins de 2. Pas égoïste pour 2 sous, je tâte son paquet à travers son jean. Putain dans mon souvenir, elle n’était pas aussi épaisse. On continue à se galocher 2-3 minutes et il commence à retirer mon short. Je suis à poil en dessous, direct prêt à l’emploi mdr Il se met à genoux devant moi et me caresse les couilles. Il sait y faire car ça me colle des décharges jusque dans la teub. Il s’approche de mon zeub et l’engloutit ni une ni deux. Oh le kif, je sais plus où j’habite ! Au bout de 2 minutes de suce, je lui dis : on va dans la chambre ! Une fois sur mon pieu, on termine de se foutre à poil direct. On continue de se rouler des pelles, ce qui a pour effet de nous chauffer encore plus. Mais de nous 2, c’est Abdel qui est le plus bouillant. Il m’installe sur le dos et remonte mes jambes pour avoir accès à mon cul. Je sens sa langue lécher ma rondelle, rentrer dans mon trou puis en ressortir. Au bout de 5 minutes de bouffage de boule, je dis : Abdel, vas-y baise moi ! Mon rebeu ne s’est pas fait prier : il a mollardé sur mon trou et sur sa queue. Puis il a rentré son gland. Mon trou s’est immédiatement relaxé si bien qu’il a pu rentrer jusqu’à la garde. Une fois en place, je lui balance “Vas-y, fais toi plaiz” Abdel commence ses va et vient d’abord lentement puis au bout d’une minute, beaucoup plus sauvagement. Je sais qu’il est endurant mais vu comment il est caliente, il va pas tenir longtemps ce soir. Pourtant, il tient le rythme et au bout de 5 minutes de missionnaire, il me fait asseoir sur lui. Il me fourre à nouveau la queue dans le cul et reprend la baise en mode énervé. Au bout de 10 minutes, je lui demande de faire une pause. Il profite de ce temps mort pour enfiler une capote et au bout de 2 minutes, il recommence à me baiser en levrette cette fois. Il repart en mode marteau piqueur... sauf que la levrette le fait kiffer comme un malade : il en profite pour me claquer les fesses. Au bout de 5 minutes, je sens sa bite se raidir et dans un long râle de mâle, il lâche son jus dans la capote. Trop bon ! Tous les 2 transpirant, on s’allonge sur le lit et on reprend notre souffle. Abdel me dit : “T’as pas juté toi ?” Je lui dis non. Il me dit : “Vas-y, donne moi ton jus mais fais vite, je dois rejoindre la mif après.” Je lui réponds : “OK sauf que j’ai trop envie de ton cul moi” Il me dit : “Ca fait longtemps que je me suis pas fait prendre” Je lui fais “Vas-y, on essaie. Si tu as trop mal, je me branle sur toi.” Il me répond “OK !” Je le metsà 4 pattes et commence à lui bouffer la rondelle. A ses gémissements, je sens qu’il kiffe ma langue. Je lui bouffe le cul en mode express (Mister est pressé) et je mollarde sur son trou pour faciliter le passage. Je pose mon gland sur sa rondelle et je commence à pousser mon zeub en lui. Il serre les dents et gémit. J’ai un peu pitié de lui mais j’ai trop envie de son cul. Je commence mes va et vient tout doucement. Il encaisse difficilement mais il encaisse. A ce rythme là, je suis pas près de juter. Sauf que son trou est encore un peu serré, ce qui a pour effet d’accompagner fermement chaque mouvement. Et de faire monter le jus lentement mais sûrement. Je continue tranquillement la baise et lui semble supporter. Je lui claque le cul aussi et j’augmente un peu le rythme. C’est moins endiablé que tout à l’heure mais c’est suffisant pour que je sente un début d’orgasme monter dans mon zob. Je veux trop profiter de cette sensation et j’accélère encore un peu le rythme. Putain, je sens l’orgasme arriver de plus en plus fort. “Abdel, j’ai envie de juter” Il me dit : “Fais ce que tu as à faire” L’orgasme me terrasse et j’inonde ses entrailles de mon foutre. Trop, trop bon ! Bon, là, Abdel est à la bourre. Il prend une douche express, se rhabille, me galoche une dernière fois et file rejoindre sa famille. Putain, Abdel, au top la baise du vendredi soir ! Il me reste une autre baise avec lui à vous raconter. Ce sera pour la prochaine fois.