Les Belles Boules
Histoire gay publiée le 04/09/2019
J'ai un gros fétiche : les couilles, les burnes, les boules, les bourses...Appelez-les comme vous voulez mais dans tous les cas je les adore! Quand je vois des photos ou des vidéos de mecs sur des sites pornos, la première chose que je remarque ce sont les bijoux de famille. Leur taille, leur pilosité ou manque de pilosité, leur forme, leur couleur, leur façon de se contracter ou de se relâcher selon que le mec soit en érection ou pas. Ma préférence va aux grosses couilles, poilues, pendantes mais pas trop et j'aime bien quand la couleur de peau des couilles est un peu plus foncée que celle du reste du corps. Pendant des mois j'avais trouvé mon paradis avec un blog allemand où un mec a téléchargé une impressionnante collection de centaines de photos de burnes sous toutes les formes et sous tous les angles. J'étais très triste quand le blog a été supprimé et avec lui toutes les photos. J'ai pris l'habitude d'aller dans des saunas et des hammams de la ville. Qu'ils soient des établissements pour tout le monde ou des établissements gays. Je profite bien sûr pour m'en mettre plein la vue et mater un tas de paire de couilles. Un jour je suis allé dans un de mes hammams préférés. Il est principalement fréquentée par des hommes d'origine arabe et turque. J'aime bien cet endroit car la clientèle est plutôt âgée (40 ans et plus). La plupart des hommes se connaissent bien. Certains habitent le même quartier, d'autres vont à la même mosquée et d'autres sont originaires de la même région du Maghreb ou de Turquie. Ils se connaissent tellement bien que personne n'utilise de serviette et tout le monde se balade les boules à l'air. Autant dire que c'est le paradis pour un fétichiste comme moi. En plus, tous les hommes ont des couilles bien poilues ce qui m'excite encore plus. En ce qui me concerne, je n'ai que 29 ans et je suis blanc comme neige. Donc c'est un peu raté pour passer inaperçu. Mais je n'ai jamais eu de problèmes et plus je viens, plus j'attire moins de regards suspicieux. Une matinée de septembre, tous mes rendez-vous ont été annulés par pur coïncidence et je me retrouve sans rien à faire de 10h jusqu'à 15h. Je décide d'aller me détendre (et me rincer l'œil) au hammam. Dans la grande salle centrale, il n'y a que trois vieux habitués qui ne m'intéressent pas beaucoup physiquement parlant. Je pars faire un tour dans les petites salles et là, je trouve une salle occupée par une seule personne. C'est un homme arabe que j'avais déjà repéré les deux dernières fois que je suis venu. Il doit avoir 50 ans environ. Il est un peu fort mais pas gros. Il est assez grand de taille, environ 1m83. Il a une belle gueule d'homme viril et en bonne santé. J'aime beaucoup ses sourcils bien fournis et sa moustache qui lui donne un air de dictateur d'un pays arabe. Il est poilu. Sa bite au repos est un joli morceau circoncis de 14 centimètres environ. Mais ce qui me fait craquer ce sont ses couilles qui sont proches de la perfection. Honnêtement, même dans mes rêves, je n'imagine pas une aussi belle paire de boules. Elles sont grosses, lourdes, velues et pendantes. J'ai envie de plaquer ma gueule contre elles et de les laver avec ma langue. Je m'assois en face de lui. Je le salue poliment comme il est d'usage de le faire ici même avec des inconnus. Il retourne ma salutation. Les gens ici sont assez bavards et le monsieur ne tarde pas à faire la conversation avec moi. Il parle très bien français avec un léger accent arabe. J'aime beaucoup l'entendre rouler les "R" avec sa voix grave. J'apprends que c'est un homme d'affaires algérien et qu'il passe son temps à voyager entre les deux pays. Il fréquente ce hammam depuis 15 ans à chaque fois qu'il vient en France. Je participe peu à la conversation. De toute façon mon attention est fixée sur sa superbe paire de couilles. J'essaye de ne pas trop regarder mais je sens que je n'y arrive pas. Étrangement, le monsieur écarte un peu plus ses jambes au fur et à mesure que le temps passe. Puis, je remarque avec un choc immense que son zob est en pleine érection. Une magnifique tige de 22 centimètres. Mais le plus surprenant c'est que moi aussi j'étais en train de bander sans m'en rendre compte. Je lève les yeux vers le monsieur et je le vois me regarder avec malice et avec un petit sourire en coin qui veut tout dire. -"Approche jeune homme" me dit-t-il avec sa voix virile. J'obéis et je me mets instantanément à genoux devant lui. Il prend ma tête entre ses mains larges et m'écrase le visage contre sa bite et ses couilles. Je gémis de plaisir et il comprend que c'est ce que je recherche. Alors il continue à m'enfoncer la gueule dans son entrejambe. Ensuite, il prend sa queue et me donne des petits coups sur la langue avec. -C'est mon zob que tu veux? C'est pour ça que tu n'arrêtes pas de le regarder depuis que tu es venu? Réponds -moi, petit pédé! -Oh OUI! JE VEUX SUCER VOTRE BITE MONSIEUR. JE VEUX BOUFFER VOS COUILLES, LES LÉCHER BIEN COMME IL FAUT. -Ah je le savais! Tu sais comment on appelle les gens comme toi chez moi. Un aatay, une qahba! Ça veut dire pédé, catain. Vas-y bouffe mes boules. Et attention, je veux bien sentir ta langue. Compris salope? -Oh oui. Merci Monsieur. C'est un honneur de vous lécher les couilles. Vous ne pouvez pas savoir comme ça m'excite! -Hahaha toi tu aimes vraiment les couilles! Alors mets-toi au boulot! L'homme a ensuite mis ses mains derrière sa tête et il a écarté un peu plus les jambes. Je n'en croyais pas mes yeux. Ce mâle arabe me laissait carte blanche pour m'occuper de ses burnes. D'habitude, les mecs sont tellement pressés d'avoir leur bite au fond de ma bouche qu'ils m'empêchent de bien me concentrer sur les couilles. Mais là, cet homme m'offrait la possibilité unique de vénérer ses couilles aussi bien et aussi longtemps que je veux. J'avais envie de jouir rien que pour ça! Je me suis mis au boulot. J'ai pris le gros zob du monsieur dans une main pour le branler lentement et avec mon autre main, j'ai délicatement saisi son joli sac poilu. J'ai approché ma tête et j'ai pris le temps de sentir son odeur masculine. Mon nez s'est collé au centre du sac et j'ai respiré profondément cette senteur de mâle viril. Puis j'ai appuyé mon nez et ma bouche contre ses burnes. J'ai ensuite légèrement tourné la tête dans tous les sens pour que ses couilles se frottent contre mes joues, mon front, mon menton. Je voulais que mon visage tout entier entre en contact avec cette merveille de Dame nature. Ensuite, j'ai sorti ma langue et laissez moi vous dire que j'ai failli juter au moment où elle a touché le scrotum. Après, j'ai commencé par lécher lentement en prenant soin de ne pas négliger le moindre recoin. Le monsieur semblait apprécier mon traitement car il a poussé un grognement de plaisir. Ma langue est allée derrière le sac, devant, sur les cotés. Les poils étaient trempés et collaient à la peau du sac. Enfin, le moment est venu de prendre en bouche les jolies boules. J'ai démarré par la couille gauche que j'ai sucé, lavé, léché pendant deux longues minutes. Puis, je suis passé à l'autre couille et je lui ai réservé le même traitement. Ensuite, j'ai ouvert grand la bouche et je les ai prises toutes les deux en même temps. Le monsieur semblait impressionné par ma technique et très excité par tout ce que je lui faisais. Il n'arrêtait pas de répéter des phrases comme "Vas-y continue salope! ", "C'est bon ça petite petasse!",... Ma main sur sa bite a accéléré le mouvement. Dans ma bouche, c'était l'extase. Je sentais les deux couilles se frotter l'une contre l'autre, s'écraser l'une contre l'autre. Avec ma langue, je jouais avec, je faisais monter l'une sur l'autre. Avec mes dents, je mordillais gentiment les deux testicules. Ma succion des boules est devenue aussi frénétique que les mouvements de ma main sur sa queue. J'ai gardé le rythme jusqu'à ce que j'entende le monsieur râler de plaisir. Dans ma bouche, les couilles se sont contractés brusquement. Puis, cinq grosses giclées de foutre sont tombées sur mon visage. Moi-même je n'ai même pas eu à me toucher pour jouir et cracher mon sperme sur le sol du hammam. L'homme s'est ensuite levé. Il m'a regardé et m'a dit que jamais il n'aurait imaginer prendre autant de plaisir avec un mec lui léchant les couilles. Puis il est parti et je suis resté dans la petite salle emplie de vapeur. J'avais mal à la mâchoire mais ce n'était rien comparé à l'expérience fantastique que je venais de vivre.