Baisé dans la salle des coffres
Histoire gay publiée le 05/02/0201
Je travaille en tant qu'employé de banque dans une petite ville de province. Je suis marié mais j'ai toujours eu un penchant pour les hommes. J'ai 32 ans, je mesure 175 cm pour 70 kg. Je suis mince, un peu musclé et je m'entraîne pour être mieux bâti. Chaque jour à l'ouverture de la banque, il vient pour effectuer des opérations bancaires. Je ne sais pas pourquoi à chacune de ses venues, j'arrête tout travail et mes yeux se tournent irrésistiblement vers lui. Lui c'est Rachid, la trentaine, 180 cm tout en muscle, son travail veux ça, il est maçon. Nous sommes au mois de juillet, je suis seul car le directeur de l'agence est en formation. Il vient de rentrer, la chaleur à l'extérieur est écrasante, il est vêtu d'un short en coton gris qui laisse deviner des fesses tout en muscle. En ce jour de canicule, il est venu en débardeur qui dévoile ses épaules, une partie de son torse et de ses pecs. Mais par dessus tout, on découvre ses bras musclés et ses biceps qui se dessinent admirablement bien dès qu'il plie ses bras. Je ne suis pas le seul à être subjugué par sa beauté. Toute la gent féminine en est aussi tout émue. Outre son corps d'athlète, son visage est aussi très beau. Il a les cheveux courts, une barbe bien taillée qui lui donne un charme fou. Pour la première fois depuis des mois je viens de me faire griller car il vient de remarquer que je le matais. Faisant fi de rien, je repris mes activités et finis de servir mon client. L'agence fermant à 12h30, je croyais avoir servi mon dernier client quand le beau Rachid se présenta à mon guichet. Je le saluais et lui demandais en quoi je pouvais l'aider. Il me salua à son tour et il me dit qu'il n'avait besoin d'aucune aide, si ce n'est un bon cul de céfran pour lui péter son boule car il avait grave envie d'éclater une bonne chatte. Surpris par ce langage, je marquais un temps de silence et c'est alors qu'il revint à la charge et qu'il me dit : ton boule tu me le donnes sale chienne ou il faut que je te pénétre. Cette rudesse me fit chavirer et sans savoir pourquoi je me mis à bander. Comprenant ce qu'il se passait, il eut un sourire coquin et me dit : je ne t'ai encore rien fait et je suis sûr que tu mouilles de la chatte et du cul. Je sens que je vais passer un bon moment. Je lui précisais que je devais fermer l'agence. Une fois celle-ci fermée il me plaqua contre le mur. Il était tout en sueur et cela m'excitait d'autant plus. Comme il l'aurait fait avec une femme, il souleva ma jambe droite et me roula une pelle magistrale. Il se mit alors à m'embrasser dans le coup tout en m'enlaçant rudement de ses bras musclés. J'étais vaincu et je me laissais faire. C'est alors qu'il prit ma main droite et la dirigea vers son entre-jambe (il ne portait pas de caleçon) et il me invite à lui caresser la bite. Il me dirigea peu car il me dit "c'est bien tu apprends vite et tu sais comment me donner du plaisir". Sa bite était longue et épaisse. Il me demanda si elle me plaisait et je ne pus qu'acquiescer. Il baissa son short, me mit la main sur la nuque et m'obligea à m'agenouiller pour que je suce son dard. "C'est bien" me dit-il, "c'est ce que tu voulais une bonne queue bien épaisse d'arabe". "Vas-y fais-toi plaisir et n'oublie surtout pas de faire plaisir à ton homme". Ma femme me suçait mais elle ne savait pas vraiment ce qui me faisait plaisir. Sachant ce que j'aimais en matière de fellation, je m'attachais à lui faire ce que je souhaitais qu'on me fasse. Il semblait tellement apprécier que ses râles de plaisir étaient très bruyants. Ne sachant pas ce qui m'arrivait, tout d'un coup, il prit ma tête entre ses deux mains et il me défonça la bouche. Il y allait tellement profondément que j'avais des envies de cracher. Il s'écriait "c'est bon ça ma petasse mais je ne veux pas te remplir la bouche mais te remplir ta chatte en chaleur". C'est à ce moment-là qu'il me demanda s'il y avait un endroit tranquille pour éssouffler mes cris quand il me féconderait. Je lui suggérais la salle des coffres. Nous sommes alors descendus. Il me demanda de me mettre à poil d'un ton autoritaire. Je m'exécutais, entre temps, il avait retiré son débardeur et je finis par découvrir son torse magnifique, il était musclé, sec et ses abdos étaient parfaitement dessinés. On aurait dit un mannequin. Il me colla contre un mur de coffre, il me roula une pelle, souleva ma jambe droite et commença à aller fouiller mon trou. Pour la première fois de ma vie je tressaillis. Il sentit l'effet qu'il me procurait et il me dit "t'aime ça". Il se permit de m'humilier un peu plus quand il me demanda si la photo de la jeune femme sur le guichet était ma femme. Je lui répondis que oui. C'est alors qu'il éclata de rire. Je fus très étonné et d'un ton très satisfait de lui, il me dit "non seulement j'ai fécondé ta femme mais en plus je m'occupe du mari, c'est trop bon". Il continuait toujours le travail sur mon cul, il avait entré plusieurs doigts et j'avais l'impression que mon cul avait la taille d'un boulevard. C'est alors qu'il me retourna, me demanda de cambrer mon cul et je sentis sa queue bien raide sur ma rondelle. Je lui demandais s'il avait un préservatif et il me répondit que comme ma femme s'en était passé, je pourrais m'en passer. C'est alors que sans m'y attendre je sentis une profonde douleur, il était rentré à sec et je sentais désormais ses couilles contre les miennes, son torse puissant contre mon dos, son souffle dans mon coup et il me dit : "tu la sens bien, moi je suis bien, détends-toi et profite". La douleur s'estompa et il commença ses va-et-vient. Il me masturbait en même temps et j'éprouvais un plaisir intense. Au bout d'un moment je lui demandais de ralentir car j'allais jouir. Il me dit qu'on ne contrariait pas son homme et que c'est lui qui décidait. Je finis par jouir, mon cul se resserra pendant qu'il continuait à me pilonner. Au bout de 10 minutes, il se vida dans mes entrailles de plusieurs bons jets. Il se colla à nouveau contre moi, m'embrassa et se retira. C'est alors que je sentis son jus couler le long de ma jambe. Il me demanda enfin de nettoyer sa queue avec ma bouche avant qu'il ne se rhabille. Cette première expérience fut une joie immense et avant de partir, il me dit d'un ton moqueur que la prochaine fois il me baiserait devant ma femme avant qu'il me montre comment on baise une meuf.