WADJI L'HETERO 2
Histoire gay publiée le 03/03/2009
Aucune de mes meufs a jamais vu mon anus, et personne d'autre d'ailleurs. Et là, j'avais envie qu'il regarde. C?était bizardre Je savais pas pourquoi mais ça m'excitait.
Avec son pied, il a écarté le mien et mes jambes étaient écartées de 50 ou 60cm. J?étais plus stable au sol. Il a pris mes couilles dans une main et les a ramenées par derrière. Ca tirait ma teub vers le bas, devant moi. J'avais toujours une super trique et je mouillais. Ça faisait des jeune homme. J'avais l'impression d?être un animal qu'on allait traire. Et je me suis senti bien. Entre ses mains. La peur que j'avais encore un peu s'est transformée en confiance totale. J'adorais être comme ça, mes couilles dans sa main.
J'avais l'impression de pouvoir me reposer de toujours faire le fort, le puissant. Je pouvais m'en remettre à lui et il s'occupait de moi. Je me détendais. Je sentais mon cul moins serré et cette zone devenait très présente à ma conscience. Mais lui n'a pas senti que le chemin s?était ouvert et il continuait à rassembler mes couilles dans sa main, par entre mes jambes comme pour faire un petit paquet avec. Ma bite montrait le sol.
Il a pris une de mes Nike et il a attaché le lacet autour de mes boules, pour les isoler du reste de mon corps. Puis il a laché la shoes et je me suis retrouvé avec ma Nike qui pendait entre mes jambes, accrochée à mes couilles qu'elle tirait un peu vers le bas.
Il m'a laissé encore un moment comme ça. Moi, j?étais devenu super excité. Ca allait trop lentement j'avais envie de me branler et de jouir vite. Mais il me faisait toujours attendre. Je regrettais même d'avoir serré les fesses tout à l'heure. J'avais envie qu'il revienne sur mon cul. Mais j'aurais pas osé le dire. Seulement je sentais que c?était la zone qui m'appelait le plus. J'avais même envie d'approcher mes doigts, alors que je me suis jamais intéressé à cette zone. Je me suis même pas doigté plus que trois ou quatre fois dans ma vie et c?était plus par curiosité que pour me branler.
Enfin il a de nouveau approché sa main. Elle frolait mon cul et ça m'a chauffé à mort. J?étais prèt à gémir, il a fallu que je me retienne. J'avais envie de lui dire d'y aller. Il a écarté mes fesses en écartant juste son doigt et son index. J'ai senti de l'air froid contre mon anus. J?étais content qu'il soit comme ça, à l'air, et j?étais content de lui montrer. Il a passé son doigt sur la rondelle. Ca me faisait vraiment frémir.
Il était très près de moi. Je sentais son souffle. J'avais l'impression qu'il me disait : « alors, tu vois ? quand je te disais que je saurais te soumettre? ». Et j'imaginais que je lui répondais : « vas-y, fait comme tu veux. J'ai lâché ma pudeur et je me donne complètement. Dis-moi encore ce que tu veux voir de moi. Je te montrerai tout ».
Il est parti chercher un objet, en me laissant dans ma position, debout devant le mur, les couilles tirées vers le bas par ma sket. Il est revenu avec une matraque en cahoutchou dur, longue. Elle me paraissait énorme parce que je suis pas habitué à ce genre de plan vu que j'en ai jamais fait. Et bien sûr, je suis vierge du cul. C?était pas dur pour moi de le défendre, ni de défendre ma réputation.
Il a brandi la matraque devant ma bouche pour que je la suce. J'ai pas ouvert la bouche. Il m'a dit : « écoute Wajdi, je t'oblige pas à me parler. Mais j'aurai une réponse selon ce que tu décides. Soit tu la suce et je te la mets avec douceur. Soit tu refuses et je te la mets sans ménagement et à sec. De toute façon tu vas l'avoir. Donc tu choisi ».
Il a tenu la matraque à porté de ma bouche. J?étais pas décidé à me laisser la mettre, c'est pour ça que j'hésitais. Au moment où j'ai senti qu'il allait la reculer, j'ai ouvert la bouche pour accepter. Il me l'a donné à lècher, puis à sucer comme une bite. J'ai mis beaucoup de salive. Il a déplacé la matraque d'abord sur mon torse et mes tétons. Je sentais bien que j?étais en train de me soumettre à l'objet. La matraque me dominait le torse. J'avais les muscles bandés. La bite tellement en érection depuis le début que ça me faisait mal.
Il m'a redonné la matraque à lècher. J'ai remis de la salive. Il a posé le bout sur le bord de mon fion. Je me suis laissé plaquer contre le mur et j'ai senti qu'il poussait doucement, et que le matraque glissait tout seul à l'intérieur. Je sentais que ça m?écartait doucement. Au début ça faisait mal mais il l'a retiré un peu puis renfoncé. C?était trop bon comment ça m?écartait. Très vite j'ai eu envie de l'avoir entière. Mais je crois pas qu'il ait enfoncé plus de 10 ou 15cm. J'avais envie de gémir aussi et je crois bien que j'ai gémis un peu. En tout cas je respirais fort et j?étais bien. Comme comblé.
Je m'en suis surtout rendu compte quand il l'a retirée. Ca me manquait à fond. Il a voulu que je la lèche, j'ai pas voulu. J'avais trop envie de l'avoir de nouveau. J'ai murmuré : « remets la un peu? ». Il m'a répondu : « Si je veux ! ». Puis il m'a dit que je pouvais me doigter en attendant si j'avais trop envie. Mais seulement avec au moins deux doigts. Il m'a dit : « a partir de maintenant, même si tu le fais seul, t'as plus le droit de te doigter d'un doigt. Tu dois toujours commencer au moins avec deux ».
Je me suis vu en train d'essayer de me doigter par derrière, la basket entre les cuisses. J'ai eu honte et là, en écrivant, j'ai quand même honte d'avoir été aussi loin dans un truc qui, pour moi, est vraiment hard. Mais en même temps qu'elle trique j'avais depuis le début... De plus en plus dure, de plus en plus mouillée.
J'ai pu mettre un peu mes deux doigts. Mais ça faisait pas pareil. Au bout d'un moment, il a pris mon bras et a tiré rudement dessus pour extraire mes doigts et me laisser de nouveau sans rien. Il m'a redonné la matraque a sucer. Cette fois, je l'ai fais. Et il me l'a remise. C?était vraiment incroyable comment je me sentais comblé quand je l'avais. Il l'a fait aller dans des zones qui m'excitaient trop, parce que c'est un expert du corps ce mec et il sait apparemment plein de trucs. Il m'a fouillé le cul avec la matraque et un moment, j?étais trop excité, j'ai juté contre le mur sans même toucher ma teub ou mon gland. Je croyais même pas que c?était possible.
J'ai trop jouis. Y en avait plein le mur. Il avait l'air content pour moi. Il m'a détaché les couilles. Et je me suis assis par terre contre le mur, près de mon sperme. Il m'a laissé un peu tranquille. J'ai refléchis. Je me sentais pas mal. En tout cas, je me sentais toujours aussi viril qu'avant. J'ai pas eu du tout l'impression d?être changé en meuf, au contraire. J'ai trouvé ça super masculin de jouir comme ça. J?étais bien. Je me suis juste couvert la teub avec mon survet.
Quand il est revenu, il m'a regardé amicalement, il a pointé son doigt sur le mur pour me montrer mon sperme qui avait coulé. J'ai pris ça pour un ordre de nettoyer. J'ai lèché mon sperme sur le mur. Je l'ai fais avec application. J'avais vraiment envie de lui faire plaisir. En me soumettant.
Je crois que dans la foulée, j'aurais pu le sucer. Il me l'a pas demandé. J'ai cherché ce que je pourrais faire pour lui faire plaisir. J'ai écarté le survet pour lui montrer ma teub qui rebandait. Et je me suis branlé devant lui, sans rien dire, en lui montrant vraiment le plaisir de ma queue, de mon gland, de mes couilles. En le laissant vraiment tout voir de cet acte d'intimité. J?étais heureux de lui montrer. De m'exhiber sans pudeur devant lui.
Ca fait deux semaines, et j'ai pas encore osé le revoir, même dans un contexte normal. Je sais pas si j'ai envie de le refaire. Pour moi ça a été fort, mais c'est pas l'image de moi que j'aime avoir. Ce qu'y me gène c'est que je dois garder ça pour moi. Je peux en parler à personne autour de moi. C'est pour ça que j'ai eu envie d?écrire ça ici.