WADJI L'HETERO EXHIB 1
Histoire gay publiée le 03/03/2009
Salut,
Je m'appelle Wajdi, j'ai 24a, je suis étudiant et je fais beaucoup de sport.
Normalement, j'suis plutôt fougueux. J'adore le sport pour le physique et pour le jeu. J'aime bien aussi qu'on m'admire et j'aime bien être leader. Je suis bi et je préfère nettement les meufs. Je suis avec une meuf depuis huit mois et on est super bien ensemble.
J'ai rencontré un keum, par le sport. Il a 28a, il s'appelle Manu, et il est super équilibré dans sa tête. Il vit ses passions à fond, mais discrètement. Comme moi, il est hétéro, mais il m'a fait comprendre que je lui plaisais Il me faisait des phrases provocs, genre : « tu fais le fier, mais j'suis sûr qu'on doit pouvoir te dominer ». Ca me faisait rigoler mais au fond ça me faisait bizarre. Surtout quand j'y repensais après. Après je m'suis branlé en pensant à lui et en pensant que je me soumettais.
Ca me faisait drole jusque dans le ventre. Je m'imaginais vivre l'inverse de ce que je suis en réel. Je sais que je suis trop macho, même ma meuf elle le dit. Autour de moi, et dans l?équipe, je suis leader. J'aime bien que les choses aillent comme je veux. Et pourtant je me branlais en imaginant que ce mec me matait.
A puissance j'ai eu envie de tenter avec lui. Il a du commencer à le sentir et faisait de plus en plus de provocs et de propositions. Comme il avait l'air vraiment clair avec ça, ça me rassurait. J'avais confiance.
Y a quinze jours, j'ai répondu à une provoc de venir chez lui. Il m'a donné un rendez-vous pour le lendemain. J'ai flippé grave en pensant que j'allais y aller. J'avais de la peur, et en même temps ça m'excitait à donf.
Je suis arrivé chez lui, direct on avait pas la même relation que d'habitude. Ca faisait moins potes. Mais je sentais toujours la complicité et la confiance. Il m'a dit de me mettre torse nu. J'ai senti que je pouvais encore le prendre à la rigolade ou que je pouvais choisir de le faire. J'ai hésité, j'avais envie de le prendre à la rigolade pour chasser ma gène. Mais j'ai fait le pas et me suis foutu torse nu. J'ai obéis. Et là je suis passé dans autre chose. J'avais plus du tout envie de rigoler. J'ai baissé la tête et je sentais une putain d?émotion monter en moi. On est resté comme ça un moment sans parler. Il me regardait. Il me laissait le temps de savourer le fait d?être en train de me soumettre à ce qu'il avait voulu. Et moi il me montait une putain d?émotion, trop forte, qui me coupait le souffle.
Je parlais plus. Il m'a dit de me mettre face au mur, à 50cm du mur. Il s'est approché et m'a palpé. Il était derrière. Les épaules, les bras, les pecs, les abdos. J'ai bandé direct. Il a palpé mes fesses par dessus le survet, les cuisses. Il m'a dit de mettre les mains contre le mur. Je l'ai fait. Il a posé sa main sur ma teub pour découvrir que j'avais la trique. Je l'ai entendu sourire, un peu sarcastique. Il a baissé mon survet jusqu'aux chevilles. J'avais un slip blanc en coton. Il m'a laissé comme ça un moment. J'avais la honte a fond et en même temps je triquais à fond. Pour me rassurer, il m'a conseillé de m'autoriser à ressentir ce que ça me faisait et d'en profiter.
Je restais contre le mur à tenir la position. Il m'a à nouveau palpé. J'avais l'impression d?être un objet qu'on ausculte. Ca me faisait mouiller mon slip car ça durait longtemps. Il a baissé mon slip à mi-cuisse. Ca a libéré ma teub qui s'est dressée devant moi. Elle monte haut car elle est légère. Elle fait 20cm mais elle est fine. Et je bandais au maximum.
J'avais l'impression d?être percé, surtout que normalement, je suis super pudique. Même dans les douches, j'aime pas montrer ma teub. Et là je bandais et je pouvais pas le cacher. Au contraire, elle était super dressée et il regardait. J'ai fermé les yeux. J'avais un fil de mouille qui commençait à pendre vers le sol. Et je sentais l'odeur de mon corps et de ma teub qui montait légèrement.
Ca allait très lentement. Il m'a dit : « allez Wajdi, tu peux te désapper complètement ». J'ai viré mes skets, mes chaussettes, mon jog et mon slip que je lui ai donné à sa demande. Lui il est resté complètement habillé. Il a inspecté mon slip qui était clean. Mais il a forcément trouvé deux ou trois gouttes d'urine et de la mouille. Il s'est approché, il m'a montré les taches d'urine et m'a demandé ce que c?était. J'ai répondu :
- C'est de la pisse.
- De la pisse à qui ?
- C'est la mienne. C'est ma pisse.
- Et ça ?
- C'es de la mouille?
- Ca t'a plu de t'exhiber comme ça ?
- ? Faut croire.
- Remets-toi en position contre le mur.
Franchement, j?étais étonné d'obéir comme ça. Je me reconnaissais pas.
Il a plaqué mon slip entre mes lèvres. Comme j'ai pas voulu ouvrir ma bouche, il a essuyé la mouille contre mes dents.
Il m'a laissé attendre un peu dans la position. J'avais beau être à poil, j'ai repris confiance. J'avais moins de gène. Je suis super bien dans mon corps et ça se sent. Je sais que je suis beau. Je fais 1M76, 66kg, je suis bien foutu, mince mais musclé, et souple. Vif. Brun court, les yeux foncés, le torse imberbe sauf quelques poils sous le nombril. Je suis bien bronzé après l?été. Il me matait et ça me rendait assez fier car je sentais qu'il appréciait.
J'ai senti son doigt partir de ma nuque et descendre tout mon dos. Je savais qu'il irait jusqu?à mes fesses et j'avais pas envie de le laisser aller par là. Quand son doigt est arrivé au bord de ma raie j?étais pas à l'aise. J'ai plutôt serré les fesses. Il a essayé d?écarter un peu mais j'ai pas lâché et il a pas encouragé. Il m'a dit : - Toutes façons tu vas t'ouvrir? je fais le pari qu'il suffit d'attendre.