YASSINE ET ZIAD, LE BOGOSSE DU CHAT
Histoire gay publiée le 02/09/2008
Ca devait faire quelques semaines que je chatais avec lui par téléphone et MSN. Il s'appelle Ziad. Il a 37 ans. Il est très matte de peau, avec un bouc et un physique de mec qui fait du sport ! C'est un algérien. Je le kiffe grave parce que non seulement c'est un beau gosse mais en plus il a trop le caractère qui m'excite. Le type macho, très viril, qui aime dominer et voir que c'est lui le maître de la situation. Le problème c'est qui vit à Lyon (moi j'suis à Paris). Comme je suis toujours en cours, j'attends péniblement la fin du semestre pour le rejoindre.
A la fin du semestre, je prends direct un billet de train pour Lyon. On avait tout réglé ensemble. Arrivé à la gare, je l'appelle. Il me dit qu'il m'attend sur un parking à côté. Quand je débarque sur ce parking, j'entends un klaxon. C?était lui, dans sa voiture noir, une belle voiture mais pas trop tape-à-l??il. Je monte à côté et il démarre directement. Sur la route, on parle de tout et de rien, impatients de faire ce que l'on attend depuis des semaines. J'adore les beaux mecs machos et lui les petits passifs bien soumis. On est fait pour s'entendre !
Arrivés chez lui, on boit un verre vite fait. Puis, il se lève. Debout devant moi, il me caresse les cheveux et me lance :
« Alors ma grosse chienne de Panam, toujours aussi salope ?
- Encore plus oui !
- Ma bite gonfle là salope, c'est ta faute !
Il me crache sur la figure et me donne une petite claque sur le visage. Il me jette ensuite sur le canapé et m'ordonne de me déshabiller et de l'attendre dans sa chambre, en position de chienne sur son lit. J'obéis bien sûr !
Une minute après il débarque, il porte juste un marcel gris serré. Je l'attends, face à lui, à quatre pattes sur le lit, le cul bien cambré et la langue bien tirée. Il s'approche, me prend le visage et me dit : « Bouffe ma bite comme t'aimes ! ».
Ziad m'attrape par la nuque et m'enfonce sa bite au fin fond de ma gorge. J'ai l'habitude de sucer (je suis même expert !) mais là j'avoue que le mec est particulièrement rude. J'ai presque envie de cracher à chaque fois qu'il me l'enfonce au fond de la gorge. En plus, il bande très dur, donc sa bite est très'puissante ! En me baisant ainsi la bouche, il ne peut s'empêcher de m'insulter : « Ah t'aimes ça ma grosse chienne », « Tu la kiffes ma grosse bite », « suces bien salope »? A chaque fois, je dois répondre par des gémissements.
Après ce limage de bouche d'environ 10 minutes, il s'allonge sur le lit, retire son débardeur de mâle sexy et écarte bien les jambes :
« Continue ma chienne ! me lance-t-il.
Je me plaque entre ses cuisses robustes et déjà ruisselantes de transpiration sexuelle? Je continue de le sucer sans m'arrêter, à part de temps en temps, quand je sens que je ne peux plus respirer !
De nouveau, Ziad se lève, me prend par les cheveux et me m'allonge sur le lit.
« Ecarte les jambes ma p'tite chienne !
Il enfile rapidement une capote, et rentre d'un seul coup dans mon cul. J'ai crié très fort sous l'effet de la douleur, sa bite large et dure me fait mal au début. Rapidement, le plaisir me gagne. D'autant plus que Ziad me baise de face. Il me donne des coups rapides et rudes en me regardant d'un air furieux. Son corps brille de sa sueur ce qui m'excite encore davantage. Quand j'essaye de l'accompagner dans son limage ou que je bouge un peu, il me donne des claques sur le visage et les fesses en me disant : « toi tu reste tranquille, c'est moi qui baise. Ok salope ?! ».
Ses vas et viens son tellement rapides que sa bite sort souvent de mon cul sans qu'il le veuille. Même si je n'y suis pour rien, il me donne une claque sur les fesses à chaque fois que ça arrive. Et moi, je ne cesse de gémir ! Après une bonne demi-heure de limage intensif, Ziad se relève et jette la capote.
« Ouvre la bouche salope ! me crie-t-il. Je le suce de nouveaux ? C'est encore plus bon parce que sa bite à une odeur encore plus sexuelle. Je sens qu'il va jouir. Il gicle tout son sperme juste après que je retire sa bite de ma bouche. Je retrouve avec une giclée de sperme sur la joue droite. Les autres giclées, Ziad les a guidés dans la paume de sa main droite. Il me dit :
« Vas-y joue avec mon sperme ma chienne.
Même si je ne l'avale pas, j'en mets sur mes doigts puis me caresse avec !
Toujours à poil, il me lance froidement, mais avec le sourire :
« Toi tu bouges pas d'ici. Quand je reviens, j'vais niquer encore plus fort ! ». Il sort de la chambre et claque la porte derrière?