YASSINE ET LE BEAU VENDEUR DE KEBAB
Histoire gay publiée le 01/09/2008
En revenant d'une soirée, je passe devant un Kebab. J'avais envie de tout sauf d'un Kebab mais le mec que je vois derrière le comptoir est hyper mignon. Il est grand, cheveux très courts, teint matte. Il porte un tee-shirt noir serré qui moule son torse musclé. Franchement, un bête de beau gosse !
Je rentre, je demande un Kebab « salade-tomate-sans oignon » et sauce blanche (sans sous entendu bien sûr?). Le gars me sert, mais je mange à peine deux ou trois frites. Je passe mon temps à le fixer, d'autant plus qu'on est que tous les deux. Je me sens à l'aise. On commence à parler de choses et d'autres. C'est lui qui a entame la discussion.
En fait, il s'appelle Karim. Il est joueur de foot amateur mais ici pour dépanner son frère et se faire de la tune par la même occasion. On commence à parler meuf (je sais qu'elles kiffent trop les footballeurs). J'suis tellement excité que je lui déballe tout ce que j'ai à lui dire. Et je fais style de partir vite fait pour voir sa réaction. Il me dit :
« Attends, c'est pas grave si t'es pédé, moi je m'en fous !
- Et si j'ai envie que tu me baise, tu t'en fous aussi ?
Il répond pas, je sais pas trop comment prendre ce silence?_Il reprend :
« Attend, deux secondes? ».
Il ferme le petit restaurant. Il s'approche de moi et d'un coup me bouscule contre le mur. Il s?écrase face à moi, m'embrasse fougueusement et finit par me prendre le visage en me disant : « là je vais te baiser. Mais après, on se connait plus. Tu viens plus jamais ici. On fait comme si on s?était jamais vu ». Il n'attend même pas ma confirmation et me baisse la tête jusqu?à ce que je tombe face à sa bite. Il baisse son jean et son boxer. Un beau morceau déjà raide s?érige devant moi.
J'en ai déjà vu des bites, mais je dois dire que celle-là est parfaite. Pas forcément énorme, mais magnifique. Environ 18cm de longueur, assez large mais surtout aussi bien dessinée que le reste du corps du beau Karim. Je commence comme d'habitude en donnant des petits coups de langues sur le gland et en insistant sur le bout ce qui suscite chez le mec de grands râles on ne peut plus « masculins ». J'enfonce rapidement l'intégralité de son zob au fond de ma gorge et commence à faire des allers-retours intenses. A chaque fois que sa queue se retrouve au fond de ma gorge et que je sens ses poils pubiens titiller mon nez, je lève la tête et le regarde pour lui montrer que je suis un pédé passif qui adore sucer les bites, surtout des aussi belles que celle-là. Pendant près de 20 minutes (j'ai pas vu le temps passer !), j'ai la bite de ce mec dans ma bouche.
Finalement, il prend sa bite par la main et la sors de ma bouche. Il me tapote avec sur mon visage pour essuyer la salive.
« Vas-y lève toi, j'veux voir ton cul ! me dit-il.
J'obéis sans rien dire. Je me mets dos à lui, face contre mur. Je baisse mon jean et mon slip en même temps.
Direct, je sens sa belle bite entre mes deux fesses. Karim commence alors à se branler entre mes fesses. Je gémis alors comme une petite femelle ce qui, je crois, lui plait beaucoup. Au bout d'un moment, il recule, retire son tee-shirt et enfile une capote. Je tourne la tête pour le regarder et je constate que ce mec à en effet un physique de rêve. Et avec la transpiration, son torse puissant et imberbe lui fait ressembler à un mannequin dans une pub de parfum pour homme. L'extase !
Il se rapproche de moi, se plaque contre mon dos et enfonce doucement son morceau de chair viril au fond de mon cul. Je gémis au rythme de son entrée en moi-même. Une fois installé en moi, il démarre un vas-viens rapide et à peine rude (juste assez pour me faire sentir femelle). Il pose ses deux mains contre le mur tout en continuant son « travail ». Son torse collé contre mon dos, je sens nos transpirations se mélanger ce qui me fait frissonner et gémir encore plus fort. J'ondule du cul pendant une dizaine de minutes comme jamais tellement je suis excité, lui, il n'en peut plus non plus et je sens qu'il ne va pas tarder à se vider. Bingo ! Quelques secondes et je sens les dents de Karim effleurer mon cou. Il me mordille tout en gémissant et lâchant au moins trois giclées de sperme au fond de la capote.
Il se retire et me dit :
« Franchement, j'pensais pas que se serais aussi bon.
- Moi si, lui répondis-je.
- Finalement, je veux bien qu'on se revient? Il me dit ça avec un sourire de tombeur. On se rhabille et échange nos numéros. Je pensais qu'on allait partir chacun de son côté. En fait, je crois que Karim a autant flashé sur moi que moi sur lui. Il m'invite à son appart (j'y crois pas !). Installés sur son canapé, la télé branché sur une émission pourrie de MTV, on a discuté une bonne partie de la nuit nos bras s'effleurant à chaque fois inévitablement. On a fini par baiser comme des fous. Cette fois non seulement ça a duré plus longtemps mais, en plus, c?était encore plus sauvage. Je l'ai sucé à genou, allongé? Il m'a sodomisé à quatre pattes, contre le mur, de face?
A six heures du matin, on s'est finalement endormi (ensemble !!!!)?
On se reverra, c'est sûr !