YASSINE AU BLED EPISODE 2
Histoire gay publiée le 01/09/2008
On est arrivé ce matin à Rabat avec ma Mamy, rendre visite à mon oncle Omar. Après un déjeuner en famille, j'suis parti faire un tour de la ville.
Il est environ 18h et le soleil commence à se faire moins rude à Rabat. Je m'installe dans un bar à chicha. J'prends un verre de jus d'orange (celui du bled est excellent). Je remarque alors qu'un gars en face de moi n'arrête pas de me mater. Bizarrement je ne l'avais pas remarquais alors que c'est tout à fait mon style. Grand, l'air baraqué, mal rasé, regard pénétrant? Je lui souris d'un air faussement gêné. Il a pris ce sourire pour une invitation et a abandonner les gars avec qui il discutait pour s'assoir près de moi.
« Alors, ça te plait Rabat ? Me demande-t-il
- Ouais c'est pas mal, mais j?étais déjà venu avant. Ca a changé?
- Normal, ca bouge le Maroc en ce moment pour les touristes?
Je parle comme ça avec Rachid (c'est son prénom) durant vingt minutes, puis, il me dit qu'il y a une chose que je dois absolument voir à Rabat. On quitte le bar et je le suis. Il porte des lunettes de soleil fashion, un tee-shirt blanc aux manches très courtes et pantalon style armée. Il a une démarche de mec qui se la pète grave. Ca me plait.
Arrivés devant un bâtiment en cours de construction, il m'invite à le suivre au premier étage. Je le suis. Il s'arrête alors dans une pièce vide. Il s'approche de moi et m'embrasse comme un fou. Il prend ma main droite et la pose sur la qui se trouve entre ses jambes. Je la caresse à travers le pantalon pendant qu'il continue de me rouler une pelle animale. La pièce est chaude et quand il retire son tee-shirt, il transpire déjà énormément.
Pendant que je me mets moi aussi à me déshabiller, il enlève son pantalon, et même son caleçon. J'aperçois alors une belle bite, très grosse, encore un peu molle, qui pendouille entre ses jambes. Une fois nu, je me bloque contre lui. Il m'excite vraiment ce mec. Je sens la sueur de son torse qui dégouline sur le mien. Nos bites se frottent mutuellement, ce qui me procure un frisson qui me fait gémir. Ca le fait sourire. Il sait maintenant qu'il peut faire ce qu'il veut de moi.
Je me baisse instinctivement et, à genou, je lèche le bout de sa queue. Cette fois, c'est lui qui soupire, et en levant la tête vers le plafond. Plaqué dos contre le mur, les mains derrière la tête, il se fait sucer par moi comme s'il était un prince. Je suce à fond, je me sens en forme ! Ca fait une semaine que je n'ai pas sucé ! Il me caresse les cheveux de temps en temps. Après avoir bavé comme une chienne sur sa bite énorme pendant 15 minutes, je me mets accroupi, les mains posées sur le mur, et le cul bien cambré. J'ondule les fesses en le regardant avec envie. Il a l'air à la fois étonné et excité. Il se met à genou derrière moi, me caresse les fesses. Je commence de nouveau à gémir comme une petasse au contact de ma peau avec celle de ses mains.
Il m'a enfoncé sa grosse bite dans mon trou d'un coup, sans prévenir. J'ai eu à peine le temps de lui tendre une capote et j'ai poussé un cri de douleur que je n'ai pu contrôler quand il m'a déchiré le cul d'un coup de rein sec. Il a l'air bien chaud et fait des vas et viens rapides en moi. On dirait qu'il se branle avec mon trou ! Il sort rapidement et je sens quelques giclées de sperme gluant sur mes fesses. Deux ou trois secondes après, j?éjacule sur le sol et le mur. Avant de se lever, il me donne une petite tape sur le cul, comme pour dire que j'ai été une bonne chienne.
On se rhabille lentement, un peu épuisés. Sur le chemin du retour, il me laisse son numéro. Je les revu deux fois avant mon retour en France.