LES PIEDS ET LA TEUB DE MON POTE
Histoire gay publiée le 12/03/2008
Je m’appelle Paul et je suis pas mal aussi, mais un peu moins carré que Farid. Ce jour-là, on était bien crevés après la journée donc je lui ai proposé de rester a la maison rêver. Il me fait ok et je lui ouvre le clic clac. Comme il faisait och de chez och, Farid se désape, le voila en slip et qui va au lit, sans couverture. Je kiffe et vu la dans le paquet, il doit etre au top. On creve de chaud et la fenetre est ouverte, la lumiere de la lune dessine son corps, ses muscles. Je mate et j’ai meme plus repos, tandis que mon pote est parti au pays des songes. Serieux il me fait bander à mort mais j’ose pas aller le caresser, si il se réveille c’est trop la tehon. Je sors de mon pieu et je me rapproche de lui quand meme, je veux voir. Il ronfle légèrement, il a l’air de rêver profondement. Je tente discretos de lui caresser les pecs : pas de réaction de sa part, il dort a poing fermé. Je mate, il a les jambes legerement écartées et je met la main sur son paquet... putain c chaud, ya la une belle queue qui demanderait qu’à ce qu’on s’occupe d’elle mais la c’est un peu risqué et infaisable. Tant pis je tente autre chose, je vais à ses pieds. Je kiffe sniffer et lécher les panards. Il a les pieds propres parce qu’il a pris une douche en arrivant mais comme il a marché pieds nus dans la piaule depuis, l’odeur n’est pas nickelle et la couleur de sa plante legerement grise. Ok j’y vais ! Je pose ma langue sur sa plante de pieds, pas de reaction. Je lèche du bas du talon jusqu’aux orteils, c’est le kiff. Comme il bouge pas, je m’active un peu plus fort. Je respire entre les orteils et je leche comme un ouf entre ses doigts pour pas perdre une miette. Le top ! Je continue pendant quelques minutes et d’un coup j’entends “alors ils puent mes pieds ?” Putain, il était reveillé et carrément il disait rien ! Je lui répond que non, je sais pas trop quoi dire en fait et là, truc de ouf, il me fait “vas y continue, ça fait du bien !” J’ai un moment d’hésitation, mais bon je me fait pas prier puisqu’il le demande ! Et je replonge dans ses pieds nus à bien les lécher. Je peux y aller puisqu’il est reveillé, no problemo ! D’un coup il se redresse, il mate la plante de son pied gauche et presque il m’ecrase la joue sur le plumard avec. “Qu’est ce que tu fais, tu vois pas que c’est pas encore blanc entre mes orteils ? On voit encore de la crasse, alors applique toi un peu plus et lèche mieux!” Grave la façon dont il m’a parlé j’ai halluciné mais j’ai obéi et j’ai sucé comme un ouf ses orteils, j’ai récuré sa plante sans m’arreter, je bandais comme un ane. Lui il était couché sur le dos les bras derriere la tete à me mater en train de lui lécher les pieds. Puis il me fait “ok c’est bon, sérieux tu kiffes mes pieds ?” Je lui fais ouais et que je suis super och là. Il me fait “ah ouais ?” en rigolant. En meme temps il se met la main au paquet et il dit “et tu te sens pas de t’occuper du reste ? Parce que mes pieds c’est bien mais ma queue c’est mieux !” L’hallu totale. Je dis ok, bien sur et il vire son slip. une bonne teub raide de 22 cm s’offre à oim. Je grimpe sur le lit et j’enfourne direct l’engin manquant de m’essoufler. “T’avais faim lol” il me dit ! Je commence un vas et vient d’enfer, comme si c’etait la derniere teub que je suçais de ma life. Mes bruits de succion viennent troubler le calme de la nuit. Farid est toujours les bras derriere la tête et il prend son pied à voir sa bite disparaitre dans ma bouche.”Ouais vas y comme ça hummmmm comme c trop bon, tu fais ça comme un dieu”. Ainsi encouragé je m’applique, je reste bien avec l’engin dans la bouche et je passe ma langue autour, comme un boa autour de sa proie. il kiffe total. “Yeeeeeee t’arrete pas putain”. Il s’est redressé maintenant, s’appuyant sur le lit avec son bras droit, il me pousse la nuque sur son chibre avec sa main gauche. “Suce moi bien, ouais allez jusqu’au fond vas y ouaiiiiiiiis” j’en pouvais plus il m’éclatait la machoire. J’essaie de me retirer un peu mais rien a faire, il me bloque la tete. “Tu crois quoi, t’as voulu mon saucisson, tu vas l’avaler jusqu’a ce que je te dise d’arrêter !” et il me pilone la gueule plus vite encore. Je bave a mort. D’un coup il sort de ma bouche. “Ok cousin, on va en finir. Passe moi une capote j’ai trop envie de cracher la”. Il me fait monter sur le pieu, m’écarte les jambes, me met sur le dos et pose mes chevilles sur ses épaules et entre cash en moi. Il me baise de face. J’en peux plus, je crie, mais il me met la main sur la bouche. “T’aimes ça hein. Tu voulais mes pieds, tu voulais ma teub, ben t’es servi !”. Pah pah ! Ses grosses couilles claquent sur mes fesses. Il est couché sur moi et souffle comme un boeuf. avec la chaleur, notre sueur se mélange, la sienne coule sur mon visage, je vois ses muscles bandés au max et d’un coup il décharge et s’écroule sur moi essoufflé. Il retire la capote et essuie sa que précocioneusement dans un mouchoir et ..; il se met à rebander direct. “Attends”, il me fait. Il se retire vite, s’assois sur mon cou, me redresse la tete “suce moi vite !” J’obéis et j’enfourne a nouveau l’engin et pah ! il décharge a nouveau son jus de rebeu sur mon menton et sur mon cou. “t’as kiffé hein !” là dessus, je repars dans mon pieu et je m’ecroule de fatigue.