HOT NIGHT 3
Histoire gay publiée le 06/03/2008
Lorsque je suis revenu à moi, j'avais très mal à l'arrière du crâne. C'est la première chose que j'ai ressentie avant tout le reste : la tête pendant à l'arrière, la nuque douloureuse. C'est même ce qui m'a réveillé.
Avant de me rendre compte que j?étais suspendu par les pieds et les mains, le dos soutenu par ce qui semblait être une pièce de cuir, les yeux bandés. Tout m'est alors revenu en mémoire instantanément, et la peur m'a envahie tout aussi instantanément. J'ai hurlé:
« Au secours ! A l'aide ! Au sec? ! »
Une main s'est posée sur ma bouche d'un coup, me faisant taire, accompagné d'une voix qui a elle aussi hurlé :
« T'as gueule ! »
Puis après quelques secondes, la main s'est retirée, et j'ai senti un souffle et entendu une respiration près de mon oreille droite. Effrayé, j'ai balbutié :
« Qui? ? Qui est là ? Samir, c'est toi ? J'vous en prie ne? me faites pas de mal ! S'il vous plait ne me faites? pas mal ! Je? Je? »
J'ai fondu en larmes comme un xxx. Un xxx terrifié. Quelques instants plus tard, j'ai reconnu la voix d?Abdel : c?était lui près de mon oreille.
« On va pas te faire de mal, t'inquiète? »
J'ai essayé de parler mais je ne pouvais plus : ma peur venait d'anéantir toutes mes autres facultés. Abdel a dit alors une chose, murmurant toujours à mon oreille :
« Ecoute? »
Je n?étais pas en état d?écouter quoi que ce soit, mais le silence et l'absence d?évènements immédiats ont réactivé mes sens petit à petit.
Et j'ai entendu.
J'ai entendu les souffles, les respirations, les faibles gémissements, les mouvements furtifs autour de moi. Je ne sais combien de mecs se trouvaient là (ce ne pouvait être que des mecs pour moi) mais j?étais sur d'une chose : l'odeur. L'odeur des queues que l'on branle. Une nouvelle vague de peur (mêlée de désir, il faut l'avouer) déferla sur moi à l'idée d?être enculé dans l'instant suivant, et je me remis à hurler. En me démenant comme un dingue sur ce qui pour moi ne pouvait être qu'un sling. La main d?Abdel s'est posée sur ma gorge, et j'ai cessé aussitôt de bouger et crier. Il s'est penché à nouveau vers mon oreille :
« Tu te calmes ! Ok ? »
J'ai hoché de la tête pour dire oui, après un long moment. Il a repris :
« Bien ! Alors voilà? »
Il a lâché ma gorge et a poursuivit :
« T'es sur un sling dans la cave d'un? cousin de la cité. Je suis sÛr qu'une salope comme toi sait très bien ce qu'c'est un sling. T'as bien dormi grâce au produit, mais maintenant on va s'amuser ! Tu peux gueuler tant que tu veux, personne viendra t'aider. Ca peut aussi se passer différemment : tu cries pas et on baise ton p'tit cul à mort ! Bien sur, tu vois pas leurs faces : c'est pour ça qu't'a un bandeau. Mais y a que des bons niqueurs, confiance !»
J'ai rien dit, toujours étreint par la peur. Un long silence a suivi. Puis j'ai soufflé plus que prononcé :
« Je? Je ne veux pas être enculé !
- Qui te parle de pénétration ? Non, juste une bonne tournante ! On veut juste te donner ce que tu attends, lopsa : te limer le trou ! »
Et là, j'ai vraiment réalisé ce dont j'aurais du m'inquiéter bien plus tôt. Une question stupide m'a échappé malgré moi :
« On ?! »
Il y a eut quelques gloussements et j'ai entendu Abdel rire. J'ai répété :
« On ?! Vous êtes combien ?!
- Neuf reubeus. On a déjà tous la teub emballée t'inquiète »
Nouvelle terreur intérieure. J'ai entendu un claquement de doigts, probablement Abdel, et peu après senti une bite contre mes fesses. Panique : j'ai hurlé et me suis contorsionné comme un dément sur mon piège suspendu. Des mains se sont posées sur moi pour me maintenir, dont une à nouveau sur ma bouche pour m'empêcher de crier, et j'ai senti le propriétaire du sexe cognant sur mes fesses ajuster la trajectoire de son membre. Je m?époumonais à hurler à travers la main sur ma bouche un « non ! » catégorique que personne n'avait envie d'entendre. Une voix a dit alors :
« Tu vas adorer ça p'tit petasse ! »
Abdel était de nouveau près de mon oreille et me disait :
« T'aimes déjà? tu bandes comme un taureau ! »
C?était vrai, oui. Je bandais. Comme jamais même ! Et je sentais mon trou s'ouvrir tout seul à l'approche de cette queue cherchant son chemin dans mes fesses. Et à puissance de chercher, elle trouva. Un gros serpent de chair commença à s'insinuer en moi, une bite très large, qui avançait doucement dans mon anus, et qui vint toucher au fond de moi peu après.
Ce fut un signal pour que mon désir devienne à ce moment incontrôlable : je cessais toute résistance et gémissais doucement d?être rempli, bien rempli, par en bas. La main sur ma bouche se releva lentement, et j'entendis la voix d?Abdel me demander :
« T'as l'air d'apprécier ! Alors ? T'en veux encore ? »
Je pris une grande inspiration, pour libérer la bête en moi qui venait de se réveiller et, me laissant totalement aller à l'excitation de la situation et en voulant chauffer un peu plus tout le monde, j'ai hurlé :
« Oh putain oui !!! Défoncez-moi le cul !!! »
Tout le groupe a soupiré de plaisir. Le type déjà en place a commencé aussi sec à me piner le fion avec puissance, pour jouir rapidement. Il a déculé, et j'ai entendu un autre reubeu s'approcher. Un gland s'est posé contre ma rondelle, un gland très gros, puis a poussé fort et une autre bite épaisse a pénétré mon trou, avant de me limer longtemps. Je gémissais, criais, hurlais à nouveau. Mais cette fois-ci, mon plaisir : parce que, putain, c?était trop bon ! Trop bon !
Ils me sont tous passé dessus. Ou devrais-je dire : dedans. Neuf queues, toutes de bonne taille, qui m'ont baisé le cul avec plus ou moins de rapidité. La cinquième fut la meilleure : une bite vraiment massive, qui m'a rempli le trou pleinement et défoncé lentement, longtemps? Certains me tenaient par les hanches, d'autres me faisaient rebondir contre leur pubis en donnant de grands coups de rein, le sling facilitant leur entrée dans mon cul totalement ouvert
Je ne voyais rien et cela m'excitait comme un fou ! J'entendais seulement, j'entendais les commentaires sur la qualité de ma chatte de salope et sur le fait que je n?étais qu'un sacré trou à bites ! Je ne fus bientôt plus qu'un objet de plaisir pour tous ces arabes en rut à la queue raide qui prenaient leur pied dans mon cul dilaté par tous leurs coups de reins. A la fin, alors que le dernier d'entre eux me niquait, je me sentais pantelant, comme une poupée sans vie cassée par le plaisir.
Quand tout fut fini, chaque beur reparti de cette cave à jouir, Abdel me détacha du sling. Une dernière fois il se pencha à mon oreille :
« Je crois qu'on a jamais baisé comme ça ici? T'es une chienne de première toi ! Et t'as un putain de bon cul ! Trop fait pour les reubeus ! Reviens quand tu veux voir Kamel : il nous contactera pour toi si t'as envie ! »
Je l'entendis s?éloigner (j'avais toujours les yeux bandés et, un peu honteux quand même, ne voulait pas enlever le bandeau?) en me disant :
« Tes fringues sont à côté de la chaise. Claque la porte en partant. A plus mec ! »
Je restais seul dans cet endroit qui puait le mâle, la sueur et le sperme, qui sentait bon, seul étalé de tout mon poids dans le sling, bras ballants, jambes pendantes, récupérant un peu après la déferlante de jouissance qui m'avait brisé. Mon anus était ouvert comme jamais il ne l'avait été, et je bandais encore. Parce qu'après tout, je n'avais pas craché mon jus ne pouvant me branler sans mes mains attachées aux chaînes suspendant le sling. Seul dans mon obscurité. Ma main droite descendit alors vers ma queue et je me masturbais lentement.
« Tu veux jouir vraiment ? »
Je me redressai d'un coup, faisant deux choses stupides, à savoir ne pas ôter le bandeau et cacher mon sexe avec mes mains (ridicule !) et demandai :
« Qui? ? Qui est là ? »
J'entendis des pas et je sentis un mouvement vers ma gauche. La voix reprit :
« Moi c'est Hassine. Je suis l'oncle d?Abdel et Samir. »
Il vint contre ma cuisse et je sentis son odeur de mâle lui aussi en chaleur. Il poursuivit :
« C'est ma cave ici. C'est là que je? baise aussi des p'tits jeunes comme toi qui aime les bonnes queues ! »
Il sourit, et bien que je ne le voyais pas, je le sentais. Il continua :
« Ca m'a trop excité de les voir tous te bourrer et de voir le pied que t'as pris ! J'ai trop envie de te bourrer moi aussi ! Et de te faire jouir? Seulement j'ai pas une bite comme celle des p'tits xxx qui viennent de te niquer. Et j'ai 48 ans. »
Je tendis la main vers où je supposais être son sexe et entrai en contact avec un pieu de chair énorme ! Ce type avait un braquemart d'une taille inouïe ! J'avais jamais palpé de bite aussi grosse ! Il me demanda :
« T'es capable de prendre ça ? T'as envie de ma queue dans ton trou ? »
Pour toute réponse, je me renversais sur le sling et remontais mes jambes le long des chaînes. Il émit un grognement de satisfaction et vint se mettre entre mes jambes. Son gland se positionna sur mon trou béant et, lentement, il poussa la batte de base-ball lui servant de sexe en moi. Le plaisir d?être ainsi rempli par le cul fut immédiat et incroyable !
La taille de sa bite me dilata encore un peu plus, tellement que j'eus l'impression qu'il allait vraiment me déchirer le cul. Mais non? Et lorsqu'il arriva au fond de moi, lorsque sa queue surdimensionnée fut totalement engloutie dans mon cul, un truc se produisit dans mon corps, une sorte d'explosion, comme une onde immense, une pulsion gigantesque qui me retourna et se répandit dans tout mon être.
Et je jouis comme jamais je n'avais joui ! Mon foutre se mit à jaillir rudement de ma bite sans que j'aie besoin de me branler, alors que je criais mon orgasme. Avant de m?r de plaisir?
Quand j'ai repris conscience, n'ayant pas jouit de son côté, Hassine me limait encore, me tenant les jambes sous les genoux. Il m'avait ôté le bandeau et je le vis : un beau mec? Sa queue était toujours dans mon cul, il me limait encore._