Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

HOT NIGHT 2
Histoire gay publiée le 06/03/2008
Parking, accès à l'immeuble par un couloir dans les caves, ascenseur, palier? Me voici devant la porte d'un appartement inconnu, à quelques minutes de me faire grimper par deux mecs tout aussi inconnus (je sais juste que le plus âgé travaille dans un hôpital). La sensation qui me noue les intestins est curieuse, toujours la même : mélange de peur et d'un désir incroyable. J'entends au travers de la porte de la musique rap (I Am me semble-t-il) et la cage d'escalier est emplie d'une odeur de cuisine orientale. Une autre effluve me parvient également : celle du teush?
Kamel frappe quatre coups. Dix secondes s?écoulent et la porte s'ouvre. Le mec que je découvre alors derrière nous regarde tous les deux un instant puis tourne la tête en arrière et, criant pour couvrir la musique, dit :
« Samir ! Y sont là ! »
Puis il tend la main à Kamel en lui disant :
« Saalam mon frère ! »
Kamel lui serre la main, se touche ensuite le coeur puis avance dans l'entrée. Abdel (par déduction, ça ne peut être que lui) me fixe une seconde, puis me tend la main à son tour :
« Salut? »
Je suis Kamel pour arriver dans le salon de cet appartement qui ressemble plus à une piaule d?étudiant plus qu?à un lieu d'adulte, toujours occupé en esprit par ce qu'il va se passer. Dans la pièce principale, je découvre Samir enfoncé dans un canapé clic-clac. Il se lève pour nous saluer, puis s'adresse à Kamel et se met à parler en arabe avec lui, Abdel s'approchant d'eux pour écouter.

J'en profite pour observer les deux nouveaux futurs baiseur : Samir est mignon, à peu près aussi grand que Kamel, mais plus mince, moins baraqué. Abdel est plus petit, environ 1m65, mais bien proportionné et apparemment musclé si j'en juge l?épaisseur de ses bras (il porte un T-shirt sans manches type marcel) et le beau p'tit cul moulé que lui fait son survêtement.
Leur rire commun me tire de ma contemplation de leurs corps.
Je lance un coup d??il à Kamel, puis le fixe et lui dit :
« Y a plein de choses que je sais faire, Samir? Tu serais étonné ! »
Il sourit un peu plus, amusé par mon audace probablement, puis se tourne vers Kamel pour lui demander :
« C'est vrai qu'il sait y faire ?
- Attends d?être dans sa bouche? Même une meuf te suce pas comme ça ! »
Abdel me lance :
« Tu trouves pas de cousins sur ta ville pour venir te faire baiser à Lyon mec ? »
Je me tourne vers lui :
« Sont timides, faut croire? »
Kamel se penche vers l'oreille d?Abdel et lui dit :
« Tant mieux pour nous ! »
Samir me dit :
« Alors comme ça t'aime avoir une bonne bite de reubeu dans le cul ? Les céfrancs te baisent pas assez bien ? »
Ok : apparemment, Samir a envie d'une petite joute verbale. A moi de faire monter la pression. Je lui réponds :
« Disons que j'préfère bien me faire limer qu'un coup rapide en cinq minutes ! »
Kamel rit, et les deux autres l'imitent. Samir me scrute et dit :
« C'est vrai qu'ils baisent mal ! C'est pour ça qu'ils viennent tous chercher de la bite dans les cités ! »
Un silence s'ensuit. Je le romps en fixant Abdel pour lui demander :
« Excuse-moi, mais t'as quel âge Abdel ?
- Dix huit ans mec ! Pourquoi ?
- Ok, pour rien. Tu les fais pas »
Je suis bizarrement rassuré. Et alors que je suis pensif sur cette info, Abdel ajoute :
« Et une grosse teub entre les jambes si t'as envie? »
Mes yeux s'abaissent vers son survêt et j'essaie stupidement de voir son sexe au travers bien que cela ne soit pas possible. Samir s'avance alors vers moi.
« Et moi 20 et 20 »
Je tourne la tête vers lui, qui me sourit ironiquement, et lui fais :
« 20 et 20 ?
- Oui? 20 ans, 20 cm »
Il pose la main sur la braguette de son jean, soupèse son paquet et reprend :
« On est plutôt bien monté dans la famille? »
Surpris, je fais aller mon regard d?Abdel à Samir. Ce dernier se marre, puis me lance :
« Et oui mec, on est frangins ! Tu vas t'faire baiser par deux arabes, en famille ! Cool, non ? »
Je dois admettre que là, l'aiguillon du désir me pique à mort les entrailles et efface un peu la peur que j'ai toujours de vivre cette situation d?être offert à deux mecs. Kamel s'avance vers Samir et lui dit en posant une main sur son épaule :
« Bon, moi j'vais vous laisser vous éclater. »
Samir le fixe et lui dit :
« T'as pas envie d'niquer encore ?
- Non, puis j'lui ai déjà bien ouvert le cul pour vous. Profitez-en ! Baisez bien ce p'tit mec, qu'il garde un bon souvenir de nous ! »
Kamel s'approche de moi :
« Bon, à plus ! J'garde ton tel »
Il fait un silence puis ajoute :
« Y vont te piner comme tu l'aimes, t'inquiète ! Ils t'ont préparé une bonne soirée? Tu vas kiffer ! »

Et sur ce, il tourne les talons et s'en va. Je reste planté au milieu du salon, pas tranquille par rapport à ce que Kamel vient de me dire (Ils t'ont préparé une bonne soirée ??? Ca veut dire quoi, ça ?!), mais avec un tel n'ud de désir dans le ventre que je dirais encore même si tout l'immeuble venait de me passer dessus. Samir se met face à moi. Il me fait signe d'enlever mon blouson, ce que je fais, puis avance encore jusqu?à presque me toucher. Il me tend un verre en me disant d'un air entendu :
« Et tu sais avaler aussi ? »
Je saisi le verre, le fixe deux secondes, puis demande à Samir :
« C'est quoi ?
- Du soda »
Il y a une telle invitation au défi dans ses yeux, que je le bois d'un coup pour lui montrer que oui, je sais avaler. Il se met à rire à nouveau et me dit :
« Bien vu, mec ! Cul sec ! »
Là, c'est moi qui met du pur vice dans mon sourire et lui fait :
« Pour être honnête, il est pas très sec? mon cul ! »
Il plante ses yeux dans les miens, un long moment, puis il souffle entre ses lèvres les mots suivants :
« T'es vraiment une salope toi, hein ? T'as les yeux qui puent le sexe ! »
Il me pose alors une main sur l?épaule et dit :
« Mets-toi à genoux ! »
J'hésite un instant, le temps de jeter un ?il à Abdel, puis m'exécute. Samir prend ma tête entre ses mains, la relève pour que je puisse voir son visage, et me dit :
« Si t'es une aussi bonne salope que Kamel nous l'a dit, on va te défoncer grave ! »
Et il me plaque le visage sur son entre jambe.
« Fais moi bander, vas-y ! »
Je me mets à frotter mon nez, mon menton, tout mon visage sur la braguette de Samir, appuyant plus fortement lorsque je sens son sexe sous le tissu, puis à le caresser de ma main lorsque sa bite s?éveille. Je palpe ses couilles, presse la qui gonfle, m'applique à doucement le faire bander. Abdel, en retrait, me regarde faire, puis s'approche de nous. Se touchant lui-même la queue à travers son survêt, il demande à son frère :
« Y fait ça bien ?
- J'bande déjà bien, Del. Il se débrouille pas mal jusque là »
Samir m?écarte d'une main sur l?épaule après quelques secondes, puis dégrafe son jean. Il me fixe et me dit :
« Suce moi la teub mec ! »
Je me redresse légèrement sur mes genoux, fini de dégrafer son jean et le baisse un peu plus. Son boxer noir est distendu par l?érection. Lentement, je passe ma main par l?élastique et me saisis de sa queue sous le tissu : encore un sacré morceau caché dans un pantalon ! Je baisse le boxer et sa bite bondit à l'air. Tous deux m'observent. Aussi, tout en regardant droit dans les yeux Samir, j'avale lentement son sexe circoncis bien raide dans ma bouche. Encore une fois, son gémissement vient me dire que je dois pas si mal me rder effectivement.
Saisissant son membre par la base après avoir baissé un peu plus son fute, je me mets à le pomper plus fort, engloutissant son sexe jusqu?à la racine, faisant aller et venir mes lèvres sur toute la longueur de sa bite. Abdel murmure :
« Eh ben y s'applique le keum ! Il aime ça, la queue ! »
Samir incline sa tête à l'arrière et gémit :
« Oh putain mec ! Suce-moi comme ça, ouais! »

Abdel me met la main derrière la nuque et m'appuie la tête sur le sexe de son frère. Faisant cela, il me dit :
« Pompe bien le zob de mon frangin salope ! Suce ! »
Ce que je fais sans me priver. Je suis tellement sur la queue de Samir que j'en bave. Et je continue, le suçant et le branlant en même temps, savourant la grosseur de son membre dans ma bouche.
Abdel se colle à son frère, passant un bras sur ses épaules, et de l'autre abaisse son survêt puis son boxer également. Effectivement, il a lui aussi une grosse pine : elle se retrouve aussi à l'air, et il s'en saisit, la branle. Au bout d'un court moment, continuant à sucer Samir, je m'empare du sexe d?Abdel que je me mets à branler. Bonté ! Une queue pareille?
Après un instant, Abdel se penche à mon oreille et me murmure d'un ton étrange
« Alors comme ça t'en veux plein ton cul de lopsa ? De bonnes grosses bites d'arabes ? C'est ça qu'tu veux, hein ? »
Il fait une courte pause, puis ajoute :
« On va te déchirer mec ! »