Histoires de sexe

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VIEILLE CANAILLE
Histoire gay publiée le 21/11/2023
J’étais och ce matin en me levant avec un barreau de ouf sous la couverture. Pas envie de bouger, dehors c’est l’hiver et un froid glacial s’est abattu sur Paname. Je traîne tranquille sous les draps, la teub en bandoulière et je me palpe histoire de m’assurer un réveil en douceur. Vas y comme je suis trop chaud ! Faut absolument que je me tape un keumé. Mon portable se met à vibrer sur le sol, je décroche directe et je capte tout de suite la voix au bout du fil. - «Salut c’est Christophe, je te dérange pas ? » Christophe ! Putain ça fait au moins un an que j’avais pas de ses nouvelles à celui là. C’est un keumé de quarante balais, ancien footballeur pro avec qui je me suis tapé de bons délires dans le temps. Ca te choque que ce soit un keumé qu’à presque le double de mon âge ? Attends Christophe c’est pas un vieux avec du ventre et la calvitie qui le démange. C’est un pur beau keumé, sportif à donf, viril comme pas deux mais qui sais se lâcher au pieu comme un vrai dèpe et ça, je kiffe ! « Vas y ma gueule, ramène toi chez oim, je suis en pleine forme ce matin » Et voilà le travail, une demie heure plus tard, aussi rapide que Pizza Speed, le keumé sonne à ma porte. J’ai toujours pas gébou de mon pieu et je me suis bien chauffé en me rappelant tous nos bons souvenirs de baise. Je lui gueule d’entrer dans mon squat et il a à peine fermé la porte que je lui lance un clin d’œil en faisant sauter le drap pour déballer ma grosse teub en érex. C’est de la balle ce keumé. Cheveux châtain court grisonnant sur les tempes, de bonnes épaules et de bonnes cuisses de footballeur et une grande bouche bien gourmande que je vais me faire un plaisir de satisfaire. Il perd pas le nord et se dessape devant moi en se caressant les pecs puis se retourne pour me faire mater son boule carré et poilu. Ca c’est du vrai mâle et je sais qu’il va kiffer que je le transforme en femelle. « Viens là, occupe toi de ma teub ! » Chris plonge sur le lit et se met à quatre pattes devant moi. Il prend mon zeub dans la main et commence à l’orienter vers sa bouche. Sa langue chaude et baveuse me lèche le gland et ça m’électrise à donf. Il descend sa face le long de ma teub et l’engouffre d’un coup dans sa bouche de suceuse. Avec son autre main il se caresse le cul en ondulant comme une tepu en chaleur. Je le chope par la tête et j’appuie pour bien lui déchirer la gueule et le keumé s'essoufle en poussant des cris rauques de plaisir. Ma teub entre et sort en coulissant sur la bave de mon pote dans des bruits de sussion qui me faut triquer deux fois plus. Je chope une capote et je la déroule sur mon zeub. Comme je suis d’humeur paresseuse, je lui fais signe de venir s’asseoir dessus et de gérer son kiff et le mien comme un grand. Accroupi au dessus de mon zbouby, le keumé vient frotter son cul en se triturant les eins. Un vrai show man de film de boules à l’américaine. Il prend ma teub et guide mon gland circoncis à l’entrée de son trou déjà bien humide et commence à coulisser dessus. Ca rentre comme dans du beurre et en deux deux je le vois monter et descendre sur moi avec ma queue qui glisse se planter bien au fond de ses entrailles. Il gueule comme une vraie chienne et je commence à lui faire lècher mes doigts qu’il suce comme si c’était ma teub. Je lui balance deux trois petites claques dans la face et il kiffe encore plus. Ses mouvements de va et viens s’accélèrent et son boule poilu vient rebondir sur mes couilles pleines avant de remonter pour redescendre de plus en plus vite. C’est och de chez och ! Il bande comme un âne et je vois sa teub de vingt centimètres qui rebondit sur son nombril au rythme de mes coups de queue. Il se penche en arrière et je l’agrippe par les cuisses pour bien le déchirer. Je transpire comme un bœuf et je sens que je vais pas tarder à cracher. Je me retire d’un coup et je vire la capote. Debout sur le pieu, je vais lui fourrer mon zboub dans la gueule pendant qu’il se branle la queue en me regardant droit dans les yeux. Le jus monte et je gueule en lui balançant la purée sur le torse musclé qui dégouline de mon foutre poisseux. Il en rajoute une couche avec le sien quasiment en même temps que oim et nos cris de jouissance s’unissent pendant quelques seconde interminables. Couvert de sperme, il s’effondre sur le pieu en caressant mon zob et commence à le nettoyer avec sa langue. - « vas y c’est bon ! Lâche l’affaire quand j’ai chécra y’a plus rien à faire. T’es toujours aussi chaud, hein, vieille canaille ! »