Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

VIVE LES GREVES
Histoire gay publiée le 20/11/2023
C’est le why complet à Paname ! Grève partout, transports blindés à mort, il va falloir jouer des coudes pour se faire une place de sardines dans le tromé. Comme tout le monde je suis vénère et je rêve de faire disparaître toutes l’espèce humaine pour pouvoir squatter tranquille tout seul dans une rame. Mais bon en attendant, on est deux milles dans ce petit wagon et la proximité est plus que gâvante, ça frotte à tout va dans le people parisien. Je me retrouve collé derrière un keumé blond avec un sourire ultra bright. Vu son look, c’est un touriste en vadrouille, il doit pas être déçu de découvrir les grèves « à la française ». Ca doit être un suédois ou un truc du genre vu sa face de playboy platine et ma teub est plaqué contre son petit boule ferme et musclé. Avec les acoups donnés par le transport, mes hanches viennent régulièrement tapé contre son cul et je commence à choper la trique. Je vais finir par me faire griller devant tout le monde si je reprends pas mon self contrôle illico ! Mais ça a pas l’air de déplaire à mon blondinet cette situation un peu hot. A l’arrêt suivant, on se resserre un peu plus et il est carrément collé à moi, mon torse contre ses épaules, mon souffle sur sa nuque et me teub contre son cul ! Le temps que la machine reparte pour la station suivante, il fait onduler son boule sur ma queue qui se raidit un peu plus. J’aperçois qu’il a un petit sourire aux lèvres et qu’il a l’air de bien kiffer les grèves made in Paname ! Autour de nous personne ne capte rien, les gens sont trop vénères et regardent leur montre en essayant de pas étouffer. Je suis och de chez och et le keumé commence à me rendre ouf. J’ai trop envie de le serrer comme une bête mais y’a pas franchement moyen vu la situation. A la station suivante, il profite d’un mouvement de foule pour passer une de ses main dans son dos et je l’agrippe en scred par les hanches. Sa main tatonne autour de ma teub et s’engouffre dans le survêt. Ses doigts sont tièdes et doux comme ceux d’une meuf et il me caresse doucement le gland pendant que mon souffle s’accélère sur sa nuque. D’un petit coup de rein, je fais glisser ma teub dans sa main et je sens sa poigne qui enserre mon zbouby en état d’alerte maximum. Le rythme du tromé et les mouvements de foule font le reste : moi, je reste collé à lui comme un chacal et sa main s’active toute seule sur ma queue. Chaque mouvement est pour moi une secousse de plaisir et le keumé a l’air de prendre son iep à me chauffer ça com en public ! Ma respiration s’accélère et le suédois me tient la teub plus ferment encore en se remettant à onduler du boule. Cette fois j’en peux plus et je sens le jus qui monte. Je me contracte et pousse un râle fauve, tant pis pour l’entourage, les parisiens croient que je suis en manque d’oxygène, et je crache trois longs de sperme qui atterrissent dans sa main et qui ravagent mon fute au passage. Deux stations plus tard, le bogosse a été emporté par la foule qui le traîne, qui l’entraîne … enfin, tu connais la chanson. Et moi, depuis ce jour de ouf, j’attends avec impatience la prochaine grève de métro. Attends le kiff, ils en annoncent pour tout le mois de mai !