Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

DANS LES JARDINS DU PLAISIR
Histoire gay publiée le 18/11/2023
Le lascar pineur que je suis se doit de fréquenter des endroits comme les jardins publics, pour y trouver sa pitance quotidienne. Pas un jour sans que je sois à la chasse, à l’affût du bon coup à tirer, et des jolis culs venus se faire piner en traînant entre les buissons, attendant fébrilement un enculeur. Franchement aujourd’hui il fait beau et il y a beaucoup de people candidat au plaisir. Ils tournent et retournent, comme moi à la recherche du bon coup. Beaucoup de vieux mais aussi des jeunes folasses en manque. Il ne faut pas longtemps pour que je me fasse mater par un quinquagénaire portant bien et fièrement ses nombreux printemps. Je répond à ses regards en esquissant un sourire rempli de malice, ce qui le fait aussitôt me suivre.J’entre dans les chiottes publics et commence à m’astiquer la teub face aux urinoirs. Il se place à côté de moi et lui aussi sort son sexe. Il ne croise jamais mon regard se contentant de reluquer mon entrejambe qui commence doucement mais sûrement à poindre vers l’horizon. D’un geste je lui fais comprendre qu’il peut me suivre dans une cabine et au lieu de ma ter bêtement, me pomper le dard. Je verrouille rapidement la porte et lui intime l’ordre de descendre sa bouche pour me ravir. Il n’hésite nullement à se mettre à genoux pour enrober ma bitte avec sa bouche. Sa langue se fait joueuse et titille ma libido. Ma teub devient suffisamment grosse pour lui gaver pleinement la gueule. Ses mains serrent la base de mes couilles afin de tendre la peau et de provoquer la maximale érection. Il se régale et je remarque rapidement l’agilité de ses lèvres sur mon chibre. Je cherche dans ma poche le poppers et prend une snifette afin d’accentuer l’effet de sa succion. Je lui en propose et presque gêné il décline l’offre. Je n’insiste pas en sachant qu’il n’est pas bon d’utiliser à outrance pareil substance, et que si on ne tient pas la route physiquement, alors autant s’abstenir. Et puis il n’a guère besoin de se dilater la mâchoire pour s’enfiler ma pine. J’ai envie, lorsque je rencontre un bon suceur, de lui attacher les mains derrière le dos et de le laisser me faire cracher uniquement avec sa bouche. C’est le pied total de piner pareil endroit quand le gars ou la meuf (plus rare…) s’active avec passion et arrache du plus profond de toi des râles de plaisir. Sa langue descend toujours plus en direction du pubis. Il tète mon gland comme un faon tèterait sa , avec gourmandise, alternant les caresses buccales et les fortes aspirations. Des larmes coulent sur son visage, témoin de ses efforts pour me faire cracher. Je lève les yeux et remarque une annonce inscrite au marqueur sur le mur. Salope soumise cherche bon hétéro à pomper.06 14…. Intérieurement je rigole, me dis que c’est peut-être le gars qui me suce qui a passé cette petite annonce. En tout cas je me dis que si c’est bien lui, il n’a pas menti dans ses attributs ! J’ai envie de lui piner l’arrière train. Toujours sans mots dire, je le redresse et le plaque contre le mur, les pieds écartés dessus les toilettes turques. D’un geste rapide je lui baisse son jeans et découvre deux belles fesses bien conservées. Il se laisse ausculter par le docteur de l’amour que je suis. Mes mains palpent la chair, se dirigent tout naturellement vers son fondement. Son cul paraît serré et me fais deviner qu’il ne doit pas souvent se faire mettre. Je n’aurais que plus de plaisir à sentir ma queue inviter son intimité. De la salive sur la capote et me voilà devant sa rosette prêt à poindre mon dard. Au premier essai il cri si fort que je suis obligé de lui couvrir la bouche avec ma main. Je place l’autre le long de son ventre pour épouser parfaitement son corps et ainsi rentrer profondément sans gêne. Il mord ma main et immédiatement après me la lèche pour se faire pardonner. Je suis en lui, presque jusqu'à la garde et il aime. Doucement mais sûrement, je commence un va-et-vient dans ses petites fesses. Je sens son anus serrer mon chibre. Toujours plus loin, telle est ma devise ! Ca y est je le bourre vraiment. Mes poils viennent frotter sa raie, mes mains écartent cette dernière. Il gémit, essaie de se retirerais j’impose ma présence encore quelques minutes, sentant que j’allais me vider. Je le lime encore et finis par de profonds et rudes coups de buttoir. Je me retire enlève la capote et crache sur ses fesses un foutre chaud en l’étalant avec ma tige. Je me nettoie sommairement pendant que lui se rhabille tout souillé. J’ouvre la porte et disparaît de cet endroit pour aller profiter du soleil sur un banc. Allongé peinard je repense à cette petite annonce sur le mur des chiottes. 06.14… Ouais j’appellerai peut être un jour, qui sait ?