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TGV SUD
Histoire gay publiée le 17/11/2023
Ca m’a pris comme une envie de pisser. Un matin je me lève, j’ai le barreau, je vais à le fenêtre et je débande direct. Le ciel est couvert comme d’hab à Panam et j’ai envie de voir un putain de soleil qui brille et qui me réchauffe la peau. Je fais mon sac vite fait, direction la gare de Lyon : je vais aller me chauffer deux trois jours à Marseille ! Après mon coup de tête du matin, coup de chatte à la gare, j’arrive à pécho un billet pour le TGV Sud. Impossible d’accéder en fraude en été, les quais sont gardés par les pittbull estampillés NCF et pour avoir un billet sans résa en plein été …J’ai de la chatte, c’est comme ça, ça promet une bonne éclate dans la ville de mes zincous du Sud. Comme j’ai un p’tit quart d’heure devant moi, je m’isole pour méfu histoire de bien planer pendant le voyage. , j’ai envie de pisser. Je fonce direct aux chiottes de la Gare : un sous sol crade, 20 cents à l’entrée et me voilà dans les urinoirs. Je fonce direct sur le premier de libre entre deux keumés et je sors le matos pour balancer un jet de pisse puissant . je commence à mater autour de moi, ça grouille de keums ici. Les deux mecs qui m’encadrent matte ma teub avec envie et se branle tranquillement, comme si de rien était. C’est cho ici, dommage que j’ai mon train qui décolle dans 8 minutes. Je remballe et au moment où je sors, une belle petite racaille rebeu pointe le bout de son zeub. Il est bon le zincou, sapé en jogging blanc, il a le style et une vraie dégaine de lascar. Fais iech ce train qui se barre dans 7 minutes, je serais bien aller voir ça de plus près. Je remonte les marches et je fonce sur le quai : voiture 15, place 69 (tiens, tiens, c’ets le destin !)je me pose sur le fauteuil flambant neuf et à moi Marseille ! Le wagon est blindé de monde et je speed derrière mes Polices sur la face de la vieille assise en face de moi. Il reste une place à côté d’elle quand je vois arriver … la racaille des chiottes de la gare ! Ma parole j’ai grave de la chance aujourd’hui ! J’aurais du taper une grille au Loto. Il vient se poser, trankil, il bouffe tous les accoudoirs et fait râler la vieille puis se vautre les deux jambes bien écartées en face de oim. Le train démarre et en quelques minutes je vois s’éloigner Paname, je suis raide en face du keumé qui commence à me chauffer grave. On commence à tchacher et il me demande de lui filer mes Polices. À peine j’ai viré mes carreaux qui me lance un grand sourire et speed sur mes yeux rouges avec un putain d’accent du sud. La vieille nous écoute en faisant semblant de mâter ailleurs et je lui réponds avec un sourire que j’ai mal dormi cette nuit. Le rebeu me fait comprendre qu’il a un bon truc pour me détendre et se lève en direction des chiottes. Gonflé le keumé, le wagon est plein à craquer, On n’est pas dans un train de banlieue la nuit ici. Je tombe sur le regard de la vieille en face et ça me donne pas envie de m’attarder avec elle. Je bouge direct pour rejoindre mon zincou. Je m’approche de la porte des chiottes où il s’est engouffré et qu’il a laissé à peine ouverte et j’entre comme si de rien était. Il est posé trankil sur le chiotte en train de méfu. Je ferme le verrou pour pouvoir l’accompagner tranquillement. Je suis debout devant le keumé et j’ai mon zeub juste au niveau de sa bouche. Avec les vas et viens tu train, j’ai la teub qui se ballade sous le survêt et le rebeu a les yeux rivés dessus. Je claque d’un coup de la langue, il me pose son regard allourdi dans mes yeux et je commence à me palper la queue. Avec mon départ rapide de ce matin, j’ai pas encore pu me vider les couilles et je me sens bien cho. Il capte tout de suite et vient poser cash sa main sur ma queue en se levant. Je lui palpe la teub et il vient me rouler une grosse pèle baveuse en me collant contre la porte. Putain il est och le lascar ! Je sens qu’il a une bonne teub et il a l’air de bien prendre son iep sur la mienne. On baisse nos survêt sur les chevilles et il se pose sur les chiottes. Il me branle la teub en se branlant la sienne avec l’autre main et me matte avec un regard de vicelard. Sa tête plonge sur ma queue bien raide et il commence à me pépom comme un ouf. Il attaque le gland à petits coups de langue, engouffre mon zboub dans sa bouche et se met à biberoner comme une vraie lopsa. C’est le kiff ! Je me laisse porter par les secousses du train et ma teub entre toutes seule au fond de sa gorge. Il s’astique de plus en plus vite et pousse des gémissements étouffés. C’est clair qu’on a pas tout le trajet devant nous ! Je me penche sur lui et je lui enserre la tête avec un bras pour le forger à sucer à fond et plus vite. Ave ma main libre, je lui choppe la teub et je le branle de plus en plus vite ; Les soubresauts du train accélère eux aussi le rythme et je sens le rebeu jouir dans ma main en soufflant comme un bœuf. Je retire ma teub de sa bouche baveuse et je me branle vite fait. Le train amorce un virage et je gicle contre la porte du chiotte . - " Contrôle des billets, ouvrez la porte s’il vous plait " La haine les contrôleurs ! Toujours là au bon moment eux. On se refroque rapido et j’ouvre la porte en tendant mon billet. Le contrôleur fronce les yeux quand il aperçoit le keumé derrière moi et la fumée qui s’échappe de la porte. - " Il est interdit de fumer dans les toilettes, billet monsieur s’il vous plait ! " Le rebeu reste zen et lui tend son billet avec un sourire narquois et lui balance : - " Vous feriez mieux de nettoyer vos chiottes, c’est dégueulasse la dedans " Et il montre la porte qui dégouline de sperme. Comme il l’a marbré, je m’éclate de rire et je retourne à ma place. La racaille récupère son billet et vient me rejoindre. On a speedé tout le trajet sur la face de la vieille qu’a fini le voyage au bar et c’est comme ça que Melka est devenu mon zincou de Marseille.