Ca s'est passé cet été pendant mes vacances au camping en Dordogne. Comme souvent, j’avais passé la soirée au bar du camping à jouer au billard (je suis très doué avec une queue). Et comme d’habitude j’ai bu quelques verres. Mes amis sont tout doucement partis et à la fin il ne restait plus que moi et Kevin. Le bar a fermé et on a pris la direction de nos tentes. En chemin nous sommes tombés sur le vigile (un grand rebeu baraqué) avec son gros berger allemand. J’adore les chiens alors forcément je me suis arrêté. - Oh le beau toutou. Je peux le caresser ? Ai-je demandé au vigile. - Oui, oui bien sûr. Je me suis penché et j’ai caressé la bête. Kevin était fatigué et il ne m’a pas attendu. Moi j’ai commencé à parler de tout et de rien avec le vigile. J’avoue que j’étais un peu pompette ce qui m’avait totalement fait perdre ma timidité et m’avait transformé en vraie pipelette. - Vraiment j’adore les chiens, j’aimerais tellement en avoir un, mais en appartement ce n’est pas facile. - Moi j’adore les petites chiennes. Là j’ai tout de suite compris que si je restais là, il allait se passer un truc. L’ ça me rend toujours un peu salope alors forcément je suis resté. - Ce n’est pas trop chiant de faire des rondes toutes la nuit ? Ai-je demandé. - Ça dépend, parfois on discute avec de charmantes personnes. - Ah oui ? Charmante ? - Ouais… certains avec qui on aimerait bien passer sous la couette. - Pourquoi une couette ? - Toi j’ai l’impression que t’es pas un saint. - Juste l’impression ? L’air de rien il m’a dit qu’il devait faire un tour dans l’air de jeux du camping. Je n’étais pas naïf, je savais très bien qu’il avait envie qu’on aille dans un endroit plus tranquille (surtout qu’il a attaché son chien). Je l’ai suivi. J’étais tout excité en pensant à ce que me réservait le reste de la nuit et je me demandais si le vigile était bien monté. On s’est arrêté près d’une table de ping pong. L’endroit était à peine éclairé par un vieux lampadaire mais j’arrivais très bien à voir le regard du vigile plongé sur les poils qui dépassaient de mon T-shirt. L’ aidant, j’ai pris les devants. Je me suis assis sur la table et j’ai écarté grand les cuisses pour lui laisser entrevoir ma bite déjà dure et je me tatais la rondelle en même temps . - Intéressant ! A commenté le vigile en observant mon entre-jambe. Il s’est rapproché de moi et a glissé une main dans mon short. Il a commencé à caresser ma bite puis sa main est allée en direction de mon trou. Ses doigts ont très vite trouvé l’entrée de ma petite chatte et s’y sont enfoncés. Il a fait quelques allées et venues, juste le temps de préparer le terrain pour la suite. Il m’a attiré vers le bord de la table, embrassé tout en retirant mon short. J’ai attrapé sa queue et commencé à le branler. Son sexe était énorme et il a fallu quelques allées et venues avant que ma petite chatte ne s’habitue à sa taille. Je me suis allongé sur la table, mes jambes relévées pour lui faire découvrir mon trou bien ouvert. Le vigile a commencé à me limer en me donnant des gros coups de queues profonds et rapides. Je me mordais les lèvres pour ne pas crier, mais c’était trop bon et je ne pouvais pas retenir tous mes gémissements. Le vigile me baisait comme un fou comme si il n’avait pas fait l’amour depuis longtemps et j’adorais sa animalité. J’ai senti mon trou devenir de plus en plus étroit et j’étais aux anges avec lui en moi, mon corps était secoué de spasmes. Le vigile a continué ses mouvements accélérant de plus en plus le rythme mais je l’ai repoussé. Je me suis agenouillée devant lui et j’ai léché sa queue qui avait un goût de mâle en rut. Je suis descendue jusqu’à ses bourses bien remplis que j’ai aspiré dans ma bouche. Il a attrapé mon visage et m’a fait comprendre qu’il était temps que je le suce. J’ai fait glisser sa queue entre mes lèvres et le vigile m’a imposé le rythme. Il enfonçait sa queue si profond que je pouvais lécher ses couilles. Il n’a pas fallu longtemps pour qu’il craque et éjacule dans ma bouche. J’ai tout avalé, sans en laisser une goutte. Après cette partie de jambe en l’air imprévue, le vigile m’a raccompagné jusqu’à ma tente et il a recommencé à faire des rondes. Je vous dis tout de suite qu'on s'est revu encore mais ça c'est pour une prochaine histoire.
