Histoires de sexe

J’avais 20 ans, à l’époque (je suis bi) je n’avais pas beaucoup d’expérience avec les mecs. En gros, je ne me faisais pas prendre et je suçais mal. Une fin de journée, je me baladais dans la rue dans la ville d’à côté de chez moi. Un mec me suit un peu, puis beaucoup, puis longtemps… Je m’assieds sur un banc pour être sûr que c’était bien dans mes pas qu’il marchait depuis plus de 20 minutes. C’était un daron d’une quarantaine d’années, typé bledard, pas très beau. Un Daddy avec un ventre de mec qui aime bien avaler de la binouze. Même s’il ne m’attirait pas physiquement, le fait qu’il m’ait traqué pendant tout ce temps m’excitait de ouf ! Imaginez : se faire suivre par un inconnu qui en veut à votre cul ou à votre bouche tout en montrant sa queue bien raide dans son pantalon… ça rend dingue ! Il s’est donc approché de moi et m’a sondé avec un « ça va ? Tu fais quoi ? Tu veux venir chez moi ? » Je me rappelle encore que mon cœur battait à 1000 à l’heure. Je ne savais pas quoi faire, j’étais paralysé. Tellement stressé, je crois que j’ai dû répondre un timide et très bref « ouais » avant de le suivre. Il marchait 20 mètres devant moi et à chaque pas je sentais mon cœur battre encore un peu plus fort. On est enfin arrivé chez lui. Ce mec marié a fermé la porte derrière moi. On s’est déshabillé avec le même charme que dans le vestiaire d’un cours d’EPS. Je me suis allongé sur le lit, toujours avec aussi peu d’assurance. Il m’a tendu sa queue. Je l’ai sucé (tellement mal quand j’y repense et surtout par rapport à maintenant ^^). À un moment, il a essayé de me prendre, mais à l’époque c’était inimaginable pour moi. Donc j’ai continué à le sucer. Pour le faire cracher, j’ai mis sa queue entre mes jambes et avec les va-et-vient, il a joui sur ma chatte. On a échangé nos numéros et c’est avec ce Daddy que j’ai commencé à kiffer, sucer un mec, mais pas encore à me faire prendre. On s’est rhabillé et je me suis barré sans même jouir, avec la honte d’un jeune bi qui n’assume pas encore le plaisir de la queue. J’ai vu ce daron à plusieurs reprises toujours pour le sucer notamment dans le RER B jusqu’au jour où… J’ai commencé à doucement descendre ma langue vers son cul. C’était la première fois pour moi. Je l’ai senti hyper réceptif en levant ses jambes pour montrer sa raie puis je l’enten- dais gémir de plaisir. À chaque visite chez ce mec, je testais de nouvelles limites : je lui mettais un doigt, puis deux… et un jour il prit ma bite. Si bien que je ne le suçais même plus, je le baisais et je lui donnais ma queue à bouffer en gorge profonde. J’aimais aussi lui claquer le cul et lui cracher dessus avant de lui taper le fond avec ma queue. Dans les semaines qui suivirent, il en redemandait encore et encore : le daron qui me faisait sucer comme un gamin a fini par devenir mon objet avec ces messages quo-mtidiens que je recevais sur mon tél. : « tu es dispo ? » Du coup, c’était mon rituel d’aller me vider chez lui en fin de journée. Je vous parle d’une époque où Internet et les autres apps’ n’existaient pas. Avec le recul, je me dis que c’est dommage que je n’aie pas été plus loin avec lui, mais j’étais jeune et ça m’a quand même permis d’apprendre à utiliser ma queue et à bien bai- ser un mec, même si je n’étais pas le meilleur des amants, je pense que c’est justement ma jeunesse et mon manque d’expérience qui l’excitaient. Merci à tous ces Daddy’s qui détournent les jeunes mecs et les initient au plaisir du cul entre bonshommes.