Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Le métis du supermarché
Histoire gay publiée le 09/08/2022
Le supermarché J’habite dans une ville moyenne du sud de la France. Je suis marié à un homme et j’ai 50 ans. Plutôt bien conservé et entretenu. Ce jour là devant moi à la caisse se trouvait un homme métis que je trouvais charmant. Il mesurait 1m 80, taillait en V, t-shirt ajusté à son corps d’athlète qui faisait bien ressortir biceps et triceps. Il portait un teeshirt noir et un bas de survêtement noir aussi qui mettait son cul en valeur. Au moment où je posais mes articles sur le tapis de la caisse il se retourna et je ne pus m’empêcher de regarder son paquet que son survêtement mettait aussi bien en valeur. Je senti une excitation dans mon bas ventre et je tachais de ne rien montrer mais je continuais à mater grave. Au moment où la caissière lui annonça le montant à payer et qu’il sortit sa carte bancaire je me suis grillé car il remarqua mon regard insistant. A son tour il me dévisagea et passa sa langue sur ses lèvres tout en me regardant. Je compris alors qu’il était chaud aussi. Il quitta le magasin et je payais à mon tour mes articles. Je le suivais et je remarquais qu’il montait pour accéder au parking au dessus du magasin. Je continuais donc à bien le mater car ma voiture était aussi sur le même parking. A un moment donné je ne le vis plus. Je pris l’ascenseur. A la sortie de l’ascenseur sans savoir ce qui se passait il était là face à moi le regard envieux et pervers. Il s’approche de moi et le dit « alors petit me petasse, je te plais ? » je ne su que répondre à part hocher de la tête pour acquiescer. Il me prit par le cou, me dirigea vers un recoin sombre et il me dit « j’aime les putes mais je ne me suis jamais fait un mec ». C’est alors qu’il me bloqua contre le mur, je sentais son torse contre le mien et avec ses hanches il plaquait son engin contre le mien en faisant des mouvements du bassin. Il me pris par les cheveux, inclina ma tête et il m’embrassa en me crachant aussi dans la bouche. Il me dit « tu aimes sucer ? ». Je lui fit à nouveau un signe de la tête pour dire oui. Aussitôt il m’ordonna de me mettre à genoux et plaqua ma bouche contre son sexe. Je le léchais à travers son survêtement et je sentis sa queue grossir. Il la libéra de son étreinte et elle m’apparu énorme. Il me dit « vas y sale chienne, suce moi bien ! ». Ce que je fis mais très vite il imposa le rythme et c’est lui qui me défonca la bouche en fonction de ses desirs. Il poussai des râles de plaisirs, me traitait de tous les noms et cela augmentait mon excitation. Au bout d’un moment il bloqua sa queue au fond de ma gorge et il me gicla de long jet de sperme. Je ne pu qu’avaler. Il me demanda ensuite de nettoyer sa queue et de l’embrasser avec le sperme qu’il y avait dans ma bouche. Ceci l’excita profondément. Pensant que s’était fini, je me relevais mais avant même que je puisse partir, il me retourna face au mur et se plaqua dans mon dos et le dit « salope ce n’est pas fini, moi les putes je les remplis ». Il baissa mon short, je ne portais pas de sous-vêtement et mon cul s’offrît a lui. Je lui demandais s’il avait une capote il me dit que non et qu’il s’en moquait. Il me dit de me branler de de jouir dans sa main. Je ne mis pas longtemps à venir. Il prit mon jus le plaça sur ma rondelle et il me dit « c’est mieux que du gel ». Le reste du sperme dans sa main il me demanda de le lécher et il m’embrassa. C’est alors que je sentis une énorme douleur. Il venait de m’énculer bien profond. Il resta ainsi environ 30 secondes le temps que la douleur s’estompe. C’est alors qu’il me ramona très rudement mon cul. Ça frôlait le pénétration. C’est alors qu’il me dit « salope tiens c’est pour toi » et il me remplit mon cul de petasse. Il se retira, son sperme coulait de mon cul, il le récupère, le mis sur sa bite et le demanda de le nettoyer. Ce que je fis volontier. Il m’embrassa avec son sperme et il me jeta par terre en disant « il ne faut jamais m’allumer sinon on en paye le prix, celui de mon désir ». Il se rhabilla et il parti me laissant à poil par terre dans se recoin noir. Je me relevais m’habillais et je repris le chemin de la maison avec des restes de son sperme qui coulait dans mon caleçon.