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Fourad, le rebeu TBM croisé dans un parc
Histoire gay publiée le 05/06/2022
C'était la semaine dernière, il faisait beau. Je me baladais dans le parc en ville. Tranquille, installé au soleil sur un banc au bord du lac. Je regarde à droite à gauche, il y a du passage. Des gens qui se baladent, d'autres qui joggent, des jeunes qui font du bruit sur une pelouse. Enfin une journée agréable quoi. A un moment donné au loin je vois un mec installé sur un autre banc. Je le trouve pas mal. Alors je me lève et je commence à me diriger dans sa direction. Je me rapproche et le mate. C'est un rebeu, genre 27-29 ans, il porte une casquette. Il est pas mal. Il a un beau visage, il fait mec. Il a un T-shirt un peu moulant et je vois ses pectoraux avec ses tétons qui pointent, ça m'excite déjà. Il porte un jean, il n'est pas très grand. Je passe à côté de lui et continue à le mater pour voir sa réaction. Comme ça je scanne ce qu'il cherche. Quand je passe devant lui, il me regarde, moi aussi. Il sourit. Je passe quand même et continue mon chemin. Puis pas très loin je m'arrête. Ok, il a souri mais ça ne me dit toujours pas si je me trompe sur ce qu'il cherche. Il a beaucoup d'action dans ce parc entre hommes mais il faut quand même faire attention car tous les mecs ne cherchent pas à baiser et je ne veux pas me tromper. Donc j'en étais resté à "je m'arrête". Puis je fais demi-tour pour repasser tranquillement devant lui. Je vois déjà qu'il me regarde et en voyant son regard insitant je comprends qu'il est ouvert. Quand je suis presque devant lui, je ralentis. Je le regarde aussi. Et arrivé devant lui je lui dis "salut". Il sourit mais je le sens aussi un peu gêné, genre pas habitué. Il me répond "salut". Je m'arrête et on commence à parler. Genre le classique, comment ça va, comment tu t'appelles, et tout ça. Comme je m'attarde, je m'assois sur le banc et on continue à parler. Il s'appelle Fourad, il ne vit pas dans cette ville, il est de passage. Il a une copine. Mais bon il est clairement en manque de mecs. Après avoir parlé, je lui demande si on peut bouger, genre marcher. Il acquiesce. On se lève et on se met à marcher. On fait un tour du lac et on arrive près d'un fourré bien feuillu. Je lui dis de me suivre. On rentre dans les buissons. Derrière il y a quelques arbres anciens et une petite clairière au milieu. On s'arrête près d'un tronc d'arbre. Je me retourne et le regarde. Je lui demande s'il connaît ici. Il me dit que c'est sa première fois. Je m'approche de lui et l'embrasse. Il se laisse faire et continue même à m'embrasser. On s'installe près du tronc d'arbre et je m'appuie dessus. Je le serre fort contre moi et il se frotte à moi. Je sens sa bite dure contre moi. On se tripote en s'embrassant et on se serre fort l'un contre l'autre. Il sent bon. Il sent le mec mais parfumé délicatement. Il passe sa main sous mon T-shirt et me caresse le torse. Putain je kiffe, je sens des frissons. Puis il passe sa main sur ma bite à travers mon pantalon et fait des va-et-vient avec sa main. Puis il s'écarte de moi et commence à déboutonner son pantalon. Il le baisse et se retrouve en boxer devant moi. Je vois sa bite bien dure à travers et elle est bien grosse. Je me rapproche de lui et le caresse aussi. Je mets ma main dans son boxer et caresse sa bite. Putain l'engin. Il est énorme. Au moins 6 cm de largeur pour 21 cm de longueur. Laisse tomber. Je baisse son boxer et me mets à genoux. Je sniffe d'abord sa bite tout en le regardant dans les yeux. Il sourit et je vois comment il est excité. Il me caresse la tête. Puis j'ouvre la bouche à max et gobe sa bite. Je commence à le sucer doucement. Il gémit. Il m'attrape les cheveux et s'agrippe à moi tellement il kiffe. Putain il me démonte la bouche avec sa grosse queue. Je le suce comme un acharné et il me baise la bouche en même temps. C'est hyper fort. Ma queue est bandée comme un arc. Je sens mon cul s'ouvrir aussi tellement j'ai envie de me faire tringler. Mon cul a faim. Je le suce comme ça pendant quelques minutes. Puis il me relève et baisson mon short. Ma bite est à l'air car je n'avais pas mis de slip. Il se baisse et commence à me sucer. Putain je suis aux anges. Ma queue est dure et sa bouche est chaude, bien serrée et agréable. Il se débrouille bien. Sûr ce n'est pas son premier rodéo. Après 5 minutes, il se relève, me regarde et me dit qu'il veut me baiser. "Vas-y, défonce-moi" je lui réponds. Je me retrourne et me penche en m'appuyant contre le tronc d'arbre. Mon trou est propre. Je lui dis qu'il peut me lécher. Alors il se met à genoux et me chope les miches dans ses mains bien fortes. Il me malaxe les miches puis me les écarte pour découvrir mon petit trou bien poilu. Il n'hésite pas une minute et plonge son visage dans mon cul. Il commence à me lécher et je suis aux anges. On voit qu'il a l'habitude de lécher les meufs. Il y va franco, m'enfonce sa langue et se délecte de mon trou. Putain je kiffe, ça m'excite grave. Je sens que je mouille tellement, j'ai la bite qui dégouline. Puis après un bon moment comme ça il se relève, crache dans sa main et me mouille le trou. Puis il recrache et mouille sa bite. Il se rapproche et dépose son gros gland sur ma rondelle. Il pousse un peu puis la retire et continue ce petit manège en appuyant un peu plus à chaque fois pour préparer ma rondelle à gober sa grosse queue. A un moment donné je sens ma rondelle bien détendue et lui le sent aussi car il enfonce son gland plus profond. Putain cette sensation où il remplit mon trou m'envahit et je suis en extase. Il enfonce sa bite tranquillement, laissant mon trou le temps de s'acclimatiser à son énorme queue. Je le sens de plus en plus profond en moi. Je couine comme une salope. Il me chope les hanches et commence à faire des petits va-et-vient en enfonçant bien sa bite. Je le sens au fond de moi et j'aimerais que ce moment dure pour l'éternité. Il accélère le rythme et commence à bien me défoncer. Il gémit et moi aussi. "T'aimes ça salope" il me dit. "Oui, vas-y, défonce-moi!". Il y va franchement et me défonce bien le cul. Ma bite dégouline encore. Je sens sa bite au fond de moi et je sens que je vais jouir tellement c'est bon. Putain je lui dis que je vais jouir s'il continue comme ça. Il me répond que lui aussi. Il y va de plus en plus vite et me tringle comme la plus simple des traînées dans un parc. Je l'entends gémir plus fort et il me dit qu'il va jouir. Je sens les pulsations de sa bite et ça me fait passe le point de non-retour. Je jouis sans me toucher accroché à mon tronc d'arbre. Putain c'est bon. On éclate de rire. Il se retire de moi et son jus coule sur mes jambes. Je me nettoie vite fait. On parle un peu et s'échange nos numéros. On s'est revus depuis mais ça c'est une autre histoire.