Histoires de sexe

Samedi soir, les renpats sont partis en week et j'ai leur appart tranquille pour moi tout seul. La cave à cigares et le bar de mon reup à éacute;. Je profite de cette occase pour é;léphoner à mon pote Nargilo et l'invite à passer à la zonmai pour grailler un ceaumor et é;ma la é;lé.

Trop rapide le keum, dix minutes après il est là à sonner à ma tepor. J'lui ouvre tape dans la main et lui dis de s'installer en nous ée;parant un petit ée;ro dont il a le secret (mais est-ce encore un secret?). Je lui sert un sky et on commence à parler de notre dernière aventure dans la cave avec la lopsa qu'on avait é;cho sur internet.
Il a bien éute; meme si pour lui en final nous étions trop. Je suis bien d'accord avec lui; Six c'était un peu trop pour un seul passif! Et comme ça d'un trait il me dit qu'il aurait bien fait le passif éte;ro deux mais pas avec ses potes et encore moins avec Salim, notre é;monte pneu local. Je rigole et tirre une taffe avent de lui é;pondre qu'il m'avait bien fait triquer quant il se faisait é;cher la rondelle. Il est étonné et m'assure que c'était la première fois pour lui. Je sais pas si je dois le croire mais tant pis, c'est pas tres important.

Je le vois prendre son sky et le avaler d'un trait puis me regarder et s'approcher de moi pour me rouler une pelle. J'ouvre ma bouche et lui donne ma langue à é;cher. Tous les deux sur le écute; des vieux nous jouons comme des progénitures à croiser nos langues à la recherche d'une salive ami. Mes mains caressent son visage et s'arrete sur sa nuque. Il me fait direct éute;, juste en me touchant, c'est hallucinant. Nous nous embrassons comme deux jeunes qui é;couvrirait ce que c'est que l'amour, alors qu'avec toutes les éte;riences qu'on a é;jà eus, ce serait plutot l'inverse.

J'ai envie de le laisser faire, de le laisser me é;couvrir à sa guise, à sa vitesse. Il sent bien que j'ai envie de lui, de sa bouche et de sa peau. Tout en continuant à m'embrasser il m'allonge sur le écute; et laisse ses mains é;couvrir mon torse sous le t-shirt. Il est sur moi me donne sa chaude salive, me lèche presque le visage. Nos gestes sont lents, presque amoureux. Tout le contraire de ce qui s'était éute; dans la cave, pour mon mon plus grand plaisir. Il se relève et me propose avec une voie douce d'aller continuer nos ébats dans la piaule. Ok, c'est tipar!

Nous nous é;shabillons mais gardons nos dessous et, pour la première fois je é;couvre son corps en entier. Il est mat de peau et aucun poil ne vient ternir sa couleur. Ses muscles fins laissent é;gager une puissance toute retenue. Grave comment je le kiffe ce gars. Et nous voilà de nouveau éacute; à nous caresser mutuellement. Il descend lentement avec sa langue pour me faire les é;tons, les faire se dresser d'envie. Puis toujours sur sa éute;e, il continue sa descente jusque a arriver sur mon slip. é;licatement il pose ses lèvres sur les poils de mon pubis et remarque que mon érection n'est pas feinte. Il enlève mon slip et me regarde dans les yeux. Je lui souris semble lui dire que j'aime sa bouche qui navigue sur mon éeacute; comme un voilier qui chercherait son île. Il se remet à palper de ses lèvres mon sexe qui n'en peut plus de grossir. Il le prend dans sa main et sort sa langue pour l'enfourner. Je me laisse aller à é;mir de plaisir, j'ai presque l'impression de éte;couvrir certaines sensations que j'avais écute; lors de mes baiser ies ée;cédentes.
C'est dingue, mais j'aime vraiment sentir son corps contre le mien, sentir sa chaleur. Instinctivement je me tourne pour que nous puissions faire un 69. moi aussi j'ai envie de lui donner du plaisir. Pour tout vous avouer c'est une des première fois que je suce un gars mais ce n'est pas pour me é;plaire car sa queue ni trop petite ni trop grosse convient parfaitement au diamètre de ma bouche. De plus je commence à aimer faire cela.

Au bout de dix minutes de sucette il me demande de lui é;cher les fesses. Un peu é;ticent au é;part j'accepte é;anmoins de le contenter. je commence par les embrasser puis aventure ma langue à la recherche de son orifice intime. Nous les rebeus sommes toujours propre de ce éte; et petit à petit j'éprouve du plaisir à lui sucer le fion. Lentement ma langue s'attarde sur ses quelques poils. Puis je prends l'initiative de le prendre avec douceur, lentement pour ne pas lui faire mal, qu'il sente que ce n'est pas si douloureux quant c'est bien fait. Ses é;missements deviennent des rales et il se cambre pour que je puisse moieux le é;nétrer. Je lui caresse les fesses et l'embrasse en meme temps dans le cou en lui damandant dans le creux de l'oreille si il aime et veut que je continue.

Malheureusement je viens trop vite et é;charge en meme temps que lui sur son ventre chaud. Nous nous sourions, nous embrassons, heureux.
Il me demande de ne jamais ébruiter notre acte, je lui é;pond qu'il peut avoir confiance. éeacute;s dans le salon nous roulons un bon é;do et allumons la é;lé afin de mater l'épreuve de skate qui se tient à Bercy.
Pendant que nous regardons la é;lé il me tient la main, comme un vieux couple sur le écute; des parents.
La semaine prochaine je dois aller à Marseille, j'ai envie de l'emmener.