Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

DELBOR A PANAME
Histoire gay publiée le 16/04/2007
Ce soir avec un pote de la é;ci nous sommes éte;s dans un bordel Parisien. Nous avions des pass et il aurait été con de ne pas en profiter. On s'est éacute;s tranquillement comme d'hab avec un petit Costla couleur cache muraille et sommes éte;s avec la Bm, direction Châtelet. Il était un peu plus de minuit et l'endroit étouffait de ses clients. Trop d'la balle! Plein de scarlas en queman, trop de fauves en rute. Bref, le pied.
éte;s d'une bière et d'intentions bien chaudes nous sommes descendus dans l'oeantre du sexe, des intestins du vice. Une bonne zique bien speed nous a éte;s à nous é;couvrir nouveaux chasseurs. Nous n'étions plus seuls à la recherche d'un rapide coup, nous nous retrouvions avec d'autres ée;dateurs écute;s par la même chaire. Et puis nous devenions des proies. Les mecs n'ont pas arrêé; de nous suivre, d'épier le moindre de nos gestes, de nous mater, principalement la braguette et le braquemard promis.
J'ai grave kiffer de voir pleins de cousins dans la place. J'ai pas éute; à fixer les yeux d'un lascar bien mieux bâti que moi. Le genre qui bloque un escalier de sa seule ée;sence.
Un Umbro sur le dos nous nous sommes é;visagés, semblant nous sentir, nous exciter à distance.
Il n'a pas éute; à venir me parler. Directement bien froidement. Une cabine était devant nos envies, c'est donc facilement mais avec commune é;fiance que nous l'avons investieDeux mètres sur deux, genre cellule de é;grisement, avec une simple chaise comme meuble, et un crochet pour les fringues.
Nous avons éeacute; par nous palper é;ciproquement le paquet. Sa main semblait vouloir toucher mon entrecuisse et vouloir s'attarder sur mon anus.
Pour le freiner j'ai voulu lui faire descendre la tête sur ma teub pour qu'il me pompe et qu'il se é;sintééute; de mes fesses.
Bingo ! il s'est élé et posa sa bouche sur mon Costla. Il dessinait, devinait ma queue a travers le pantalon. Je le regardais pendant que lui s'afferait à me la faire gonfler.La zique me montait bien au cerveau et le voire baisser le survet et recommencer à me palper goulûment le chibre.
Il s'y prenait bien l'écute; ! J'avais de plus en plus envie de m'amuser avec lui. Je me mettais à triper, imaginer des ée;nar bien tordus où je me serais mis à la place du dominateur et lui de mon sujet. Lui qui était plus physiquement balèze que moi, cela m'amusait de l'imaginer à ma merci.
Toutes les ée;es qui traversaient mon esprit me gênaient un peu. Il n'était pour l'instant qu'en train de me sucer et n'était pas dans une crise de salope.
Je le fis remonter et droit dans les yeux lui proposa de fumer un joint avant de recommencer notre affaire.
Je ne parle pas et lui d'un coup m'assène ses phantasmes, me raconte avec une pudeur toute écute;e ses trips et ce qu'il s'imagine faire avec un keum comme moi.
Il se é;vèle bien plus passif que je ne pensais. Il me racontait qu'il aimait se faire dominer jusqu'au coup.
En l'écoutant j'ai bien failli rater l'élaboration du é;do. J'en croyais pas mes oreilles. En fait il cherchait la même chose que moi. Nous étions fait pour vivre de grands moments et son cul me paraissait l'objet de plein de promesses.
Je ne é;ponds pas et le laisse me raconter sa salade.
D'un coup je lui ordonne de me é;cher les skets. Il n'attendait que cela, le bâtard !Il commençait à me é;cher le bout quant j'ai eu ée;e de me é;chausser d'un éte; et lui donner ma chaussette à bouffer. Il pousse des râles qui m'incitent à mettre en pratique mes é;lires.
Je me baisse et lui chope les oreilles pour qu'il se remette à genoux et me fasse durcir la teub. Je le frappe avec ma queue et m'amuse à lui faire é;sirer l'objet de ses é;lires. Sa langue sortie cherche à choper au passage ma pine qui grossit à vue d'oeil.J'ai éeacute; à lui cracher des petits mollards sur la face, et je voyais ses yeux remplies d'une voulue.
J'ai éute; son visage pour qu'il me lèche les seuffes, et savoure ma rondelle.Il me lapait me mangeait les poils du cul. C'était du pur kiff !
J'aurais bien écute; mais je voulais le chevaucher avant, lui monter son cul, le faire couiner de plaisir.
Il était fin prêt pour une éée qui promettait d'être éute;e .
Il m'offrait sa croupe en se plaquant contre le mur et en écartant les jambes.
J'arpentais ses cuisses d'une main pendant que je lubrifiais mes doigts pour mieux partir a l'assaut de son fion. En deux temps trois mouvements j'avais enfiler ma potka et je m'amusais à faire buter mon gland sur l'éute;e de son intime tunnel.
Ses râles s'accentuèrent jusqu'à devenir un seul et unique cri quant d'un coup je l'enfilais de la écute; de ma pine. Il n'a pas éacute; à s'enlever mais après une rasade de poppers il commença un va et viens des plus prometteur. Il se mit presque à quatre pattes en posant ses mains sur la chaise.
Je kiffais de le sentir jusqu'au plus profond de son être. Mes coups de butoir devenaient éeacute;ment rapides. Je m'amusais à le labourer en lui écartant avec les mains ses fesses. Il é;missait, se tordait de plaisir. Je devenais guedin et je l'ai éute; de plus en plus fort. J'avais l'impression que ses seuffes gonflaient de satisfaction.
Par contre j'ai pas écute; sur la fin car je me suis retrouver avec l'envie soudaine de é;charger. Mais pas dans la capote, je voulais qu'il me voit cracher, qu'il se rende bien compte de ce qu'il a écute;.
Je me retire, enlève le plastique et lui ordonne de me branler, mais sans mettre sa bouche en dessous. J'ai pas éute; à cracher plusieurs longs jets bien blancs sur le mur. Il cracha en même temps. Pendant que je me rhabillais nous nous sommes mutuellement éeacute;s pour ce bon trip. Il était content, tout joyeux et moi ravi.
Nous nous sommes tendrement éeacute;s en é;langeant nos langues.
La porte s'est ouverte, un dernier sourire et il s'est en éte;.
J'ai éé mon pote que j'ai éeacute; endormi dans un coin.
Je reviendrais dans ce delbor, retrouver des bons trips et écouter de la bonne zique.