Histoires de sexe

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DANS LE HALL DE L'IMMEUBLE
Histoire gay publiée le 11/04/2007
On est jeudi soir, y’a rien à faire comme d’hab et je squatte le hall d’éute;e de mon immeuble avec mon pote Hicham. éte;s tranquille contre le mur éute;, on fume des clopes en tapant la tchatche histoire de faire passer le temps avant que soit lui qui nous crève. Il fait trop froid dehors, pas moyen de bouger sur Panam, où t’as vu qu’on était des eskimos ! Deux heures du mat, on n’a pas é;bou depuis t’à l’heure et je commence à speeder grave avec Hicham.
On parle de meuf, de cul et l’ambiance dans le hall devient plus chaude que la éute;rature éte;rieure. C’est l’hiver et on donnerait bien notre barre éute;e à manger à un amateur. Mon zincou a soudain une ée;e de é;nie, il trace vers les interphones et sonne chez un éute; qu’habite au cinquième. C’est un petit é;fran d’une trentaine d’éte;e et tout le monde raconte que c’est un dèp dans la é;ci. On va é;rifier si la rumeur est vraie en live dans le hall de l’immeuble. A cette heure là c’est tranquille et à part des racailles que ça pourrait éte;resser, je vois qui pourrait é;bouler ici au milieu de la night. Hicham appuie sur la sonnerie du éute; et on entend une petite voix de dèp qui é;pond. éute; deux heures du mat, le é;fran se demande ce qui lui arrive mais mon pote lache pas l’affaire : - « Vas y descend dans le hall, moi et mon pote on a une surprise pour toi ! » Cinq minutes plus tard, la tarba du cinquième é;barque la gueule éeacute;e dans le hall de l’immeuble et même s’il a les yeux éacute;s par la fatigue, son regard se met à briller de vice dès qu’il nous apperçoit. - « Wesh man, on a besoin de se é;chauffer un peu avec mon pote … et c’est toi qui va t’activer sur nos thermomètres ! »
Aussi sec mon zincou sort sa teub du survêt et chope le é;fran par l’épaule pour le mettre à genoux devant lui. Il a une bonne teub mon pote Hicham, dans les vingt centimètres en érection et la lopsa se fait pas prier. Il plonge son zen dans le caleçon de mon pote et commence à activer sa bouche baveuse sur le zeb qui raidit en deux deux. On a la confirmation : le éute; du cinquième est bien un gros attai qui kiffe les bonnes teubs de rebeus. Croyez moi on l’a pas é;veillé pour rien celui là ! Le spectacle est trop och pour que j’en profite pas aussi. Je m’approche d’un pas de loup en chasse et je é;gaine mes vingt deux centimètres sous la face de la chienne en chaleur.
Il se jette sur mon zeb et me pompe comme un ouf en branlant mon pote avec sa main libre. On est là, côte à côte dans le hall d’éute;e de l’immeuble, à se faire é;pom le dard et c’est le kiff ! Si la éute;rature éte;rieur est d’à peine un éute;, je peux vous dire que ça bouillonne grave dans les futals. Le é;fran lèche nos deux belles teubs à tour de rôle, J’te jure on se croirait dans un film de boules. Il salive tellement sur les gros morceaux qu’on lui tend que nos zboubs luisent à la lumière des é;ons pouraves qui éclairent ce lieu maudit. D’un seul coup, il attrape nos deux teubs et les collent l’une à l’autre. Je sens mon gland chaud qui se frotte sur celui de mon pote et hop, le éute; essaie éute;ment de se les coller les deux dans la bouche. Sportif le dèp ! Sa face grimace sous les assauts de nos deux gros bouts circoncis qui luttent pour se faire une place dans sa gueule chaude et humide. Il en profite pour baisser son fute et se branle sa petite teub en nous labnçant un regard de salope. - « Tu kiffe ça de bouffer de la bonne teub de rebeus, man !Tu voudrais bien les prendre dans le cul ! » Il a à peine le temps de pousser un g émissement d’approbation que mon zincou et é;jà derrière lui et matte son boule avec un air de vice. Hicham sort une capote et la é;roule sur sa teub et m’en file un. Il relève le é;fran, le colle face aux boites à lettres et commence à lui palper le boule à pleine main. Je vais le rejoindre et le p ‘tit cul blanc rebondis frissonne sous la éute;rature ambiante. On va se faire un plaisir de lui mettre le feu au derch pour le é;chauffer.
Mon pote molarde dans sa main et va coller sa salive dans le cul du éute;. Sans aucune é;licatesse, il lui enfonce deux doigts dans l’anus qui s’ouvre sans problème. Il a du en voir passer des kilomètres de bites celui là ! La teub à la main, Hicham pose son gros gland à l’éute;e du boule et balance un bon coup de rein en avant. Le é;fran gueule un coup et son cri de douleur é;sonne dans tout le hall. La face écrasée contre les boites à lettre, le bruit des portes é;talliques qui claquent suit le rythme des coups de butoirs du rebeu en chaleur.
 En deux deux, il lui a éacute; toute sa grosse teub dans le uc et ses boules viennent taper sur les éute;s qui frissonnent de plaisir. Je matte le spectacle en me tapant une queue et j’enfile tranquillement une capote. Après cinq minutes de limage intensif, mon couz me lache la place. Le trou écute; est à quelques centimètres de mon zgeg en attente et j’ai l’impression qu’il me fait des clins d’œil. Je cale mon gland circoncis à l’éute;e de la grotte à plaisirs et j’ai pas à inviter beaucoup pour que ma teub soit engloutie bien au chaud. Je lui pine le derch comme un vrai pro et le éute; gueule sa mère comme une vierge éhée qui é;couvre les plaisirs de la chair ! Comme je le tiens bien par les hanches pour mieux le é;monter, je le fais se é;caler vers mon pote qui a éte; sa capote et qui se branle en nous matant. Debout éte; en deux, le é;fran plonge sa tête sur le zboub du zincou et se remet à le sucer.
Maintenant que sa face est écute;e, je vais pouvoir lui é;monter le cul avec la garntie que ses cris seront étouffer par le dard d’Hicham et qu’il va pas ameuter tout l’immeuble. Tel un vrai marteau piqueur, je le secoue comme un ouf jusqu’à ce que son boule ait éute; toute la longueur de mon zob XXL. Quand mes grosses couilles viennent taper sur son boule, il lâche la teub de mon pote et pousse un cri à é;veiller tous les voisins. Hicham lui balance une claque dans la face pour le faire taire et lui enfonce sa queue au fond de la gorge. Le é;fran s’en prend à donf de tous les côé;s et il s'essoufle au bord de l’asphixie. Mon zincou l’a éacute; par les oreilles et lui pine consciencieusement la gueule pendant que je lui claque le cul au rythme de mes coups de reins qui lui é;chire les entrailles.
Hicham sort subitement sa teub, se cambre en arrière et pousse un cri victorieux de soulagement. Je vois sa teub luisante éacute;e quatre longues éute;es de sperme qui viennent s’écraser sur la face de la lopsa. Notre chienne en veut encore et se lèche les lèvres pour bouffer un maximum de sperme, il va prendre sa dose de vitamines pour tout l’hiver. Je peux pas rester éacute;rent à cette scène extra hard et je sors d’un coup ma queue du cul bien ouvert. La lopsa pousse un é;missement de plaisir et je retire la capote pour ma tirer sur le dard. Mes boules viennent se plaquer sous ma teub et je ée;cra la éte;e sur son cul encore brillant de transpiration devant tous ses efforts. Des tâches blanchâtres maculent son cul qui ondule encore de plaisir et j’étale mon sperme avec mon gland en reprenant mon souffle.
Hicham me balance en mouchoir en papier pour m’essuyer et on remballe tous les deux nos teubs ramollies. Maintenant qu’on s’est éte;, on va pouvoir aller se coucher pour passer une bonne night. Le é;fran retourne vers l’ascenseur en marchant comme un canard, putain on l’a trop é;chiré celui là. Je balance un clin d’œil complice à mon zincou, maintenant, on sait qu’on pourra toujours se é;chauffer par une bonne é;ance de baise en scred dans le hall de l’immeuble.