Histoires de sexe

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LA NUIT DE JULIEN II
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Nous sommes donc partis avec le jeune mec (son prénom c'est Lucas, il me l'a dit dans la voiture) vers Tours. Arrivé chez moi, nous sommes montés à l'appartement et j'ai pu enfin détailler le look et le corps de mon « invité ». Comme je l'ai écrit, il était super canon. Plutôt punk avec ses piercings partout et crâne presque rasé. Il avait en fait juste 19 ans et avait quitté le lycée depuis 1 an. Un corps fin, des yeux bleus, une gueule d'ange. Pourtant je savais depuis peu (l?épisode de la pissotière d'autoroute) qu'il avait entre les jambes un sacré morceau, qu'il savait s'en servir et qu'il pouvait se montrer salement vicieux. Nous avons bu un coup assis sur le canapé du salon. Il m'a interrogé sur le sport et sur ma vie. Je lui ai dit que j'avais une copine et que j?étais bi. Moi j'avais terriblement envie de baiser avec ce keum.


C'est pourtant lui qui a commencé en me demandant si je voulais bien enlever mon tee-shirt. Je l'ai ôté tout de suite. Il a regardé mon torse, puis m'a touché, caressant les muscles de mes bras et mes tétons. Il m'a demandé : « T'as aimé ce qu'on a fait avec le gros con dans les chiottes ? ». J'ai dit oui. Il m'a dit qu'il kiffait la baise déprave et crad entre keums. Je m'en étais rendu compte. « Et toi ? » m'a-t-il dit. Je me suis entendu répondre que j?étais prêt à essayer plein de choses nouvelles. Puis il m'a ordonné : « Viens me sucer ! ». Je me suis agenouillé par terre et j'ai commencé à ouvrir la braguette de son pantalon de treillis. Sa bite n?était pas encore raide mais déjà bien grosse. L'odeur était forte comme j'avais déjà pu m'en rendre compte quelques heures auparavant. Je l'ai enfournée pendant qu'il appuyait sur ma tête pour me la faire rentrer au fond de la gorge. Sa queue se tendait peu à peu pour me remplir toute la bouche. Je ne pouvais presque pas respirer car il me forçait à l'enfoncer toujours plus loin, le gland calé au fond du larynx. « Tu veux vraiment ? » m'a-t-il demandé ? J'ai dit oui mais je ne savais même pas ce qu'il voulait dire. « Enlève mes pompes ». J'ai retiré ses Niky pourries que le VRP avait sucées, pleines de pisse. Ses chaussettes avaient du être blanches mais là elles tiraient plutôt sur le marron sale. L'odeur allait avec. Le salaud n'avait pas du se laver les pieds depuis plusieurs jours et marcher un bon nombre de kilomètres avec. « Suce ». J'avais jamais été dans cet état de dépendance et d'obéissance. Je ne savais pas que c?était possible. Ma bouche s'est approchée d'un de ses pieds et j'ai posé ma langue sur le tissu cradingue. Ca daubait vraiment et j'avais a moitié envie de gerber. En même temps, je ne pouvais pas m'arrêter.


J'ai léché consciencieusement les deux pieds l'un après l'autre, jusqu?à prendre une chaussette dans la bouche et la mouiller de ma salive. « Enlève-les et suce mes pieds ». Ils étaient en rapport avec l?état des chaussettes. Des dépôts sombres entre les orteils et la plante un peu trop colorée. Ma langue a nettoyé peu à peu les deux pieds, passant entre les doigts, s'attardant dans les parties les plus sales. Pendant ce temps Lucas était affalé sur le canapé en fumant une clope et avalant un verre de soda. De temps en temps il se touchait la bite qui sortait raide et grosse de la braguette de son treillis. Moi, j?étais toujours torse nu mais je bandais comme un âne. « Amène toi ». A cet ordre, je me relève et me penche vers Lucas. Il me prend un téton et me le pince très très fort. Vraiment très fort sans aucune précaution. Je hurle. Il me lâche. Me regarde. Et me dit : « C'est toi qui va me demander de faire exactement pareil à l'autre » Je suis complètement sous influence car je m'entend lui dire : « S'il te plait, fais la même chose avec l'autre ! » Ce n?était pas parole en l'air, c'est de toutes ses encouragements qu'il m'a pincé l'autre téton en le tordant ; bien qu?étant cette fois prévenu, je n'ai pu m'empêcher de crier. « Enlève tout ».


Je me suis déshabillé devant lui qui me regardait sans sourire, sans parler, l'air mauvais. « Approche » Il a pris ma bite raide dans sa main comme pour la soupeser puis l'a lâchée. Il m'a demandé de me tourner et de me pencher en avant. Je lui exposais mon cul. J'ai senti ses mains sur mes fesses, pas vraiment une caresse ni une claque, entre les deux. Puis il a glissé un doigt vers mon cul qu'il a cherché à ouvrir. J?étais sec et plutôt serré. Il s'est penché vers mon oreille « Je vais te déchirer le fion tout à l'heure » Puis il s'est mis debout et a enlevé ses vêtements. Il était vraiment canon. Un corps super musclé mais long et fin. Je me suis même dit qu'on faisait un beau couple tous les deux. Puis j'ai pensé à ma copine et ça m'a fait tout drôle. « Viens avec moi dans la salle de bains ». Je lui ai montré le chemin. « J'ai envie de pisser et toi t'as soif » Je refusais de comprendre. Mais quand il m'a demandé d'aller dans la douche et qu'il restait en dehors tout en touchant sa queue, j'ai saisi ce qu'il désirait. Jamais je n'avais fait ça, comme receveur en tout cas. « Plus vite !! »


J'ai ouvert la bouche et tout de suite senti le jet chaud et odorant qui m'arrivait dessus. Je me suis demandé si je ne révais pas. Et pourtant j?étais bien chez moi, en train de recevoir dans ma bouche et de avaler la pisse d'un jeune mec à peine plus jeune que moi. Quand il a eu fini, il m'a demandé de laisser la bouche ouverte et de fermer les yeux. Je l'ai entendu se racler la gorge et j'ai reçu dans la bouche un putain de mollard puis juste après il m'a redonné sa queue à sucer. Elle était toujours imposante et, en plus, imprégnée de l'odeur de pisse. « Ouvre toi le cul avec les doigts pendant ce temps ». J?étais à genoux, et je pouvais glisser ma main droite sous mes fesses. J'ai pu me caresser l'anus avec un doigt puis avec deux. Je cherchais à m'ouvrir le plus possible car j'ai plus l'habitude d?être actif que passif et mon trou n'est pas si souple que ça, et sa bite était vraiment grave.