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DERNIER RER
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Il était un peu plus de minuit et j'attendais patiemment un des derniers RER pour rentrer chez moi après une soirée sympa entre amis en banlieue. On n?était pas nombreux à attendre sur le quai à cette heure un peu tardive. Deux chinois tchatchaient à l'autre bout du quai, un clodo était endormis sur un banc et basta. Après un quart d'heure d'attente, le RER arrive enfin et je pensais me caler trankillement et somnolé jusqu?à Châtelet. Je monte dans un wagon complètement désert ? Ca change des compartiments surchargés que l'on connaît aux heures de pointe. Je m'installe dans un fauteuil central sur un emplacement à quatre places face à face histoire d?être à l'aise pour comater jusqu?à mon arrivée.


Arrivé à la Courneuve, les portes s'ouvrent et je vois monter un rebeu looké 100% caillera. Sketbas de marque au pieds, survêt et casquettes assortis, il doit avoir une vingtaine d'année et avance d'une démarche chaloupée dans le wagon et vient directement sur moi : - « T'as pas une clope à me dépanner ? » Je sors mon paquet et je lui en offre une et il s'assied en face de moi. Il se penche pour que je lui allume la garetci et ses mains effleurent les miennes. Il a de bonnes paluches bien larges, à mon avis, il doit taffer dans le bâtiment ou un truc du genre, un taf bien physique. D'ailleurs il a les épaules bien carrées et je commence à chauffer un peu dans le calebut. Il se vautre dans le fauteuil en face du mien et pose son pied sur mon accoudoir. Il est là, trankil, les pattes écartées en face de moi et je peux apercevoir les poils de son beau mollet galbé et mat à quelques centimètres de ma tête. Le RER poursuit sa route et je commence à mâter sérieusement : ses yeux sont rouges et c'est clair que mon lascars a du méfu pas mal et qu'il est bien explosé. Je scrute son entrejambe, mais le survêt est trop large pour que je puisse deviner s'il a du bon matos caché en dessous ou pas.


Tout à coup il vire ses skets d'un coup de talon et repose son pied sur l'accoudoir. Une bonne odeur de keumé me monte aux narines et il m'envoit un p'tit sourire : - « ca va ça pue pas trop ? » - « non, non, c'est trankil » Quel faux cul je fais ! ces sketbas dégagent grave et l'odeur me file une trique d'enfer. Il prend une de ses skets et se la passe sous le nez. - « putain t'as le nez bouché ou quoi ! Elles fouettent mes sketbas, tiens, sens ! » et il me tend sa basquette pourave. Je sniffe un coup et l'odeur puissante me fait bugger le cerveau. Il fixe ma réaction et voit bien dans mon regard que j'ai l'air de kiffer ça. Il prend son autre sketba et la sniffe et me balance cash en se tâtant le paquet : - « Moi ça me fait bien kiffer l'odeur de mes ieps. Toi aussi tu kiff, hein keumé ? vas y touche-toi le paquet » On est là, face à face, jambes écartées dans le wagon, une sket sous le nez et on commence à se palper l'entrejambe. Il met direct la main dans son survêt et commence à se branler la teub.


Son pied vire de l'accoudoir et il me caresse la braguette avec. - « zyva sort le matos keum ! j'aime bien mâter pendant que j'me branle » Aussitôt dit, aussitôt fait et on se retrouve tous les deux le zob à l'air. Il a une putain de belle teub de 20cm facile, bien large avec un gros gland bien décalotté. On s'astique la queue, yeux dans les yeux et le fait que tout ça se passe dans un RER est encore plus kiffant. Heureusement pour nous personne ne débarque dans le wagon aux stations qui suivent. - « t'aime ça la bonne odeur de scarla, hein ? Viens t'occuper de mon zeub, tu vas pas être déçu ? » Je profite d'un tunnel qui nous plonge dans la pénombre pour plonger à genoux devant lui et je vais mettre mon nez au dessus de sa teub. Ca fouette grave un mélange de sueur et d'urine, une odeur assez muscée qui me met la tête à l'envers. Il me chope par la nuque et commence à me fouetter la gueule avec son zboub. - « vas y nettoie ma teub maintenant »


Je ne me fais pas prier entre l'excitation et le bout du voyage qui s'annonce dans quelques minutes. J'enfourne ma tête entre ses cuisses et prends directement son sgeg dans ma bouche et lui malaxant les couilles. Lui a toujours le nez dans sa sketba et pousse des petits râles de plaisir. - « Putain c'est trop bon, zy va bouffe bien p'tite salope ! » Les pieds en appui sur les accoudoirs, il commence à bien me limer la gueule par des petits mouvements de bassin vers le haut. J'en prends le maximum dans la bouche en salivant comme une petasse pour que ça coulisse le mieux possible et je colle ma teub dans sa sketba pour me branler dedans en même temps. L'intérieur de sa sket est moite et un peu collante et ça me colle une trique maximale. Après quelques minutes de bouffage de teub intensif, il retire sa teub et me dit : - « Viens à côté de oim je vais chécra, on va bien arroser la RAT'p ensemble ! » Je me pose à côté de lui et on se branle nos deux teubs raidies au maximum, chacun le nez dans une de ses skets.


Je jouis le premier et il ne tarde pas à me rejoindre et on balance tous les deux des grands jets de sperme sur les fauteuils qui nous font face et sur le sol en grognant de plaisir. Il remballe vite fait sa teub sans même l'essuyer et me tape dans la main : - « trankil cousin, c?était bien kiffant. Tu descends où ? » - « A Châtelet, c'est la prochaine station » - « Moi aussi je descends là, à partir du quai on s'est jamais vu ok ? » le rebeu remet ses skets et on trace chacun à un bout du wagon, le RER s'arrête et nos routes se séparent. Depuis, j'attends avec impatience ma prochaine soirée en banlieue pour prendre le dernier RER.