Histoires de sexe

La porte de ce putain d'ascenseur c'est ouverte au 3ème sous-sol et toute la racaille de la téci était là, je crois. Enfin, sur le moment, je pouvais pas les voir, juste les deviner. J'en pouvais plus, j'avais dérouillé. J"avais la gueule toute crade, parce que j'avais bouffé le sol puant de la cabine. Mon ptit cul de puceau me faisait mal. Enfin, puceau, plus vraiment, parce que l'enfoiré m'avait bien limé à donf, y m'avait foutu son zeub, comme as, sans préparation. Et y m'avais donée de bon cous de reins dans le cul.


Donc, j'étais là, comme un con, à genoux, la gueule par terre et les fesses en l'air. Et là, mon niqueur, ma marave encore avec les pieds, des petits coups dans les côtes. Et pis il a sifflé pour appeler ses potes. J'ai pas compté, mais y zétaient beaucoup. Y'en a deux qui m'ont attrapé par les cheveux et par le t-shirt pour me sortir d' ascenseur. La porte s'est refermé. Y faisait sombre. Je m'suis retourné pour essayer de voir qui était là, mais un des keums m'a plaquer la gueule sur le béton. Par les pieds, on ma tiré et après 3 ou 4 mètres j'étais sur un matelas ripoux et qui puait grave la pisse et le sperme, Putain, sûr que c'était pas la première fois que des gars ou des meufs se faisaient baiser dans cette cave.


Y'avait aussi une odeur d'huile, comme dans un garage. On étaient entouré de carcasses de mob volées. Franchement, j'avais tellement les boules que j'ai cru chier dans mon survet. Y zont commencé à me traiter de petasse, et que j'étais qu'une putain de tarlouze, une tapette, et que j'allais y passer. Et pis, ça été très vite. J'me suis retrouvé complètement à oilpé, et encore le cul en l'air et la gueule sur le matelas. Le mec de l'ascenseur ma attrapé par le cou. Y m'a dit « avec mes potes on va s'occuper de toi ». Et là, y ma mollardé à la gueule.


Et pis les zob ont défilé dans mon cul. J'ai pas vraiment eu mal, parce que je moullier grave . Et l'un après l'autre, y m'ont envoyé la sauce sur le cul. Ca allait vite, comme chez les animaux, je pense. Y devaient être tous très excités, pasque la purée giclait. Sauf qu'a un moment, y'en a un qu'a essayé de m'enculer, et il a pas pu. Sa teub de rebeu était trop grosse. Le mec a pécho un bidon d'huile et a versé le liquide gras sur ma rondelle humide. Trop facile après de rentrer son engin. Putain, je pensais pas supporter, mais si. Malgré mes 20 ans, mon manque d'expérience et ses 27 cm, ça la fait. D'ailleurs ce mec était un peu plus endurant que les autres.


Pendant ce temps là, Kamel, Youssef, Farid, Sami, Kader, je sais leurs prénoms parcequ'ils s'encourageaient les uns après les autres et qu'ils étaient en train de se branler devant ma face. Y'en a un qui eut une idée à la con. Il a chopé un entonnoir qui servais à la mécanique. Y ma attrapé et ma retourné comme une . Le rebeu zeubé 27cm qui était en train de me niquer a gueulé « putain cousin, laisse moi lui défoncer sa chatte de lopsa » mais l'autre mec a insisté pour que je me mette sur le dos. Du coup, le rebeu a retiré ses 27 cm de mes fesses. Les mecs étaient en train de bien goleri .


J'y voyais que dalle, j'avais de la sueur et des larmes dans les yeux, et pis toute la crasse du matelas. Mais y'avais une dizaine de mecs autour de moi. Je devinais des skets, des bas de survet, quelques bonnes gueules de marocains, de tunisiens et de metis de 20 a 25 ans, mais y faisait vraiment sombre je sentais leurs spremes couler sur moi et Quand je me suis réveillé, j'étais tout crade, sur le bord du terrain de foot de la courneuve . Kamel, Youssef, Farid, Sami, Kader et des dizaines de keums aussi bandants les uns que les autres étaient en train de jouer au foot. J'avais rêvé ? Nan !