Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Journal intime
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Lorsque Marc rencontra Luc, il savait que ce dernier aimait le sexe mais il ignorait à quel point il en était dépendant. Luc était une véritable salope accro au sexe hard... C'est en découvrant son journal intime qu'il comprit qui était vraiment son amant et ce qu'était sa vraie vie... Marc s'était installé dans le canapé et avait feuilleté le carnet de toile grise. Des mots, des dessins, des photos dansaient devant ses yeux et il avait du mal à réaliser que Luc, son Luc, était une petasse prête à tout. Partagé entre excitation et dégoût, il décida de commencer sa lecture depuis le début...


Le sexe Décidément, je ne peux m'en passer. Je découvre un peu plus chaque jour ma vraie nature. Je dépasse tous les jours un peu plus mes limites. Je m'étonne toujours de voir à quel point je suis capable d'aller plus loin. Avec l'hiver, je croyais me calmer mais rien n'y fait. Je veux de la bite, des bites et des grosses... J'ai décidé de tout écrire...


Je commence ici mon journal très intime. J'espère qu'un jour quelqu'un le lira et se délectera de mes aventures... DECEMBRE 2000 Le 15 Mon corps est brûlant. J'ai très envie de me faire prendre. Je m'organise pour avoir ma dose de baise chaque jour, chaque soir, chaque nuit... Le programme est chargé pour les jours à venir: Tom me convie à une touze demain soir où il y aura du beau monde tandis que Bernard veut m'exhiber et me soumettre dans un cinéma X vendredi après-midi. Un ami de Rudy m'a contacté sur mon GSM pour un plan nature. Cette nuit, je l'attendais depuis des semaines, plan exhib avec Arnaud, dans une cave de la Cité R. Il m'a fixé rendez-vous à 1h du mat dans l'entrée de l'immeuble.


J'ai reçu l'ordre de me foutre à poil, sans fringue à la main, et de l'attendre. J'ai pris une bouteille de poppers et mon appareil digital. À l'heure prévue, il arrive et, après avoir pris une photo dans l'entrée, il me fait descendre à la cave. Il me demande de le pomper dans l'escalier. Sa tige est grosse et me remplit bien la gueule. J'ai une faim d'enfer. Je suce à m'en péter la mâchoire. Très vite, il me jouit sur la gueule. Il a apporté deux chaînes et des cadenas. Il m'attache dans la cave commune. Il m'abandonne pendant une heure. J'entends des bruits mais personne ne vient. Ma queue est raide. Je voudrais que quelqu'un - un mec naturellement! - me trouve ainsi... Il revient, me détache et me baise en me poussant la gueule dans la poubelle. Le plan se termine vers 3h45. Je largue mon jus dans l'entrée de l' immeuble et me rhabille. Le 24 Hier soir,plan hyper sexe avec Jacques H, un mec que j'ai rencontré il y a un mois sur le quai du P.


Ce mec, très poilu, est un actif assez hard, avec une bonne bite noueuse. Il désire me mettre à l'abattage et ça m'arrange bien. C'est le type de plan qui me branche et que je rencontre peu. La séance débute aux D par un pinage intensif de ma rondelle (sans lubrifiant) et un travail des tétines à la main. Après m'avoir échauffé doucement, il me livre à poil à un mec - très bandant, portant un cockring et des chaps pour tous vêtements! On s'est trouvé une cabine dont on a laissé la porte grande ouverte et il m'a bien utilisé. Il m'a tiré puis godé un long moment.


Ce mec est vraiment endurant et j'ai bien profité de sa queue. Jacques m'a repris en main une trentaine de minutes avant de me laisser entre les mains d'un molosse tatoué que j'avais déjà croisé aux D. Le molosse m'a fait sucé sa matraque, sniffé ses aisselles et bouffé sa raie. Jacques m'a limé endant que je poussais ma tronche entre les deux lobes poilus de mon partenaire. Jacques s'est retenu car il voulait terminer ça au bar. Là, il m'a couché sur un tabouret et il m'a encore baisé pendant un bon moment, en laissant une dizaine de mecs nous mater. Le patron nous a demandé s'il pouvait filmer. Jacques a accepté. Il a répandu son jus sur mon ventre. Trois voyeurs l'ont imité...


Le 28 Steve m'avait promis une surprise. J'ai eu droit à 4 mecs vicelards qui se sont bien occupés de mon cul et de ma gueule. La séance a duré près de quatre heures pendant lesquelles mes trous furent constamment occupés. Un des mecs voulait me baiser sans capote et Steve l'a jeté. Les trois derniers m'ont eu à l'usure. Je haletais. Je pense avoir été un bon vide-couilles et j'en suis sorti avec la gorge un peu irritée... Ces mecs avaient une bonne queue et j'ai pris ma dose de jus sur la figure. Steve m'a emmené dans sa baignoire où ils m'ont arrosé de pisse chaude. Il était trois heures du mat lorsque les mecs sont partis. Steve m'a dit que ça n'était pas terminé pour moi et il a téléphoné à un pote à lui. Il m'a installé dans un sling - Steve a une installation de vrai pro - et mis à l'abattage pour quelques mâles en manque, dont un black monté comme un taureau. Steve m'a bien chauffé au poppers tandis que le black m'ouvrait la chatte à coups de reins. Je planais carrément. Les bites ont fait reluire mon trou avide. Ma bouche a moins travaillé et j'ai pu gémir à loisir. Steve et son pote Ralph m'ont traité de tous les noms: petasse, lopette, truie... J'adore ce genre de trip cochon. Il m'avait promis de prendre un maximum de bites et de me faire jouir du cul. Il n'a pas menti... JANVIER 2001 Du 31 au 1er


Cette nuit, j'entre dans le nouveau siècle, comme la reine des putes! Vers 22h, je commence ma nuit par un plan rapide chez Bernard. Il m'avait téléphoné vers cinq heures pour un plan crade. J'ai dû garer ma voiture à une centaine de mètres de son imeubl situé en banlieue, me foutre ntégralement à poil dans la voiture, y laisser les fringues et venir chez lui comme ça! En remontant la rue vers son immeuble, je me branle furieusement. Je ne rencontre personne mais j'espère être vu par quelqu'un derrière sa fenêtre. Bernard, lui, me mate depuis son balcon et il est excité un max. Je prends l'ascenseur et, au 4ième, je pousse la porte de son appartement. Il m'attend dans le living et me fait mettre à 4 pattes sur la table basse. Il a disposé une dizaine de godes sur le canapé, du crisco, des pinces à seins et un plug énorme. Il me claque le cul sans relâche puis me travaille un peu le trou avec des godes de plus en plus longs et gros. Il m'enfonce le plug. Il m'oblige à le téter pendant une grosse heure avec toujours ce plug au cul. Lorsqu'il sent sa jouissance arriver, il enlève le plug et commence à me baiser.


En moins de cinq minutes, il se vide les couilles dans la capote. Il me remet le plug et m'ordonne de retourner immédiatement vers ma voiture. Je m'excite à fond d'avoir à parcourir cette rue à poil, mes fringues m'attendant dans la voiture. Mon cul est rempli de bonheur et je le balance comme une bonne petasse. Au bout de la rue, il y a une avenue et je vois passer quelques bagnoles au loin. Deux d'entre-elles ralentissent: on a dû me repérer. Je voudrais jouir mais je dois résister...


Ma nuit ne fait que commencer. Je monte dans ma voiture, le plug s'enfonce bien au fond de ma chatte éclatée, j'enfile simplement mon bombers et je pars en direction du bois de B. J'arrive assez vite. J'ai croisé un combi de flics et ça m'a fait triper un max. Je me gare et j'enfile un short de satin noir. Le bois m'attend. Il n'y a pas grand monde à cette heure-ci... C'est la nuit du réveillon... Je vais patienter. Je me mets à poil et planque mes fringues dans un buisson touffu. Au loin, un mec arrive. Je m'arrange pour être vu. Le danger me rend dingue. Il s'approche. Appuyé contre un arbre, je vais attendre qu'il attaque... Il tourne un peu puis vient à moi. Il me triture la bite. La sienne déforme son jogging.


Il me propose un plan, chez lui, avec un troisième... J'accepte... Il me bande les yeux et me fais monter dans le coffre de sa bagnole. J'ai très froid à l'extérieur mais très chaud dedans. On roule dix minutes. Il me sort du coffre et m'entraîne dans l'inconnu. Je sens qu'il me pose des pinces à seins, un cockring, un plug au cul. Il me dit des trucs cochons à l'oreille. Je sens qu'on me renifle la raie et qu'on m'enlève le plug. Il me dégage les yeux et me fais prendre une bonne bouffée de poppers. Ça me rend fou! Il me remet le bandeau que je vais garder sur les yeux pendant tout le reste du plan. Ce mec est un super vicelard. Entre le poppers et les pinces à seins, je plane. Je crie. Le mec me baffe.


- Ta gueule, sale petasse! Il tire sur les ficelles accrochées aux pinces. Il me dit que je vais devoir prouver que je suis bien la bonne lope que je prétends être. Il me travaille les seins tandis que l'autre mec a sorti sa bite que j'enfourne sans attendre au fond de ma gueule. Elle restera bien ferme pendant tout le plan. Je la suce pendant qu'il m'insulte, me crache dessus, me frappe sur le cul. Il me demande de lui dire que je suis une salope. Je lui dis que je suis vraiment sa lope et que ma chatte attend sa queue avec impatience. Il attrape les pinces à seins et tire dessus pendant qu'il me baise en puissance. Je suinte du cul comme une chienne - c'est effectivement ce que je viens d'être durant vingt minutes - et j'en redemande. Il veut faire quelques photos pour montrer à ses potes comme je suis une bonne lope.