Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Kessel m’a fait kiffer
Histoire gay publiée le 11/04/2007
C'était il y a quatre ans, à l'époque où je passais tout mes étés à Casablanca. J'avais pris la bonne habitude d'aller très régulièrement au hammam. Le bienfait que ces bains publics orientaux apportent à la peau n'est qu'une des nombreuses raisons de mon empressement à y aller?


En effet j'y passais trois à quatre heures toute les semaines, payant les services d'un kessel (homme que l'on paye une broutille pour nous faire la toilette). L'un d'entre eux s'appelait Mohamed. C'était un black de 23 ans, des bras musclés, un corps massif et trapu. Il n'était donc pas très grand mais il avait une pure tête de rebeu ? dure et virile- et je le voyais pour la seconde fois. Il me faisait lentement la toilette. De manière douce et agréable. Il me frotte activement le dos puis les jambes quand à un moment je sens son sexe effleurer mes fesses. J?étais couché à même le sol humide et chaud, en sueur, détendu et excité parce que j'étais entrain de vivre.


J'étais en slip blanc et lui avait un bermuda noir et vert fluo de mauvais goût, très usé et court, de telle manière à ce que l'on puisse deviner sa queue s'il est à genoux. En sachant qu'il passe tout son temps sur les rotules, ça donne une idée de l?état dans lequel j?étais. Il était là à coté de moi, avec ses gouttes de sueur qui me tombaient dessus. J'avais envie de la lécher, sa sueur. Il a dû le comprendre car à un moment, je lui ais demandé de me passer du savon juste avec ses mains. Le gant de crin commençait à me faire mal. Il me regarde, me sourit et commence à me masser. Le pire (ou le mieux) est qu'il ne s'est pas gêné de me masser partout! Jusque dans mon slip, mes fesses en cible. Il faut avouer que ce n?était pas pour me déplaire.


Au bout de cinq interminables minutes de tripotage intensif, il me rince et on sort du hammam. Nous montons ensemble sur une mezzanine pour se sécher quand je décide de me le faire au culot. Je prétexte une douleur à l'adducteur droit et lui demande de me faire un vrai massage, histoire d'atténuer ma soi-disante douleur. Il accepte, commence à me toucher l'intérieur de la cuisse et se rapproche peu à peu de mon entre-jambes. Je commence à bander à l'idée qu'il s'approche de mes couilles, je laisse faire et le regarde droit dans les yeux. Je souris, lui attrape la main et m'assoie dessus.


Il touche alors mon cul, on kiffe tout les deux la situation. Il me rend le sourire, me fout une tape sur l?épaule et me demande de le rejoindre en bas. J'ai du mal à réaliser ce qui m'arrive, je fais quand même ce qu'il me dit. Cinq minutes plus tard, je redescends les marches de la mezzanine et me dirige vers les toilettes du hammam. Il me voit, me fait signe d'entrer vite, j'entre discrètement dans la cabine des chiottes et le découvre nu. Il avait une pure queue. Longue, épaisse et dure. Je n'avais d'autre choix que de me baisser pour le pomper.


L'envie était très présente et justifiée, j'avais devant moi un mec beau, bien foutu et qui me voulait, je me suis laissé faire, il enfile une capote et me pénètre alors pendant quelques rapides minutes. Soudain il me relève, m'embrasse, me fout à genoux et me jouit sur le torse des flots exquis de sperme. C?était rapide, cru et dénué de toute tendresse. Mais putain, c'était bon ! Ce plan m'a procuré un plaisir et une excitation inoubliable. Maintenant, quand je repars à Casablanca en vacances, je vais toujours dans ce hammam en espérant le revoir, quatre ans après.