Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Romain et les beurs
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Mon métier de photographe-portraitiste m'oblige à m'absenter de temps en temps pour des séances de poses à travers la France ou à l'étranger. Aujourd'hui, je suis de retour chez moi, tout à la joie de retrouver la chaleur du corps de mon amant Romain. En poussant la porte de mon pavillon, je me l'imagine déjà m'agrippant par le cou et me collant ses lèvres chaudes aux miennes. Surprise ! Au premier abord, la maison semble vide.


Le temps de m'habituer au silence et je perçois des râlement en provenance de ma chambre. Je m'en approche discrètement. Sur le lit, Romain est assis sur la queue raide et membrée de Kellian, un beau métis antillais comptant parmi ses amis. Celui-ci se joue du moelleux du lit pour empaler Romain avec puissance de grand coups de butoir. Sans doute pour éviter de laisser s'échapper des cris de douleur et de jouissance, Romain serre une des chaussettes de Kellian entre les dents. Il a enfilé la seconde chaussette sur sa bite et se branle à grands coups, au rythme de la perforation verticale qu'il subit.


Kellian est tout en sueur, concentré, rigide dans le cul de Romain. Il grogne tout en se taillant un passage dans le trou d'amour. Les deux garçons ne sont plus loin de lâcher leur purée. Le cul de Romain s'ouvre au maximum. Kellian accélère le mouvement de son membre jusqu'à coller ses couilles contre les fesses de Romain qui se crispe quand il reçoit la dose de foutre au creux de ses intestins. Dans le même temps, il lâche dans le fourreau de la chaussette une ration de sperme à n'en plus finir. La chaussette en est trempée. Il se soulève lentement.


La queue de Kellian apparaît dans toute sa splendeur, longue et large. Romain sent le mouvement de repli de son cul. Les chaussettes, foutreuses et saliveuses, sont rejetées de part et d'autre du corps de Kellian. Celui-ci quitte le lit. - Où vas-tu ? l'interroge Romain. - Il faut que j'aille me laver. - Attends, reprend Romain qui le rejoint et le pousse contre ma garde-robe. - Qu'est-ce que tu veux encore ? demande Kellian, visiblement pressé de quitter les lieux. Romain a ouvert le meuble. La partie gauche est garnie de rayonnages supportant une série de sous-vêtements impeccablement rangés. Parmi les chaussettes, Romain se saisit d'un lot encore sous emballage. Il déchire le sachet transparent d'un geste brusque. - Laisse-moi t'essuyer, propose-t-il à Kellian dont la queue est recouverte d'un mince filet luisant. Je vais te faire connaître de nouvelles sensations.


Romain entreprend de passer sur le bel organe à la senteur sauvage de suc le coton blanc, doux et inaltéré. Kellian se remet à bander. Il s'aperçoit qu'il aime le contact avec la chaussette et les gestes experts de Romain. Le sexe de Kellian nettoyé, Romain lui tend une nouvelle chaussette et lui présente son cul. Kellian l'enfile sur sa main, isole le majeur au milieu du coton et le place au bord de l'ourlet culier de Romain. Il s'ouvre derechef et Kellian y enfonce le doigt gainé de blanc. Romain se tortille au fur et à mesure de la progression du doigt soyeux. J'en avais assez vu. Je quittais la maison avec un pincement au coeur. Comment cet amant si tendre, si sensible, avait-il osé se pervertir à ce point ? J'y voyais une trahison de ma confiance en lui et de mon amour. L'idée d'une punition expiatoire commençait à faire son chemin. J'allais trouver Jimmy, notre pote commun. - Tu connaîtrais pas quelques beurs bien gaulés et négligés ? - Crades à souhait, aux chaussettes bien faisandées, c'est ça ? - T'as tout compris. Je les attendrais devant la maison. Ce soir-là, trois jeunes beurs, avec des casquettes de base-ball et des survêtements à 800 balles, se sont dirigés vers la maison, l'allure gentiment agressive, d'une démarche à la fois glissante et sautillante, comme ils savent si bien le faire.


J'étais fasciné par leurs airs durs, arrogants et un brin malheureux. Une sueur rance imprégnait leurs survêt'. L'un avait passé ses chaussettes Nique au-dessus du pantalon, un autre avait laissé largement ouverte la fermeture éclair du bas de survêtement permettant d'avoir une vue sur des chaussettes de sport d'une couleur indéfinie, le troisième portait une paire de basket Fila ratatinée sur les côtés gauches et des chaussettes dont l'ombre de la transpiration progressait au-dessus des talons. Ils se présentèrent : Kader, Medhi et Samir. - Où qu'il est, le mec à niquer ? On a les burnes prêtes à exploser ! - Il est pas un peu dérangé, ton pote, pour aimer se faire étaler le frometon de nos chaussettes merdiques sur la tronche ? J'intervins. - Il n'aime pas trop mais ça fait partie du jeu. - Avec la trentaine de coups de queue qu'il va se prendre, il n'est pas prêt de pouvoir s'asseoir et son cul sera aussi large qu'un tunnel.


En nous voyant débarquer dans le salon, Romain resta muet. Il était trop mignon dans son short long et ses chaussettes blanches retournées sur ses mollets. J'avais une envie irrésistible de tout arrêter et de rester seul avec lui afin de le cajoler et de l'aimer à ma manière, tendrement et passionnément. - Putain, il est bien roulé, ton mec ! lança l'un des beurs. Il fait même pas gonzesse! Ils se jetèrent sur Romain sans crier gare. Ils le soulevèrent du canapé en le prenant sous les bras et par les pieds pour aller jusqu'à la chambre où ils le déposèrent sur le lit avant de lui arracher ses vêtements. Le tee-shirt se déchira et son short lui fut prestement retiré. - Des chaussettes propres ! emarquèrent unanimement les beurs. - Ca fait bien une semaine que j'ai oublié quel effet ça fait aux panards, ajouta Kader qui venait de soulever les jambes de Romain et de les replier vers son torse afin d'avoir une vue sur le trou tant désiré. Etendu sur le dos, Romain se fit enfiler par Kader alors que ses potes retiraient leurs chaussures et, se tenant debout de chaque côté du visage de Romain, lui plaquèrent leurs chaussettes fumantes et odorantes sur le nez et la bouche. Il n'avait plus la possibilité de pousser un quelconque cri de douleur pour le rude bourrage dont il faisait l'objet.


Les chaussettes des beurs collaient à ses lèvres et leur puanteur lui coupait le souffle. Puis, Samir et Medhi décollèrent une de leurs chaussettes de leur pied et s'en servirent pour se branler. Quant à Kader, sa fureur de baiser était décuplé par le spectacle. Il s'enfonçait de plus en plus profondément au fond du boyau de Romain, poussant des exclamations de victoire à chaque coup de queue qu'il jugeait le plus performant. Il hurla quand il se répandit dans le fondement de Romain tandis que Samir et Medhi souillèrent leurs chaussettes d'une giclée de foutre. Ils barbouillèrent alors la gueule de Romain, enfonçant à tour de rôle les chaussettes maculées dans sa bouche jusqu'à l'éssouffler.


Romain s'évertuait tant qu'il pouvait pour les satisfaire. Puis Samir vint se placer face au trou de Romain alors que Medhi retirait ses baskets pourries pour les coller sur le nez de Romain. Cela suffit pour que la queue de Samir reprit une nouvelle vigueur capable de forer un cul encore largement béant. - C'est pas possible, il se fait tringler comme une femelle ! lança Samir. - Et il sniffe la daube de nos chaussettes comme un affamé de calendos ! ajouta Kader. Les trois beurs se succédèrent ainsi une grande partie de la soirée. Bite au cul ou dans la bouche, chaussettes dans la gueule, semelles de baskets sur les narines, Romain était devenu un jouet entre leurs mains.