Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Liberix 1
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Cool la fin fevrier on se les caille pas au bois de Boulogne en short (XS moulant) pour exciter les mecs. Et ça mord. Le Black me suit puis me passe devant pour tracer le chemin dans le bois. Au milieu du sous bois il s'adosse à un arbre, descend le zip, et sort sa queue. "Mets à toi genoux et suce !"


La teub circoncise est courte mais hyper large tellement que j'ai du mal à me la prendre entière dans la bouche. Penché sur moi il appuie sur ma nuque pour que je ma la prenne aux maximun et c'est lui qui donne le mouvement du va et vient avec tellement de puissance que j'ai du mal à suivre et ai l'impression d'éssouffler. "Bon lève-toi maintenant !" Il me retourne, pelote mes fesses et descend mon short jusqu'aux pieds. "Vire-le !" Je m'en débarrasse, il le récupère et le glisse dans la poche de son blouson. "Je te le rendrais si t'es une bonne lopsa!" Il me ramène sur lui pour me caler à califourchon sur sa cuisse et la faire glisser entre mon cul en me tenant par les hanches. Ses mains redescendent sur mes fesses, il me paluche comme un malade, pour varier il me touche les miches avec ses poings.


"T'aimes ça hein ! putain. Réponds ? Dis que t'es ma salope ! Allez dis-le ! ""Je suis ta salope, oui je suis ta salope fais ce que tu veux ""OK allonge-toi par terre" J'ai pas le temps d'hésiter qu'il ma' couché sur le tapis de feuilles mortes et de terre. Ses 2 genoux bloquent mes cuisses. Il remonte mon Bombers pour dégager le dos. Je sens la terre humide et les feuilles mortes sur ma bite, sur mes cuisses, sur mon ventre. "T'as une capote ?" "oui dans la poche du blouson" Il passe une main, en prend une plus le tube de gel. Un instant de répit le temps qu'il mette la capote.


Mais décidément il aime toucher les miches car il recommence puis remonte encore plus mon bombers et me passe ses mains sous le corps pour remonter vers les pecs et me travailler les seins. "T'es musclé ptite petasse, hein, t'aimes que je te fasse mal, Vas y dis que t'aimes ça" "Oh ! oui vas-y, défonce-moi" "C'est ça je vais te casser le cul". Il m'écarte les cuisses, me badigeonne la rondelle de gel et s'écrase sur moi de tout son poids avant de me pénétrer après avoir ouvert le passage de 2 doigts. Il va me défoncer pendant 10 bonnes minutes de va et vient avant de se retirer subitement. Toujours en me bloquant les cuisses il me fait passer mon blouson au-dessus de la tête. Je ne vois plus rien. "T'inquiètes ! " Il se redresse et m'ordonne de rester couché.


Debout il écarte mes cuisses de ses pieds. Je le sens au-dessus de moi."Bouge plus lopsa. Je vais te juter dessus" Et je sens les giclées de sperme sur mes fesses et mon dos qui dégoulinent froides. A ce moment il parle à un autre type qui a du se rapprocher . "Si tu veux te la faire tu me suce. Sinon tu dégages. Je l'ai bien chauffé et en plus tu peux la péta c'est une vraie bonne salope". Le marché est conclu. Comme pour mieux présenter la marchandise le Black s'accroupit devant moi, se penche et me saisit les fesses en disant à l'autre : "vas-y baise le !". J'entends le frôlement des feuilles, le mec qui s'agenouille, qui me saisit à la taille, me met à 4 pattes et s'enfonce en moi.


Et là je gueule ... C'est pas possible un pieu pareil. Ses mains griffent mon dos. Mais c'est top bon et je jouis. Le black accroupi devant moi tire le blouson et je suis à poils entre eux deux. L'autre mec est bien un maghrébin d'environ 25/30 ans. Tout en me défonçant lui aussi m'assène des coups de poings sur les miches. Le black accroupi se branle au niveau de mon visage, le regard fixe sur le type qui me tranche méthodiquement. Celui-ci va jouir assez vite et me repousser à terre après s'être retiré de mon cul.


Le Black toujours accroupi ordonne: regarde moi Et c'est le moment qu'il choisit pour me gicler dessus. Il récupère le short dans sa poche s'essuie la bite et me le balance. Je me relève, m'essuie les dégoulinades de sperme sur ma tronche. Mais je n'ai pas le temps de réaliser qu'il me balaye les jambes et je me retrouve le nez dans les feuilles. "Bouge pas. C'est pas fini. Vla 2 potes !" "Eh cousins une petite petasse ça vous dit !" ... mais là c'est une autre histoire.