Histoires de sexe

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Ca caille les rats 6
Histoire gay publiée le 11/04/2007
Quelque temps après cette dernière aventure, Hafid, mon toujours beau voisin, dont je commençais à me sentir vraiment amoureux grâce à tout ce qu'il me faisait subir, Il est venu me trouver un soir. " J'ai besoin de toi ce soir car je reçois quelqu'un à dîner et je veux que tu sois de la partie. Tenue imposée : djellaba sans rien dessous, je t'en ai apporté une Comme d'habitude, je n'avais pas le choix mais le simple fait d'être près de Hafid me faisait supporter avec plaisir ses ordres.


Une heure après environ, comme il me l'avait demandé, j'ai sonné chez lui. Il était seul, assis sur le canapé, habillé d'un jean noir et d'une chemise blanche, aux pieds des baskets rouges. Beau ! Il m'a demandé de lui servir un martini et d'une main a vérifié que j'étais bien nu sous la djellaba en m'attrapant la queue fermement à travers le tissu. Il m'a indiqué sommairement ce que je devais faire pour la table et le comportement soumis que je devais avoir avec lui et son invité. Puis il m'a demandé de rester assis par terre.


Dix minutes après, on sonne à la porte. Je vais ouvrir, devant moi, se tient un jeune mec, qui avait 19 ans, blond, très beau de visage, assez grand environ 1m85 et apparemment bien proportionné. Il est vêtu d'une chemise en jean et d'un pantalon beige. Je me penche, le laissant passer devant moi avec un " Bonjour, monsieur " de vrai larbin. Il semble très étonné et cherche du regard Hafid, sans doute pour se rassurer. Celui-ci se lève alors et vient vers le mec, l'embrasse sur les lèvres et l'invite à entrer et à s'asseoir sur le canapé.


Je me suis adressé à l'invité . Monsieur désire-t-il quelque chose à avaler? Sa voix est douce et presque féminine quand il me répond, en hésitant un peu " La même chose qu'Hafid s'il vous plaît " J'ai servi le verre pour Frédéric (c'était le prénom du jeune mec) et suit retourné m'asseoir Les deux autres commençaient à se caresser et à s'embrasser Frédéric me jetait de temps et temps des regards qui montraient sa gène probable à se laisser aller devant moi. J'aurais pour ma part tant voulu être à sa place, embrassant Hafid dont je connaissais plus la puissance de sa queue quand elle me pénétrait que le goût de ses lèvres. Pourtant je craquais complètement sur lui, acceptant à l'avance tout ce qu'il pouvait me demander ; au fond de moi, j'étais sûr que ce qu'il ressentait pour moi, quelle que soit la manière dont il l'exprimait, sa rudesse, son mépris apparent, était également de l'amour ; la suite m'a prouvé que je ne me trompais pas.


Frédéric s'était enhardi et avait déjà relevé la chemise de Hafid et il caressait son torse. D'un coup hafid me dit. Viens et déshabille-le ". Je me suis approché de Frédéric qui s'est laissé aller en arrière sur le canapé et j'ai commencé à lui retirer ses pompes, puis son pantalon pour lequel il a dû ses soulever un peu puis sa chemise. Il s'est retrouvé en chaussettes et caleçon sur le canapé, près de Hafid dont seule la chemise était soulevée. " Continue, tu sais comment ! " Ma lancé Hafid. Je me suis accroupi vers les pieds de Frédéric et lui ai ôté ses chaussettes ensuite je me mettais a lécher les pieds du mec, entre les orteils. Hafid m'avait appris çà, il y avait déjà longtemps !


Frédéric était du genre clean, ses pieds ne puaient presque pas, juste une odeur de mec ayant un peu sué les dernières heures. " Le reste, maintenant " Ecoutant l'ordre de Hafid, j'ai remonté mes mains vers le caleçon et l'ai descendu. La bite de Frédéric est apparue, une queue moyenne, bien tendue je l'ai mise dans ma bouche tout de suite, sachant que c'est ce que voulait Hafid. Frédéric continuait d'embrasser Hafid à pleine bouche pendant ce temps et de lui caresser le torse. Je voyais le buste du mec que j'aimais, caressé par d'autres mains, je voyais ses tétons se tendre, excités par d'autres doigts. Je savais que sa bite devait être tendue dans son jean et je n'attendais qu'une chose, qu'il me demande de le désaper à son tour. Mais justement, il m'a refusé ça !


" Casse-toi maintenant " J'ai donc laché la bite de Frédéric qui commençait à bien durcir dans ma bouche. C'est à son jeune blond qu'Hafid a demandé de le déshabiller, il lui a enlevé la chemise et le jean . Hafid a fait lui-même glisser son slip à ses pieds. Comme prévu, sa queue était dressée au maximum et je ne pensais qu'au bonheur de me la prendre dans le cul. Mais je savais aussi que ce ne serait pas pour moi, du moins pas tout de suite. " Viens le préparer " Je me suis approché de Frédéric qui s'était de lui-même installé à quatre pattes sur le canapé et poussé par la main solide de Hafid, j'ai dû lécher l'anus de Frédéric, la rosette et l'intérieur dans lequel je risquais un doigt puis deux, pour que la bite d'Hafid puisse s'y glisser dans les meilleures conditions. " Casse-toi " Dès que je me suis poussé,


Hafid s'est placé derrière le cul ouvert et cambré de Frédéric et a commencé à pousser son gland dans le cul de l'autre ; je pense que c'était loin d'être la première fois que le petit blond se faisait défoncer le fion car ç'est rentré plutôt facile. J'étais fou de désir, j'aurais tant voulu que ce soit mon anus qui se dilate sous les coups de boutoir de Hafid. Au lieu de çà, Hafid m'a ordonné de sucer la bite de Frédéric pendant ce temps. Ensuite, il s'est retiré du cul du jeune blond (sans avoir joui) " Tu veux le baiser ?" a-t-il demandé à Frédéric. " Pourquoi pas, mais en général je suis plutôt passif, tu sais "


" C'est pas grave, je vais tellement lui dilater le fion que tu pourras rentrer même si tu bandes qu'à moitié ! " Mets toi en position " m'a dit Hafid ; trop content, je me suis mis à quatre pattes par terre, ma djellaba relevée sur le haut du corps. Ils étaient tous les deux derrière moi, à m'examiner, quand j'ai senti un doigt qui entrait dans mon rectum. J'étais tellement excité qu'il est entré sans aucune peine ; je ne sais pas lequel des deux, ou bien les deux, mais peu à peu ce furent plusieurs doigts qui forcèrent mon cul ; ils tournaient à l'intérieur, les écartant, essayant toujours d'en fourrer un de plus. " Regarde le cul de jument que çà lui fait " dit Hafid " Mais on peut encore l'élargir encore, il a déjà eu 7 doigts ensemble dans le cul,


" Une bonne partie de la nuit, ils ont joué avec moi, me baisant et me rebaisant, avec leurs queues Hafid est venu murmurer à mon oreille ces mots que j'espérais. " C'est parce que je t'aime que je te fais subir çà ; je sais que toi aussi, ça te plaît ; ce petit con, il t'arrive pas à la cheville, après mettre fais niquer toute la nuit hafid et Frédéric m'ont jouie sur tout le corps c'était trop bon y en avait plein partout puis quand Frédéric est parti, au petit matin, cette fois Hafid ne m'a pas viré. Il m'a gardé auprès de lui, dans son lit,. Au réveil, il a de nouveau voulu me sauter, plutôt avec tendresse, mais il n'a pu s'empêcher, alors qu'il savait combien me faisaient mal mes fesses, de me donner quelques bonnes claques bien appuyées et de les malaxer fortement. Amour vache..... !