Histoires de sexe
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Bois de Boulogne 2
Histoire gay publiée le 10/04/2007
On se met face à lui et nous le matons écute; sa gêne. Il se relève, lâche l'affaire et commence à se justifier parceque mon bon pote lascard était en train de é;ter sa bonne vache.
On se marre, se fout de sa face mais en final on finit par rigoler et rentrer dans la éte;.
Putain, il y a plus de RER sa mère, et maintenant obligation de éte;rer sur ce putain de quai.
Brahim s'est remis de ses émotions et nous propose de é;dave une dernière crotte qui lui reste au fond de la poche de son 501.
OCB dans une main, boulette dans l'autre on tape la discute et on revient sur les "exploits" de Brahim.
Mon autre pote Mohammed lui comprend pas qu'un gars puisse se é;ta une bite dans la bouche. Moi à éte; j'écoute sans trop é;agir juste à rigoler des vannes de Momo.
Il est terrible ce gars; capable de donner des leçons, mais surtout faites ce que je dis mais pas ce que je fais. Genre redresseur de tort à la petite semaine.
Brahim nous explique que c'était la première fois mais que quelque part c'était bien kiffant. Il se retourne vers moi et me demande si moi j'avais é;jà connu ça.
éute;ment le gars il me demande si j'ai é;jà é;pom! Comme ça sur le quai de ce putain de RER. Trop fort la question à la Foucault dans qui veut gagner des millions. J'ai droit à un joker?
Et puis ziva, je me lâche et lui é;ponds en le fixant au plus profond de ses é;tines que ouais ça l'avait é;jà fait mais c'était moins crade. pas les genoux dans la gadoue plutôt sur un pieu. J'étais pas comme une chienne à pomper, et d'abord c'est pas moi qui est éute; le plus mais le gars qui était là.
Oui, c'est bien le tramblan de se faire é;cher la tige par un autre gars. Quand le keum s'y prends bien et qu'il te transforme pas ta queue en salade de éacute;s, c'est le pied!
Mohamed, je l'ai éacute; sur place avec ma é;ponse, genre é;ponse plus forte que son aya. Il va comater des heures, je l'ai écute;! Il croyait jamais ça possible, que moi son pote, celui avec qui il a grandit, celui avec qui il a éacute; les premiers é;lires...
Brahim lui par contre se sent quelque part éacute;. Il n'est plus tout seul.......
On se marre, se fout de sa face mais en final on finit par rigoler et rentrer dans la éte;.
Putain, il y a plus de RER sa mère, et maintenant obligation de éte;rer sur ce putain de quai.
Brahim s'est remis de ses émotions et nous propose de é;dave une dernière crotte qui lui reste au fond de la poche de son 501.
OCB dans une main, boulette dans l'autre on tape la discute et on revient sur les "exploits" de Brahim.
Mon autre pote Mohammed lui comprend pas qu'un gars puisse se é;ta une bite dans la bouche. Moi à éte; j'écoute sans trop é;agir juste à rigoler des vannes de Momo.
Il est terrible ce gars; capable de donner des leçons, mais surtout faites ce que je dis mais pas ce que je fais. Genre redresseur de tort à la petite semaine.
Brahim nous explique que c'était la première fois mais que quelque part c'était bien kiffant. Il se retourne vers moi et me demande si moi j'avais é;jà connu ça.
éute;ment le gars il me demande si j'ai é;jà é;pom! Comme ça sur le quai de ce putain de RER. Trop fort la question à la Foucault dans qui veut gagner des millions. J'ai droit à un joker?
Et puis ziva, je me lâche et lui é;ponds en le fixant au plus profond de ses é;tines que ouais ça l'avait é;jà fait mais c'était moins crade. pas les genoux dans la gadoue plutôt sur un pieu. J'étais pas comme une chienne à pomper, et d'abord c'est pas moi qui est éute; le plus mais le gars qui était là.
Oui, c'est bien le tramblan de se faire é;cher la tige par un autre gars. Quand le keum s'y prends bien et qu'il te transforme pas ta queue en salade de éacute;s, c'est le pied!
Mohamed, je l'ai éacute; sur place avec ma é;ponse, genre é;ponse plus forte que son aya. Il va comater des heures, je l'ai écute;! Il croyait jamais ça possible, que moi son pote, celui avec qui il a grandit, celui avec qui il a éacute; les premiers é;lires...
Brahim lui par contre se sent quelque part éacute;. Il n'est plus tout seul.......
