Histoires de sexe

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Skarlaone à Marseille
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Je descends les marches de la gare St Charles et me dirige vers la canebière d'un pas tranquille. Trop fort, je croise un gars que je n'avais pas revu depuis au moins un an. On s'embrasse et é;cidons d'aller prendre un verre à l'OM éte; sur le vieux port. Pas de place en terrasse, nous sommes écute;s d'entrer à l'éte;rieur.
Il est dans cette ville depuis un an pour travailler comme chauffeur livreur. Il a vraiment l'air en forme, et quant je lui parle, je ne peux m'empêcher de bander, de l'imaginer nu devant moi. J'ai du mal à écouter ce qu'il me raconte tellement le é;sir envahit ma tête. Il doit retourner taffer et me propose que l'on passe la éute;e ensemble. Ok no problèmes, on se voit ce soir 20 heures devant la mairie. D'ici là j'ai le temps d'aller m'amuser et de revoir les endroits qui me font bien kiffer. Le premier d'entre eux se trouve rue Moustier en allant vers la place Castellane, c'est l'Entrepot.


Grand, immense lieu de é;bauche avec musique techno à tous les étages. Le seul hic, et il est de taille; Ils ne vendent pas d' car ils n'ont pas la licence. Mais no soucis, je blinde mes poches de deux bières que je boirais tranquillement à l'éte;rieur. Il n'y a pas grand monde à cette heure-ci de la écute;e, mais tant pis, je vais rester au moins une heure, on verra bien si quelqu'un me branche.

Je m'installe dans une cabine te ma laisse porter par la musique. Personne ne passe devant ma cabine, je trouve cela écute;tant. Je bois tranquille ma bière quant une ombre passe. Je n'ai pas eu bien le temps de regarder qui c'était. je me lève te cherche dans le couloir l'ombre qui a écute; mon esprit. Cet endroit est un é;ritable labyrinthe avec pleins de couloirs et de petites salles. J'ai du mal à m'y éte;rer. La voilà mon ombre, seule devant une é;lé à mater un film de boules. Je croise ses yeux, il croise les miens et devine que je suis éte;ressé par lui. Mais il me la joue grande star, fais semblant de ne pas comprendre mes intentions et continue à se divertir la é;tine devant son film.

Tel un aigle, je commence à tourner autour de sa cabine en attendant le moment propice pour lui foncer dessus. Mais la bête est coriace et fuyante, il ferme sa porte en laissant quant même une petite ouverture. é;sormais pour le voir, il me faut rentrer dans son antre. Ce que je fais presque éte;diatement. Tant pis si je me mange un râteau.

Je pousse sa porte et le é;couvre à quatre pattes le fion bien en évidence, prêt à se faire mettre. Je claque la porte et ferme le verrou puis me baisse pour commencer à lui toucher la chatte. Elle est bien ouverte et semble éute;cier mes doigts qui font des petites incursions dedans et aux alentours. Je me relève et lui intime l'ordre de commencer à me sucer le dard.

J'ouvre mon jeans et le laisse commencer par saliver sur mon slip. Avec ses mains il baisse mon slip et commence une pipe royale sur mon gland qui grossit aussi rapidement que ses coups de langue. Il sait y faire, le salaud! Il sert ma verge à la base pour encore plus la faire gonfler. Il passe te repasse sa langue sur mes boules, les aspire en sentant qu'elles sont bien pleines. Pendant ce temps je lui fais les seins. Je n'aime pas son torse, il y a trop de poils mais ce n'est pas grave car son cul sauve l'affaire.

Je lui dis de se remettre à quatre pattes et de me montrer sa rosette. Il se doigte devant moi, et je ne mets pas longtemps pour foutre une capote et m'enfoncer en lui. D'abord et doucement je lui met le gland puis me retire en regardant son anus me faire de l'œil. Il s'ouvre, se ferme me demandant d'y retourner. D'un coup sec, je rentre entièrement ma bitte dans son petit cul, et lui arrache un hurlement de plaisir. Aussi rapidement que je suis écute;, je me retire toujours en regardant sa chatte me faire de l'œil. Il a un cul d'enfer, bien ouvert, prêt à se faire ramoner des heures. Mais d'abord je veut qu'il continue à me sucer en restant à quatre pattes.

Je veux jouer avec lui, le tartiner de vice et après de foutre. Pendant qu'il me pompe, je lui met des petites claques sur les joues et le puissance à avaler en entière ma tige. J'ai grave envie de le gaver, qu'il sente ma teube au fond de sa gorge, qu'il s'explose les mâchoires sur mon terrible engin. Je n'arrête pas d'essayer d'aller toujours plus éeacute;ment dans sa gueule. Il semble par moments s'étouffer et des larmes coulent sur son visage. Il me regarde dans les yeux et m'en demande encore et toujours plus. C'est un vrai soumis, de ceux qui aiment qu'on les mate, de la race des vrais lopsa. Son corps crie le vice et la é;bauche. Il est accroupi devant moi et fais excellemment bien sa chienne. Il se met à terre pour me é;cher les skets et j'en profite pour lui pisser quelques gouttes d'urine bien chaude sur son dos. Je bande et je pisse éément, c'est trop fort, trop bon. Mais je ne veut pas rester des heures dans cet endroit alors je lui ordonne de me donner ses fesses pour que je me finisse. Je lui é;fonce éute;ralement la chatte et plus il crie, plus j'enfonce mon pieu.

Je m'enlève au dernier moment, retire ma capote et lui crache sur la gueule en étalant mon foutre sur lui avec ma main. Il me souri me remercie et reprend sa place à quatre pattes, attendant un nouveau enculeur.

Je me barre de l'entrepot et é;cide d'aller faire un tour en bord de mer. Je chope un taxi et lui demande de m'emmener au Mont Rose à la limite de la ville près des magnifiques calanques, sur la route de Cassis.