Histoires de sexe

Histoires de sexe écrites par des clients

Ibiza
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Allongé sur mon lit d’hôtel. Petite chambre, coin douche avec un filet d’eau chaude, juste ce qu’il faut pour me laver le sboub.

Les volets sont fermés, je mate le plafond blanc en essayant de m’endormir. Ce qui arrive n’est que le fruit de mon imagination, puisque c’est un rêve.
J’étais sur une route, seul, et je marchais jusqu'à la prochaine ville. Je m’arrêtais au premier hôtel du coin et réservait une chambre pour le soir même.
Le réceptionniste était un jeune d’une vingtaine d’années, avec un jeans moulant qui ne cachait rien de son anatomie. Il me loue sa piole et me promet un service irréprochable, au plus près du moindres désirs de ses clients. Texto il m’a dit cette phrase. Normal dans un palace mais cet hôtel n’était pas du genre à afficher le mot palace sur sa porte.

Je le remercie de tant de servitude et monte dans la chambre.Une petite vue sympa avec le réceptionniste en son centre.J’avais à peine eu le temps de monter qu’il était là sur la place, le regard dans ma direction.

J’ai pas prêté attention mais une seconde après j’entendais frapper à la porte. J’ouvre et qui je vois ? Le réceptionniste ! je laisse la porte ouverte et me dirige rapidement vers la fenêtre pour voir si je n’ai pas déliré. Mais non !
L’autre maintenant se dirigeait avec affirmation vers l’entrée.

Celui qui est dans la piole s’appelle Antonio. Magnifique bête Hispanique galbé comme un taureau. Massif, des épaules de boxeur. Pas inquiétant mais impressionnant.
Il me répète qu’il est là pour assouvir le moindre de mes désirs.
Derrière lui se dessine l’ombre de son sosie. Je découvre qu ‘ils sont jumeaux, parfaitement troublant de mimétismes.

D’accord, puisqu’ils sont là, autant qu’ils me contente.
Je me retrouve à la vitesse grand V sur les genoux, une queue sorti de la braguette du jeans et qui enfle dans ma bouche. L’autre se place lui aussi à la vitesse de la lumière derrière mon cul.

Je me dis que ça va être ma fête, j’espère juste réussir à choper ma bouteille de poppers au fond de ma poche.

La suite de mon rêve m’emmène dans des bouffages de bitte absolument mémorable. L’un me broutait le fion pendant que l’autre s’activait sur ma tige dans un 69 qui me permettait de lui rendre la pareille. Mutuellement nous nous dévorions. Nos bouches astiquaient avec puissance et conviction. Leur queues étaient identiques, même longueur et diamètre. Nous échangions de position toujours à la vitesse de l’éclair. L’un me mangeait la bouche pendant que l’autre continuait à me faire les fesses de sa bouche.

Il commençait maintenant à me mettre un doigt. Antonio lui m’embrassait et aspirait mes gémissements.

Je sentais rapidement le gland de son frère se présenter devant mon orifice. D’un coup d’un seul il me transperça et arracha de ma bouche un cri de douleur. Antonio continuait à m’embrasser mais désormais il me crachait à l’intérieur de la bouche une salive chaude et claire. Ils me tenaient sans ité mais avec affirmation. Je vivais ce que j’aime faire vivre à tous ces gars passif que je croise sur mon chemin.

Le frangin d’Antonio me labourait complètement le fion, sans retenues aucunes. Il m’avait levé les jambes à l’horizontale pour mieux et plus profondément me transpercer. L’autre me tenait les bras ce qui donnait l’impression de flotter, simplement amarré à deux énormes bittes.

Je criais mais on ne pouvait pas m’entendre au dehors. Livré à eux, j’étais leur chose, leur objet. Une situation insolite mais quelque part agréable.
Puis il m’ont allongé sur le lit et ont essayé de me faire rentrer leur deux pines dans la bouche en me tenant les bras. Ma bouche avait beau être bien conçue, je ne pouvais avaler pareil diamètre. Je les léchais donc à tour de rôle jusqu'à ce qu’ils jouissent sur mon visage, déversant leur fond de couilles sur mes joues, dans mon cou.

J’entends la cloche de l’église du village sonner cinq heures. Elle me réveille, les draps sont blanchis par mon foutre et ma queue bande encore de jouissance.
Je me suis levé et dirigé dans la douche me laver le sboub.
Encore deux cents kilomètres et je serais à Ibiza ; Où bien ailleurs. Qui sait ?