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Trop mortel sa Mamy
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Mais Djamel n'est pas chez lui. Alors je fonce tout droit chez un autre de mes potes Hamid - un pote d'école avec qui je traîne souvent dans le quartier, je sonne à l'interphone et il me répond. J'arrive chez lui et comme d'hab il est sur le net sur un forum de rencontre … je prépare le joint et nous voilà tous les deux partis sur le net à la recherche d'un bogosse bien och et surtout lopsa pour que nous puissions soulager notre envie de nous vider les couilles.
15 minutes plus tard nous tombons sur un gars qui cherche plusieurs mecs, de préférence beurs et très bien montés pour se faire troncher le trou d'balle. On le branche pour qu'il vienne chez nous. Enfin chez nous, plutôt dans les caves de notre cité. Il est apparemment très och du fion et motivé pour passer un bon moment avec nous. Il nous remet son tél et demande qu'on l'appelle tout de suite.
A ce moment-là rentre dans la pièce Karim notre pote des soirées bien enfumées… On se tape la main en lui racontant notre trouvaille sur internet. Il a l'air bien emballé par notre plan et se propose d'appeler d'autres potes en renfort. Lui son kiffe c'est les plans à plusieurs genre tournante. Chiche, la lopsa, quand elle va venir, ne va pas regretter son déplacement. On se marre en pensant à tout ça et l'on prépare notre plan …

On lui téléphone et sa voix nous indique sa forte motivation de se faire serrer le cul. Il cherche un plan abattage et nous on va lui donner ce qu'il veut. Il connaît notre cité et nous dit qu'il sera là dans moins d'une heure. Rendez-vous pris devant le bâtiment F. Il nous dit qu'on le reconnaîtra et qu'il aura une Clio de couleur rouge immatriculée dans le 93.

En attendant notre petite lospsa on boit un sky, fume un pétard et l'on se tape un jeu de baston sur la Dreamcast pendant que Karim appelle quelques potes dont Salim surnommé dans la citée le démonte pneu.
La Clio arrive et va se garer sur le parking. On voit un gars descendre, pas trop moche mais pas non plus une bombe. De toute façon, on lui demande pas d'être un gossebo, juste une bonne lopsa. Il nous dit salut et tout de suite on l'invite à nous suivre dans la cage d'escalier.

Les couloirs immenses paraissent sans fin, mais on a vite fait de le pousser dans une de nos caves aménagées. Pour l'instant on est deux car Karim est allé chercher ses potes de l'autre coté de la cité. Je commence par lui demander de se mettre à genoux et de nous lécher le survêt. Il le fait et nous sentons, mon pote et moi, qu'il a un peu peur de la situation qu'il vit. Ses mains tremblent en saisissant nos cuisses, mais je suis sûr qu'il va vite finir par se sentir à l'aise une fois qu'on lui aura donné de quoi sucer.

Il voulait de l'abattage, il va être servi, c'est une tournante qu'on lui prépare. Pendant qu'il chauffe sa langue sur nos paquets, je demande à Ahmid d'aller voir dans le couloir si les autres arrivent. Notre lopsa commence à se rincer la gueule à coup de poppers pour mieux se dilater le fion. Je le laisse faire, préférant le savoir demandeur que enculé. On n'est pas des bêtes, quand même !

Et voilà les autres qui arrivent. Ils sont quatre, plus nous deux, cela fait six. Notre lopsa commence à mouiller puis soudain il se lève et Hamid lui dit "reste à genoux et pour l'instant contente-toi d'ouvrir la bouche et de pépon mes potes, ok sale petasse".

Ils sont là les pires de la bande, ceux qui ne voient dans les mecs qu'un trou à combler, qu'un trou pour gicler. Et notamment Salim. D'ailleurs il commence tout de suite par se faire remarquer en baissant son survêt et laissant apparaître une très grosse queue raide et bien circoncise.
D'un coup sans prévenir personne il commence à pisser un bon jet en visant notre lopsa et en la mouillant presque entièrement. Il se laisse faire et semble bien apprécier le jet chaud de notre pote. Ça donne des idées aux autres qui eux aussi commencent à cracher leur urine sur la face du keum. Il se retrouve trempé et gémit de plus en plus fort. On s'essuie la queue sur sa gueule et Salim commence à lui lever le croupion pour le chevaucher sans lui demander son reste.

D'un seul coup, il s'enfonce dans ses entrailles en lui soulevant les jambes. De rapides va-et-vient ponctués par des râles me poussent à lui donner ma teub à manger. Kader à côté de moi me tend ses lèvres pour que je lui roule une pelle pendant que notre lopsa s'occupe de nos sexes.
Putain elle suce trop bien ! Un vrai régal. Trop mortel sa Mamy.

La tournante se met en place et Salim se retire de son trou pour se finir dans sa face pendant qu'à tour de rôle nous l'enculons sans retenue. On le retourne sans arrêt pour son plus grand plaisir et le notre bien sûr ! Il crache sans même se branler, mais nous on s'en fout, on continue à le baiser dans tous les sens.

Il sniffe sans arrêt sa bouteille de poppers et ses lèvres deviennent baiseettes mais sont toujours aussi endurantes. Plus il crie, plus nous nous excitons sur son trou et sa bouche, éssoufflant ses gémissements par des allers-retours successifs.

Salim nous demande de nous pousser pour lui offrir sa chatte-à-beurs. Notre chienne s'exécute avec délectation et se met à lui brouter le fion presque imberbe. Je ne rate pas une miette de ce spectacle et écarte même les fesses de mon pote pour qu'il sente bien la langue lui pénétrer les seuff. Salim kiffe et je le soupçonne de s'être déjà fait tirer par des gars de notre cité ...

J'ai la teub qui est prête à exploser mais je me retiens car ce n'est pas tous les jours que l'on trouve une lopsa pareille. Y'a pas à dire, les meufs sont moins chaudes et sucent moins bien ! Pour le love c'est plus simple (quoique ...). Mais pour la baise, vaut mieux se tirer un gars, c'est plus simple et pratique. Pas de honte, pas de gêne, moi je vous dis ce que je pense et je ne suis pas le seul à croire cette intime vérité. Les meufs sont souvent trop compliquées et elles ne sucent pas toujours.

Je me rends compte que l'heure tourne. Déjà 2 heures qu'on s'occupe de cette salope et comme j'ai rencard avec ma meuf, je lâche l'affaire en lui crachant ma sève sur le fion. Je les laisse ensemble et me rhabille pour me barrer au plus vite sous peine de me faire prendre la tête par ma meuf. Promis un jour ou l'autre je branche Salim en face à face. Il m'a fait triper ce connard.

J'allume mon bédo et remonte au rez-de-chaussée. Oh putain, je croise ma tante qui rentre du supermarché, retour à la réalité, triste réalité. Je l'aide à porter ses courses et rejoins ma meuf juste après.