Histoires de sexe

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Joli gibier
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Je me fringue tranquille genre bogosse un peu frimeur (Eden park en puissance !) et prends la voiture pour aller chercher une copine qui accepte de devenir l’espace d’une soirée un parfait et crédible alibi. Elle est en forme et resplendit dans sa robe qui ressemble plus à une nuisette. Maquillée juste ce qu’il faut elle dégage un sex-appeal d’enfer.

Je la regarde et me dis que la soirée promet d’être intéressante et jouissive. On embarque pour "le torpédo", à cinq cents mètres de la caserne. Une grande surface à drague. Les mecs sont tous sur leur trente et un et pavanent comme des paons devant des jeunes femmes qui se pâment d’un plaisir tout calculé ou pour certaines empreintes d’une naïveté de pucelle.

Le ballet me fait délirer. Je suis comme un aigle qui scrute et attend sagement son tour ou la proie idéalement goûteuse. Il ne tarda pas à se montrer en dansant devant le regard de mon amie et le mien sur « Music » de Madonna. Mon amie paraissait enthousiaste à l’idée de partager ce joli gibier. Nous sommes allés sur la piste de danse pour approcher de plus près ce jeune danseur aux yeux coquins.

Audrey s’est rapproché de lui se laissant presque sans gêne effleurer. Elle se retournait et le regardait droit dans les yeux rendant avec les lumières son regard presque tique. Je me rapproche aussitôt pour me retrouver derrière lui et mater "ses références".

Beau cul qui mange la couture centrale du jean et promet des enfournements dignes d’un boulanger. En parlant avec Audrey il accepte de sortir de la boîte pour aller sur le parking. Elle me fait signe de me joindre à eux. Après s'être brièvement présentés nous sommes allés dans la voiture pour nous mettre à l’aise. Les dossiers baissés nous avons commencé doucement, comme avec pudeur, par nous caresser. Ses caresses allaient aussi bien à Audrey qu’à moi.

Il dégrafait la robe pendant que je commençais à mettre ma langue sur la chatte d’Audrey. Je la trouvais tellement en beauté ce soir que je ne me voyais pas l’honorer en seconde. Je m’appliquais à être le plus doux possible, la sachant friande de tendresse. Notre hôte pendant ce temps-là commençait à me toucher le paquet.

J’enlevais mon pantalon et laissais sortir ma pine. Il fit de même et révéla une pine monstrueuse. Audrey s’est ruée dessus et à commencer à lui faire le gland pendant que je m’occupais de ses couilles bien chargées.

Prise d’initiative subite, Audrey leva complètement sa route et s’empala sans crier gare sur ce pieu. Je matais ses couilles rebondir contre sa vulve, je lui écartais les jambes pour mieux mater ce spectacle pendant que je me branlais.

Lui n’a pas supporté longtemps les va-et-vient et c’est rapidement qu’il cracha dans la capote à l’intérieur d’Audrey. Je m’arrêtais aussi net pour ne pas jouir. Audrey se releva et commença une toilette digne d’une jolie chatte pour ressortir comme neuve de la voiture.

Le bidasse, déçu d’avoir libéré si vite ses envies, s’excuse.
« Nous ne restons pas sur une rencontre désagréable, juste un peu courte » lui répondis-je. J’ai rejoint Audrey qui nous avait devancés sur la piste et nous sommes repartis à la chasse.