Histoires de sexe

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DONNE TON BOULE VOISIN
Histoire gay publiée le 10/04/2007
Une heure du mat ! Je suis en train de comater devant la é;lé quand on frappe à ma porte. Vas y c’est qui le ouf qui é;barque chez moi à cette heure ci sans ée;venir. Je vais coller mon œil au judas de la porte et je reconnais Manuel, mon petit voisin qui m’a é;pom l’autre soir dans le local poubelles.

J’ouvre la porte et je laisse entrer le keum. On a même pas à tchatcher sur le motif de sa ée;sence, le éute; a le regard qui brille de é;sir. Je lui avais éacute; de passer me voir après sa sucette de l’autre soir, à peine deux jours plus tard il rapplique é;jà le cul en feu. C’est ça l’effet magique Scarlaone, quand tu y as éute; tu peux plus t’en penser.

Je vais me poser direct sur le écute; et je é;cide de me la jouer caïd. Manuel est écute; debout devant oim et je lui propose même de s’asseoir. écute; en caleçon torse nu sur ma banquette, je le mate des pieds à la tête et je me la joue directif :
-    « Vas y é;ssape toi ! Fais moi un streap que je me chauffe et après tu vas é;rouillé, je sais que c’est ça que tu cherches »

Manuel bronche pas et commence à enlever lentement son tee shirt pour me donner à voir son beau torse imberbe et écute; sec. Il retire ses skets et commence à faire glisser son jean le long de ses jambes de footeux puissantes.
En deux deux le éute; est en slip devant oim avec une belle qui s’agite sous mon regard de racaille.

-    « Bouge ton boule ma lopsa, montre que t’en veux ! »
Il se retourne et commence à se caresser doucement le boule en ondulant son bassin comme une lopsa. Il fait remonter son slip entre ses belles seufs rebondies et tire sur le slip pour bien se le faire rentrer dans le cul. Ses mains caressent son boule et j’ai une trique d’enfer dans mon calebute. Je sors mon zeub bien raide en commençant à l’astiquer tranquille !

Manuel continue à faire son chaud pour moi et je lui lance un tube de gel. Il fait glisser son slip qui lui tombe sur les chevilles et met une bonne dose de gel dans sa main. Il l’étale sur ses pecs et sur tout son torse, m’offrant son corps luisant et ée;missant de é;sir. Puis il reprend une bonne dose et fait couler une éute;e de gel sur sa raie en se penchant en avant, me ée;sentant son cul bien och !

Sa main glisse entre ses seufs et il se rentre deux doigts dans le boule. Sa main s’active devant oim et mon petit voisin se branle le uc comme un malade devant mes yeux écarquillés d’envie.

Je chope le tube de gel et je é;roule une capote sur ma teub en érection maximale. Je me lève, le zeub bien éacute; et bien éeacute;, et j’avance sur lui en le poussant jusqu’à ce qu’il se retrouve dos à moi écute; contre le mur. Là je passe mes bras autour de lui et je commence à frotter ma teub sur son boule en surchauffe.

Il ondule son cul chaud contre mon zboub et je le prends dans ma main pour le guider à l’éute;e de son trou. Il se cambre bien en arrière et je lui rentre dedans comme dans du beurre. Son trou s’écarte et j’ai même pas à inviter le passage, ça glisse tout seul. Je lui lime le cul à grands coups reins, trop écute; par le chaud qu’il vient de me faire. Sa respiration haletante est éacute;e au rythme de mes coups de butoirs et il grogne de kiffe devant mes assauts. Trop och, je le lime comme un ouf mon souffle chaud sur sa nuque en lui murmurant des insultes à l’oreille.

Le éute; tend son cul autant qu’il peut pour bien se la prendre à fond en branle en même temps sa teub comme un malade. Soudain il se met à gueuler et je le vois qui ravage le mur de mon appart de son foutre épais. Il m’en faut pas plus pour lâcher mon yop et j’ai à peine le temps de sortir mon zeub et de virer la capote que ma teub ée;vcra quatre grosses éute;es qui lui garnissent le cul.

Je m’effondre sur lui en malaxant son cul ferme et en étalant mon jus de lascar sur ses éte;s. En même temps je lui mordille la nuque et Manuel soupire comme une meuf. Et là en bouquet final, je le pousse vers la porte en lui disant :
-    « Vas y maintenant é;gage lopsa ! »